30 avril 2013

L’Anarchie


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Ah que coucou !
 
Le capitalisme étant sur le point d’imploser car il ne peut fonctionner correctement et à plein rendement seulement dans une économie en croissance, le socialisme et le communisme n’étant que des « utopies » qui ne peuvent pas résoudre les problèmes économiques de notre époque et qui développent plus des problèmes (liés à la corruption), il nous reste un autre type, une autre solution : l’Anarchie… Mais voilà, même si certain estime que là réside LA solution, elle montre aussi SES défauts… Il n’y a qu’à lire la définition pour s’en rendre compte.
 
L’anarchie, dans le langage courant, est souvent assimilée au désordre. Pourtant Proudhon, un des principaux théoriciens de l’anarchie, proclame « l’anarchie c’est l’ordre ». En réalité, l’anarchie renvoie à toute une série de théories, de comportements, de pratiques sociales.
 
 
Deux grands aspects de l’anarchie
 
L’anarchie, c’est tout à la fois :
 
1. Une composante du mouvement ouvrier :
Elle développe les caisses d’entraide face au chômage et à la maladie, les bourses du travail, puis contribue à la création de la Confédération Générale du Travail (CGT) qui a d’abord, au 19e siècle, l’expression du mouvement anarcho-syndicaliste, dont elle se détache progressivement au profit d’une intégration au courant socialiste et communiste. L’anarchisme développe aussi le mouvement coopératif, qui chercher à transformer les relations entre les producteurs.
 
2. C’est aussi une révolte individualiste, ce qui lui donne une forme spectaculaire très différente, dans son esprit, du mouvement social et politique exposé précédemment. Les médias populariseront l’image de l’anarchiste révolté romantique. A la différence du premier type d’anarchiste révolutionnaire, le révolté ne croit pas à l’action sociale collective. Il croit à l’acte exemplaire ; il veut « tout, tout de suite », se méfie du groupe.
 
3. C’est un projet de société fondé sur quelques principes essentiels : morale libertaire, principe d’association, de fédération, suppression du rôle central de l’argent et refus de l’étatisme.
 
 
Les réalisations concrètes
 
Concrètement, l’anarchie n’a connu que très peu d’applications. Il a pourtant influencé des expérimentations qui vont des communautés de Cabet aux communautés actuelles sans oublier trois grandes expériences historiques :
 
1. La Commune de Paris écrasée par Thiers.
 
2. Le mouvement des paysans Makhnovistes en Russie révolutionnaire, éliminé par l’armée rouge que dirigeait Trotski, sur ordre de Lénine. Les marins de Kronstadt aussi sont morts au nom des principes de l’anarchistes, en s’opposant aux Bolchéviques à qui ils reprochaient l’absence de discussions démocratiques, l’omnipotence du parti, l’apparition de nouvelles inégalités.
 
3. La municipalité de Catalogne en 1936 dans la république espagnole, ayant obtenu par les urnes une majorité anarchiste, tente au sein de la guerre civile de réaliser une société anarchiste selon les principes sont les suivants :
 
- Les syndicats s’emparent des secteurs vitaux de l’économie. La propriété des moyens de production devient collective.
- Le pouvoir est exercé par le comité ouvrier élu par les travailleurs. La direction doit soumettre et expliquer ses décisions, sinon elle est révoquée.
- L’éventail des salaires va de 1 pour le manœuvre à 2 pour le directeur.
- La monnaie disparaît au profit de bons qui ne permettent d’acheter que des biens de consommation, et non le travail d’autrui ou des biens de production.
 
 
Les grands principes de l’anarchisme
 
Ils furent exposés par de nombreux théoriciens souvent de façon contradictoire, Stirner, Proudhon, Bakounine, Kropotkine… On peut y voir de grandes lignes directrices :
 
1. Ni Dieu, ni Maître, titre de l’Anthologie de l’anarchie de D. Guérin (Maspéro), exprime clairement une des spécificités de l’anarchie. L’individualisme libertaire ne se délègue ni à un parti, ni à un gouvernement. A la différence des communistes, les anarchistes se méfient fondamentalement du pouvoir de l’Etat. L’anti-étatisme, caractérise l’anarchisme.
 
2. Il faut que les producteurs possèdent et contrôlent leurs outils de travail et ne dépendent pas de la propriété d’autrui. C’est le principe d’association, réunion de travailleurs qui définissent ensemble un projet et le réalisent en se regroupant. Ce principe trouve son illustration dans les coopératives, ou encore dan la recherche d’une société autogérée.
 
3. Le principe fédératif régit l’organisation anarchiste. Il signifie que les individus peuvent librement se regrouper, puis que les groupes de producteurs, de consommateurs, définissent ensemble des unités passant entre elles des contrats qui organisent les échanges, les obligations et les devoirs librement négociés.
 
4. L’argent doit perdre son pouvoir et disparaître progressivement, il ne peut permettre d’acheter le travail d’autrui ni les moyens de production.
 
5. L’établissement d’une morale libertaire.
Le groupe, la société doivent apporter un minimum d’entraves à la liberté de l’individu dans tous les domaines.
 
Source :
Dico-economique-et-social
 
Alors, que faut-il faire ? Quel système économique devrions-nous adopter pour résoudre tous nos soucis liés surtout à une trop forte croissance démographique dont le résultat ne pourra qu’apporter famine et pauvreté avant la fin de ce siècle car toutes nos ressources alimentaires auront disparu ?
 
Certains envisagent que pour se sortir de ce problème épineux, il n’y a rien de mieux qu’une « bonne guerre » ! Combien de fois avons-nous entendu cette phrase de nos aînés ???
 
Pourtant… il est tout à fait inutile de s’entre-tuer pour que nous puissions vivre tous heureux et en paix. Oui, il existe une autre solution, bien meilleure celle-là, car elle rend sa place à l’Humanité, car elle remet toute chose à la place qu’elle n’aurait jamais dû quitter… et qu’elle est-elle ? Celle de l’origine de l’humanité, celle où la vie d’un des membres de la communauté était bien plus importante que de posséder un objet. Cette solution, je le conçois, peut nous paraître aberrante dans une époque où l’on ne s’imagine pas vivre sans le confort moderne… mais est-il préférable de posséder le dernier I-pad ou de vivre en paix en ayant suffisamment dans nos assiettes pour nous nourrir, en ayant tous un toit au-dessus de nos têtes dans un monde EN PAIX ???
 
Oui, là, tel que nous agissons actuellement, nous nous dirigeons vers un monde où la guerre sera maîtresse, où les inégalités se creuseront de plus en plus, où les ressources naturelles de la terre seront de plus en plus mises à mal par la pollution générée par notre frénésie de consommer… Est-ce cet avenir que nous voulons ? Est-ce cela que nous souhaitons à nos enfants et à tous les futurs hommes et femmes qui naîtront et cela quelques soient leurs races, leurs origines ?
 
Bisous,
@+
Sab

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29 avril 2013

Alfred de Musset…


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Ah que coucou !
 
Dans un avenir plus ou moins lointain je vais ajouter des contes et des nouvelles écrites par ce grand écrivain français dont voici les titres :
 
1. La Confession d’un enfant du siècle
2. Pierre et Camille
3. Le secret de Javotte
4. La Mouche
5. Histoire d’un Merle blanc
6. Mimi Pinson, profil de grisette
 
qui, dans la bibliothèque sont rassemblés dans le même recueil : Confession d’un enfant du siècle.
 
Parce que je ne vais pas les poster tous ensembles, dans le même document pdf, je voulais ajouter au-dessous de ma signature la Préface de cet ouvrage écrite par Claude Bourgeois, alors que je ne l’avais pas encore lue… Mais voilà. Petit à petit que je prenais connaissance de cette préface, j’eus de plus en plus la mauvaise impression que Claude Bourgeois n’avait lu aucun des écrits présentés dans cet ouvrage. C’est pour cela que j’ai abandonné cette idée-là... Oui, par exemple, il retranscrit ce qu’il croit avoir lu dans La Confession d’un enfant du siècle en y mélangeant la liaison amoureuse qu’Alfred de Musset avait entretenu avec George Sand, en estimant qu’il fallait transposer Musset en Octave, et sa maîtresse en Sand… alors qu’il avoue lui-même, qu’on connait mal les relations amoureuses qu’entretenaient Alfred de Musset avec George Sand. Bref, toute cette longue partie n’est qu’extrapolation avéré…
 
Le rôle d’une Préface est de présenter un ouvrage… et quand celui-ci contient plusieurs écrits différents, il est normal d’accorder autant d’attention à un récit qu’à un autre.
Une bonne Préface introduit un ouvrage et doit donner envie de le lire…
 
J’ignore qui est Claude Bourgeois, mais je dois avouer que l’éditeur aurait mieux fait de s’adresser à quelqu’un d’autre (qui aurait lu ces contes et nouvelles) pour écrire une préface valable et digne d’Alfred de Musset...
 
Bisous,
@+
Sab

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28 avril 2013

Jacques Mortane : Leur dernier vol


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Ah que coucou !
 
Alors qu’Antoine de Saint-Exupéry nous décrit dans son livre : Pilote de guerre, le quotidien des pilotes de chasse pendant la seconde guerre mondiale (pour accéder au billet et au livre, cliquez ici), Jacques Mortane (1883 – 1939), nous décrit celui des pilotes durant la première guerre mondiale… plus spécialement, la dernière fois où ces valeureux pilotes ont tenu le manche à balai, dans son ouvrage :
 
Leur dernier vol
(accessible au téléchargement/lecture en cliquant ici)
format : pdf
(logiciel fourni gratuitement par son concepteur : Adobe)
Langue : français
 
grâce auquel nous apprenons certains faits historiques, ignorés de nos livres d’histoire… oui, car qui parle, par exemple, de ces pilotes volontaires américains qui se sont engagés dans l’armée française dès l’ouverture des hostilités ? Où se trouvent leurs faits héroïques de leur propre escadrille dans notre armée que l’on nommait : l’Escadrille La Fayette ?
 
Mais Jacques Mortane ne nous rappelle pas seulement quelques faits mais nous montrent qu’avec son collaborateur et ami, ils ont mené quelques enquêtes afin de découvrir, par exemple, ce qu’advinrent de nos pilotes, tombés sur le sol ennemi… tout comme il nous rapporte certains propos, émanant de nos AS concernant le comportement à adopter en temps de guerre, face aux ennemis comme par exemple, celui-ci :
 
« Vous me demandez de vous rapporter quelques bocheries. Hélas ! je n’ai rien pris. Pensez-vous que je verrais avec plaisir vos mains mignonnes jouer avec des trophées encore sanglants ? Non, je n’aime pas détrousser les cadavres. Dans l’ardeur de la lutte, on fonce baïonnette basse, mais ensuite, aller voler un mort ! Fouiller cette masse informe dont les plaies coulent ! Envoyer un casque quand on a écrasé la tête ! Je n’en suis pas capable. Nous sommes des soldats, chères petites, non des pillards et je n’admets aucune excuse au larcin. Après la lutte, nous ne dansons pas près des dépouilles ennemies. Nous posons nos fusils et nous regardons froidement l’ouvrage. Si vous voyez dans quelque maison des objets ainsi volés, pensez bien à votre chagrin si, un jour, dans une chambre allemande, vous pouviez reconnaître la veste sanglante et trouée de votre frère. »
Extrait d’un courrier de l’adjudant Baron
MORT POUR LA FRANCE
à ses jeunes sœurs.
 
Oui. Ce n’est pas parce qu’il y a une guerre qu’il faut que l’on se comporte tels des rapaces, n’ayant aucun respect pour la vie et les biens d’autrui… qu’ils soient amis ou ennemis…
 
Cet ouvrage nous rappelle aussi que dans le passé la Légion d’honneur avait une valeur, il nous rappelle que seuls ceux ayant défendu la France, étaient les seuls à la recevoir… alors que maintenant, presque tout le monde peut l’avoir du moment que vous avez suffisamment d’argent pour la payer.
Même si cette récompense était souvent la dernière reçue par nos héros – elle avait la réputation d’être généralement donnée quand l’heure de la mort avait sonné, ce qui, un jour, fit dire en remerciement à un de nos héros moribond qui la reçut quelques temps avant de mourir : « Merci pour l’ordre de transport ! ».
 
Grâce à ce livre, nous nous transportons au cœur même de ces batailles aériennes, récit tiré des différents rapports émanant soit du vainqueur (quand il se trouve dans le rang ennemi et que le héros est tombé dans leur lignes, ex : Paul Bousquet qui tomba, avec son équipage, au-dessus de Cappel, près de Saint-Avold, abattu par le lieutenant von Lichtenberg le 6 septembre 1915), soit des compagnons et témoins comme par exemple cette bataille du 29 mai 1918, sur le front de Château-Thierry, menée par l’escadrille La Fayette :
 
Le 29 mai 1918, par un temps froid et sombre, l’ennemi avait réussi une attaque surprise à l’ouest de Reims, sur le front de Château-Thierry, et semble vouloir la pousser dans la direction de Paris. L’offensive était si inattendue que quelques escadrilles françaises seulement se trouvaient là. Vite, la 98e escadrille américaine fut envoyé à l’aide pour organiser la défense. Ovington et ses camarades partirent. A quatre reprises au cours du même vol, Ovington livra des combats acharnés. Puis sa mitrailleuse s’enraya. Il atterrit dans un champ, répara et retourna se battre. Quand il revint à l’aérodrome, à midi 45, d’autres patrouilles étaient prêtes à partir. Il se rejoignit à elle comme volontaires. Le capitaine Cauboue, qui commandait la première, lui confia le commandement de la seconde, comprenant deux avions français. La mission consistait à aller attaquer les drachens allemands derrière les lignes.
Il fallait voler presque au ras-du-sol pour distinguer l’objectif à travers les nuages qui donnaient l’impression de courir sur la terre tant ils étaient bas. Dans ces ténèbres, soudain l’appareil d’Ovington, suivi de très près par celui du sergent L. Hoor, heurta celui-ci ; les ailes des deux Spad se tordirent sous le choc et ce fut la double chute parmi les troupes allemandes dans la région de Lagery, au nord de Château-Thierry.
Lorsque les troupes françaises et américaines, dans une admirable contre-attaque, eurent repoussé les ennemis, on se porta aussitôt vers l’endroit de la tragédie : ni les tombes des deux braves, ni les restes de leurs avions ne furent retrouvés.
 
Comme vous le constatez, ce livre est aussi riche en information sur le plan historique, mais aussi tactique militaire et vante ce patriotisme que nous avons-nous, Français d’aujourd’hui, oubliés dans le fond de notre mémoire, à tel point que la majorité de nous avons élu comme Président de la République, un homme (raciste – germanophobe par simple jalousie et bêtise -, homophobe et phallocrate malgré qu’il tente de faire croire le contraire !) qui ne respecte ni notre patrie, ni notre pays, ni notre culture, ni les Français !et qui a osé se donner la Légion d’Honneur !!! cet Usurpateur !!!!
 
Bonne lecture !
 
Bisous,
@+
Sab

27 avril 2013

Un problème de déchets…


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Ah que coucou !
 
Pour accéder à l’article publié par l’A.F.P. (Agence France Presse), cliquez ici.
 
Oui… notre civilisation, non contente de polluer notre planète, pollue aussi l’espace… cet espace que nous ne connaissons pas encore totalement… et non seulement notre orbite comme le signale cet article, mais qu’il ne faut pas oublier car, tous ces déchets vont finir, un jour ou l’autre, par nous tomber sur la tête… certains ont déjà fait cette chute et, heureusement pour nous, sont tombés dans des lieux désertiques ou dans les océans évitant ainsi de faire des victimes…
 
Mais n’oublions pas aussi…
Prenons par exemple notre orbite naturelle : la LUNE. Autant de fois qu’il y a eu des missions vers elle, autant de fois que l’homme a marché sur son sol, autant de fois elle a recueilli différents déchets émanant de notre planète, cela va du matériel laissé sur place à… on ne sait pas trop tout ce que les astronautes ont pu y laisser…
Prenons un autre exemple, une planète : MARS. Combien y a-t-il exactement de « robots » hors service, qui ont atterri et qui « périssent » sur la planète rouge ?
Prenons un autre exemple, l’espace dans sa globalité. Combien de satellites ont-ils lancé et ont-ils tentés d’atteindre différents point dans l’univers ? Combien de fois les astronautes/cosmonautes, ont-ils vidés leurs déchets dans l’espace au cours des différentes missions spatiales ?
 
Il serait bien que nous pensions à nettoyer après notre passage… à récupérer tous ces déchets avant qu’ils ne nous détruisent…
 
Réfléchissez-y bien !
 
Bisous,
@+
Sab

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26 avril 2013

La Fish pédicure, pour ou contre ?


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Ah que coucou !
 
Résultat de cette révision : j’ai abandonné les articles que j’avais préparés, parce qu’étant trop énervée contre ces imbéciles qui nous gouvernent, cet énervement risque de se sentir dans mes écrits. Alors : autres sujets qui n’ont rien à voir avec les inaptes professionnels qui se sont lancés dans la politique car ils ne sont qu’une bande d’incapables vertébrés qui ne savent strictement rien faire !
 
Certains peuvent se demander ce qu’est cette fish pédicure, et bien, voilà… vous savez que lors d’une bonne séance de pédicure, la personne qui nous entretient nos ongles utilise différents produit pour que les ongles de nos mains et nos pieds soient beaux. Parmi ces soins pour les pieds, il y en a un visant à supprimer toutes les peaux mortes qui s’agglutinent sous nos ongles ou autour… La fish pédicure utilise la compétence du nettoyage de certains poissons (majoritairement des Garra rufa, mais aussi des Tilapia du Nil) pour supprimer toutes ces peaux mortes à la place des produits chimiques habituels…
 
Cette méthode nous viendrait d’Asie.
 
Voulant protéger la nature en utilisant le moins possible des composants chimiques industriels, nous ne pouvons qu’applaudir cette méthode visant à nourrir des poissons en échange de la beauté et la bonne santé de nos pieds…
 
Mais voilà, ce procédé est-il réellement plus favorable à la méthode utilisant des produits industriels ?
 
Voilà ce qu’en pense l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES, pour accéder à leur site, cliquez ici) qui souligne dans son rapport du 24 avril 2013 (pour y accéder, cliquez ici) qu’en France la pratique de la « fish pédicure » n’est encadrée par aucune réglementation sanitaire spécifique alors qu’elle fait appel à des animaux vivants détachant des squames de la peau de l’homme. Ce qui engendre les constations suivantes :
 
. des cas d’infections bactériennes liées aux pratiques de l’aquariophilie et de la pédicurie ont été décrits.
. les données sur la qualité de l’eau au sein des établissement pratiquant la « fish pédicure » sont rares et il n’existe pas de données spécifiques sur la présence et la prévalence de micro-organisme pathogènes chez les poissons commercialisés en France.
. en présence des poissons il est impossible de maintenir une eau désinfectante dans les bacs utiliser pour la « fish pédicure » car cela les tuerai.
. certains usagers (diabétiques, immunodéprimés, usagers ayant des lésions cutanées aux pieds) constituent une population sensible à risque plus important d’infection.
. la pratique de « fish pédicure » peut attirer plus particulièrement des personnes avec épaississement de la peau (hyperkératose), susceptible d’être d’origine mycosique, qui ainsi augmentent, d’une part, le risque de contamination de l’eau et qui présentent, d’autre part, une sensibilité accrue aux infections.
 
L’Agence conseille donc d’entourer ce procédé de quelques règles sanitaires visant à protéger les usagers…
 
Après avoir lu certains façons de faire des « professionnels », personnellement, et cela malgré que je suis pour utiliser au maximum des moyens naturels plutôt que des ceux que nous proposent les industries chimiques, je dois avouer que ce procédé de « fish pédicure » me fait plus fuir qu’il ne m’attire, surtout quand je lis, par exemple, concernant les poissons utilisés :
 
car ils (les poissons) disposent de dents labiales pouvant traumatiser le tégument des utilisateurs.
 
OK… c’est quoi le « tégument » ?
 
Tissu ou ensemble de tissus recouvrant et enveloppant un organisme vivant.
Peau de l’homme.
 
Source :
Le Larousse
(pour accéder à la définition en ligne, cliquez ici)
 
Alors, toujours tenté pour faire l’expérience ;) ?
 
Bisous,
@+
Sab

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24 avril 2013

23 : Babeth combat Raghreb (3/3)


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Ah que coucou !
 
Avant que je ne commence à vous raconter ce nouvel épisode de Babeth, les enfants, nous (la Bonne Fée Marguerite, Merlin, Babeth, et tous les adultes qui vous lisent ses aventures) tenons à vous féliciter et à vous remercier. Oui, les enfants, vous nous avez prouvé que vous saviez garder les secrets en n’ayant pas averti accidentellement les sorciers de la nouvelle identité de Babeth, en taisant le lieu de son exil, en ayant raconté à personne qu’un plan contre Raghreb allait être mis au point, etc.
 
Les enfants :BRAVO !
 

Bravo

 
Grâce à vous tous, Babeth a eu la vie sauve jusqu’aujourd’hui !
 
Reprenons maintenant la suite de l’histoire…
 
Nous voici donc aujourd’hui au moment où nous saurons qui a gagné le combat : le méchant et puissant Raghreb, ou Babeth ?
 
Comme vous vous en souvenez, les enfants, Babeth et son amie Chloé ont trouvé refuge dans la grotte qui sert dorénavant d’habitation à Merlin. Et dans le dernier épisode, nous les avions quittées après que Merlin ait donné à Babeth quelques recommandations et avait quitté la grotte pour partir à la recherche de la Bonne Fée Marguerite afin qu’à eux trois ils établissent un plan d’action afin de combattre Raghreb et gagner ce combat…
 
Merlin a eu d’énormes difficultés à retrouver la Bonne Fée Marguerite, parce que les fées n’ont pas de maison attitrée. Elle mange, elle dorme, sur n’importe quelles touffes d’herbe, sur n’importe quelques feuilles d’arbre, sur n’importe quelles fleurs, etc. Et la difficulté a été double car, les plantes et les autres êtres magiques, souhaitant aider Merlin à retrouver la bonne Fée Marguerite, avaient prévenu la bonne fée que Merlin la cherchait… Donc pendant plusieurs jours Merlin cherchait la bonne Fée Marguerite qui cherchait Merlin… vous voyez les enfants la difficulté pour que Merlin et la bonne Fée Marguerite puissent se rencontrer.
 
Mais, les enfants, vous pouvez estimer qu’il aurait été facile à la bonne Fée Marguerite d’utiliser la magie pour rejoindre Merlin où qu’il se trouve… et bien sachez qu’il y a quelques lois dans le monde magique dont celle-ci qui interdit, pour des mesures de sécurité, d’utiliser la magie pour entrer en contact avec un autre être magique quand celui-ci n’utilise pas lui-même la magie pour prendre contact… et comme vous vous en souvenez, les enfants, pour des raisons de sécurité, Merlin ne peut faire appel à la magie pour rencontrer la bonne Fée Marguerite…
 
C’est grâce à la fée apprentie Gabrielle que Merlin et la bonne Fée Marguerite ont réussi à entrer en contact – oui, il n’y a aucune loi qui interdisse à un autre être magique d’appeler 2 êtres magiques (qui ne peuvent pas utiliser la magie pour se retrouver) par la magie. La rencontre eut lieu dans la grande clairière des nymphes à l’orée de la forêt appartenant à la Belle au bois dormant.
 
Naturellement la première question que posa la bonne fée Marguerite à Merlin a été de lui demander pourquoi il n’utilisait pas la magie pour l’appeler. Merlin lui expliqua alors toute l’histoire et ils décidèrent d’aller sur le champ à la grotte afin d’aider Babeth à lutter contre Raghreb. Naturellement ils ne pouvaient pas utiliser la magie pour ce voyage au cas où Raghreb surveillait les amis de Babeth afin de découvrir sa retraite… et le chemin fut un tantinet long pour cette pauvre bonne Fée Marguerite qui, ne dépassant pas la taille de notre majeur, devait marcher, Merlin ne pouvant l’aider à se déplacer car il est enchanteur et elle fée et s’il lui arrivait, par malheur, de toucher une fée, celle-ci perdrait tous ses pouvoirs immédiatement… Un beau matin, ils parvinrent enfin à la grotte.
 
Chloé s’était calmée, Babeth lui ayant expliqué qu’elle était en sécurité tant qu’elle ne quitterait pas la grotte et lui ayant donné des explications sur ce qu’était le monde magique et ses dangers…
Babeth était entrain de préparer le petit-déjeuner quand ils arrivèrent enfin.
Ils décidèrent donc de manger avant d’élaborer une tactique.
 
Après déjeuner, ils s’installèrent dans un coin de la grotte que Chloé et Babeth avaient aménagé en salon en utilisant quelques gros cailloux découverts plus profondément dans la grotte qu’elles avait recouverts de mousse… 4 cailloux sur lesquels était déposée une planche en bois servait de guéridon. Et pour décorer les murs, Chloé et Babeth s’étaient amusées à organiser, entre elles, un concours de dessin dont le support étaient les parois, les crayons avaient été confectionnés à l’aide du charbon de bois et les couleurs avaient été faites à partir de la terre, de quelques feuilles et plantes, les pinceaux avaient été confectionnés à partir d’une mèche de leurs cheveux attachée sur une tige de bois… Malgré que Merlin puisse utiliser la magie pour décorer sa demeure de façon plus fastueuse, il avoua à Babeth et à Chloé, après les avoir remerciées pour tout ce travail, qu’il n’avait jamais habité jusque là dans un endroit si merveilleusement décoré…
 
Au bout de plusieurs heures, un plan fut élaboré et adopté et, malgré que Merlin nourrisse quelques inquiétudes concernant sa réussite, il jugea préférable de ne rien dire car il ne voyait pas comment ils pourraient abattre un sorcier aussi puissant que Raghreb…
 
Chloé fut mise en sécurité par la bonne Fée Marguerite qui, à l’aide de ses pouvoirs, était la seule à pouvoir espérer que Raghreb ne découvre pas cet acte magique (la bonne Fée ayant continué à utiliser sa magie après l’attaque de Raghreb, on pouvait croire que Raghreb avait abandonné la surveillance de la bonne Fée Marguerite). C’est ainsi que Chloé se retrouva, accompagnée de Gabrielle, dans une des nombreuses chambres d’ami du château où vivaient Blanche-Neige et sa famille…
 
Maintenant que Chloé était en sécurité, on put signaler à Raghreb la présence de Babeth dans la grotte de Merlin afin de l’attirer dans le piège. Pour ce faire, Babeth prononça une formule magique simple… quelques secondes plus tard, Raghreb n’était toujours pas apparu… on attendit encore quelques minutes… Toujours pas de Raghreb… Que se passait-il ? Pourquoi n’arrivait-il pas ?
 
Babeth recommença à utiliser la sorcellerie, mais en utilisant une formule plus puissante… et rien… toujours pas de Raghreb !
 
Babeth, excédée, décida alors d’utiliser la formule qui effrayait non seulement Merlin, mais aussi la bonne Fée Marguerite, la seule qui pouvait faire apparaître Raghreb devant Babeth immédiatement : « Raghreb, toi, puissant sorcier de tous les sorciers, je t’ordonne de te présenter devant moi à cette seconde ! » A cet instant, un éclair traversa la grotte et foudroya le sol aux pieds de Babeth, un vent puissant renversa tout ce qui était sur son passage, une fumée noire envahit la grotte. Une fois qu’elle se fut dissipée, Raghreb était toujours absent.
 
Babeth exigea alors de la Bonne Fée Marguerite et de Merlin qu’ils prononcent la formule en même temps qu’elle afin de réunir assez de pouvoir pour faire apparaître Raghreb. Devant le ton décidé de Babeth, la Bonne Fée Marguerite et Merlin obtempérèrent. Ils prononcèrent tous les trois la formule magique : « Raghreb, toi, puissant sorcier de tous les sorciers, nous t’ordonnons de te présenter devant Babeth à cette seconde ! » A nouveau l’éclair, le vent et la fumée noire… mais toujours pas de Raghreb !
 
Babeth s’énerva et prononça une nouvelle formule : « Moi, Babeth, fille de Brokmar et de Dragui, Princesse du Royaume des Sorciers et des Sorcières, ordonne à Raghreb de se présenter devant moi maintenant ! » A ces mots, une tornade dont la violence fit paniquer Merlin, naquit aux pieds de Babeth qui répéta sa formule. La tornade grandit et on put entendre des cris d’horreur en son centre. Quand la tornade se calma, Raghreb, apeuré par toute cette violence, était sur le sol, aux pieds de Babeth. Babeth profita alors de cette frayeur passagère pour prononcer une nouvelle formule : « Moi, Babeth, fille des défunts roi Brokmar et reine Dragui, Princesse du Royaume des Sorciers et des Sorcières, ordonne aux forces de l’enfer, ordonne à toute la magie du monde d’ici et de là-bas, d’emprisonner de toute leur puissance le sorcier Raghreb et de le torturer jusqu’à sa mort qui ne devra pas survenir avant 300 ans ! ».
Une puissante lumière entoura soudainement Raghreb alors qu’il tentait de s’enfuir. Un puissant vent le souleva du sol. Il explosa ! Quelques secondes après, on découvrit où étaient tombés les restes de Raghreb un poisson rouge que l’on mit dans un bocal… oui, les enfants, c’est ainsi que le puissant Raghreb fut transformé en un joli petit poisson rouge et qu’il fut obligé de vivre dans un joli petit bocal que l’on confia à une gentille petite famille qui le nourrissait des meilleurs vers, après, naturellement, lui avoir supprimé toute possibilité d’utiliser la magie… bref, une vraie vie en enfer pour un sorcier ayant été aussi puissant que Raghreb…
 
Et il arriva soudain une chose extraordinaire, à laquelle Babeth avait déjà été confronté dans le passé : son grimoire personnel fut libéré et lui fut confié – mais, cette fois, pour de bon ! Sur ce grimoire, une fois posé sur une table, apparut alors la mention suivante :
 
« A Babeth, celle qui réussit à vaincre Raghreb, puisse-t-elle vivre longtemps et heureuse. Signé : Itou »
 
Vous vous rendez compte, les enfants, de tout l’honneur que lui a fait le dieu Itou en dédicaçant son grimoire ? Personne dans le monde des Sorciers et des Sorcières n’avait eu cet honneur jusqu’à là… De quoi décider la Bonne Fée Marguerite et Merlin à encourager Babeth à retourner dans le Royaume des Sorciers et des Sorcières car elle est maintenant suffisamment puissante pour…
 
Mais chutttttt !!!
 
Nous verrons cela dans le prochain et dernier épisode des Aventures de Babeth, la petite Sorcière.
 
En attendant, un gros bisou à papa, un gros bisou à maman et au dodo pour être en forme demain et pouvoir jouer !
 
Bisous,
@+
Sab

23 avril 2013

Le communisme…


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Ah que coucou !
 
Après le socialisme, nous voyons maintenant son futur ;)… Le communisme.
 
Là aussi, je ne vais rien ajouter d’autre que ce qui est écrit dans le dictionnaire économique. Non pas que je n’ai pas ma propre opinion à ce sujet, mais ce système économique et politique me faisant sauter au plafond, je juge qu’il est préférable que je n’interfère pas avec la définition de base afin que vous puissiez vous faire une opinion personnelle sur la chose… oui, parmi tous les systèmes économiques et politiques qui existent, c’est celui qui convient le moins à mon caractère et à ma volonté de liberté… oui, qu’on veuille faire mon bonheur contre mon gré : je HAIS ça !!! surtout quand j’ai une autre conception du mot bonheur que celle que certains rêvent de nous imposer qui ressemble, à mon humble avis, plus à l’enfer qu’au paradis, pour preuve : la vie merveilleuse des populations vivant sous ce régime…
 
Au sens large, le communisme est une forme de société où règne la communauté de biens. Dans ce sens, la République de Platon défend une certaine forme de communisme. Il en va de même des projets de société idéale développés par les socialistes du 19e siècle. Dans le contexte contemporain, le sens spécifique attaché à ce terme par Marx a pris une importance politique centrale.
 
Le communisme au sens marxiste
Le communisme, tel que l’a défini Marx, est une phase future de l’évolution de l’humanité caractérisé par la propriété collective des moyens de production, une société sans classe, où chacun pourrait vivre selon ses besoins, sans être attaché à un travail, à une situation sociale définie, où disparaîtraient la monnaie et l’Etat. Le communisme est le passage du « gouvernement des hommes à l’administration des choses ». Il suppose que l’on puisse satisfaire tous les besoins, et que les conflits sociaux aient disparu, ne laissant demeurer que des questions solubles techniquement.
 
Pour Marx, le communisme doit changer radicalement le mode de vie de l’individu, en révolutionnant le cycle travail/loisirs : « Dans la société communiste… chacun n’a pas une sphère d’activité exclusive, mais peut se perfectionner dans la branche qui lui plaît, la société réglemente la production générale, ce qui crée pour moi la possibilité de faire aujourd’hui telle chose, demain telle autre, de chasser le matin, de pêcher l’après-midi, de pratiquer l’élevage le soir, de faire la critique après le repas, selon mon bon plaisir, sans jamais devenir chasseur, pêcheur, ou critique » (K. Marx, L’idéologie allemande, Editions sociales).
 
A la différence d’auteurs tels que Fourier ou Cabet, Marx s’est refusé à détailler ce que serait concrètement le communisme, celui-ci devant être le fruit de l’expérience des individus le construisant.
 
Les partis communistes
On distingue la définition ci-dessus de Marx de l’expression Parti Communiste.Un parti communiste est un parti politique dont le programme fait référence aux idées marxistes et se fixe pour objectif la réalisation future du communisme. Au sens de Lénine, un parti communiste est un parti de professionnels visant à instaurer une société dirigée selon les principes de marxisme-léninisme.
 
Source :
Dico-economique-et-social
 
Non, non ! je n’ajoute rien malgré que ça me démange, mais démange… Sab va rester calme, na na nèèèè re !!! ;)
 
Bisous,
@+
Sab

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22 avril 2013

Le Socialisme


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Ah que coucou !
 
Après avoir vu ce qu’était une économie de type capitaliste, nous allons maintenant aborder son opposé : l’économie de type socialiste…
 
Je vais donc laisser la parole au dictionnaire économique, afin de ne rien oublier & de pouvoir respecter la neutralité nécessaire à une explication…
 
Le succès même du terme socialisme a conduit à des usages abusifs du terme. C’est ainsi que nombre de pays (en particulier dans le Tiers-Monde) se qualifient de socialistes pour masquer des dictatures qui, au nom du peuple, exercent un pouvoir sans partage. Le mot socialisme devient un alibi qui masque la réalité. Mais ceci n’est possible que par ce que le terme socialisme est chargé d’espoir et représente pour un nombre important de personnes l’espoir d’une société nouvelle plus juste que l’actuelle.
 
 
Le Socialisme comme projet
Si la pensée socialiste est antérieure au 19e siècle, celui-ci fut marqué par l’éclosion de multiples projets socialistes et par le développement de mouvements ouvriers qui se rattachent à ce courant de pensée. La pensée socialiste est inséparable du mouvement socialiste qui tend à changer concrètement la société. Le courant de pensée socialiste a profondément inspiré les mouvements ouvriers des 19e et 20e siècles et leur a fourni une cohérence théorique qui a contribué à leur développement. Le projet socialiste a pris des formes multiples : phalanstère de Fourier, coopératives de R. Owen et de Louis Blanc, socialisme technocratique de Saint-Simon… transition socialiste vers le communisme de Marx et Engels… et au 20e siècle autogestion eet planification démocratique…
Mais derrière la diversité des projets, on retrouve un certain nombre de permanences :
- Le socialisme est un mouvement de contestation de la pratique capitaliste et un projet de construction d’une société plus juste. « Le socialisme est né de la conscience de l’égalité humaine alors que la société où nous vivons est toute entière fondée sur le privilège » (Léon Blum, 1919).
- La société à construire doit être plus égalitaire mais aussi donner à chacun plus de liberté, plus de maîtrise, plus de pouvoir sur les décision qui le concerne et qui intéressent l’ensemble de la société.
 
Dans les moyens pour réaliser cet objectif, certains feront plus confiance à l’Etat, d’autres, au contraire, (en particulier les anarchistes) se méfieront des interventions étatiques.
 
 
La transition socialiste
C’est pour Marx, une phase historique précédant le communisme. Le socialisme est alors caractérisé par l’approbation collective des principaux moyens de production, la rétribution de chacun suivant le principe « à chacun suivant son travail », le développement d’une planification d’ensemble.
 
Mais le socialisme doit changer la vie quotidienne des gens en leur donnant un véritable pouvoir sur leur mode d’existence. L’approbation collective des moyens de production n’est qu’une condition du socialisme, non son essence.
 
 
Pays socialiste
L’expression « pays socialistes » désigne traditionnellement un ensemble de pays dont l’exemple le plus souvent cité est celui de la Chine. Planification, existence d’un parti unique (le « parti communiste »), propriété étatique et coopérative des principaux moyens de production, répartition des revenus en fonction du travail et non en fonction de critères liés à la naissance ou à la détention de capitaux, tels sont les principaux caractères traditionnellement présentés comme spécifiques des pays socialistes, même si un certain nombre de variante apparaissent, variante maoïste (communes populaires, rôle central de la pensée de Mao Ze Dong), variante de l’ex-Yousgoslavie marquée par l’autogestion…Cependant, beaucoup nient le caractère socialiste de ce type d’organisation en affirmant que le pouvoir de décision est monopolisée par le Parti… Certains désignent même du nom de « système bureaucratiques d’Etat » les régimes de ce type.
 
 
Socialisme et social-démocratie
Les socialismes scandinaves (Suède…), ou autrichien… sont des réalités profondément différentes.
 
La social-démocratie est un système politique maintenant la propriété privée des principaux moyens de production et ne planifiant pas l’ensemble de l’économie de façon autoritaire mais appliquant une politique dite sociale.
Celle-ci consiste à rechercher le compromis entre les classes sociales (négociations, conventions, participation des syndicats), à favoriser la production non-marchande, à limiter ou à corriger les inégalités de répartition par des transferts importants vers les plus défavorisés…
 
Source :
Dico-economique-et-social
 
Non, non... Je ne vais rien y ajouter, sinon ;)… sauf peut-être juste mentionner que le prochain sujet en économie sera consacré au Communisme... qui n'est que l'étape suivante à une économie de type socialiste...
 
Bisous,
@+
Sab

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20 avril 2013

Françoise Dorin : L’Etiquette


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Ah que coucou !
 
Comme vous vous en doutez en regardant l’image ci-dessus, pour des raisons juridiques je ne peux pas vous fournir, cette fois-ci, un exemplaire numérique gratuit de cette pièce de théâtre qu’est :
 
L’Etiquette
 
Par contre, je peux vous donner envie de la lire ;)…
 
Si vous aimez rire, si vous supportez que nos auteurs puissent nous amuser de nos défauts, en tant que peuple français, cette pièce est faite pour vous divertir. D’ailleurs, pour vous le prouver, consultez l'extrait que j'ai inséré au-dessous de ma signature et de la couverture du livre (vidéo, scène) où vous apprenez ce qu’est cette Etiquette… à quoi elle sert… depuis quand elle sévit en France ;)…
 
L’histoire débute ainsi…
Une troupe de théâtre amateur a décidé de présenter une pièce écrite par l’un d’entre eux : celui qui joue le rôle d’Arthur Caporet…
 
Quand on la lit/regarde au premier degré, on y trouve une retranscription moderne de la célèbre œuvre shakespearienne : Roméo & Juliette… A cause de l’Etiquette, les familles Montardu et Caporet sont ennemies. Toutefois notre Roméo, Arthur Caporet, est amoureux fou de sa Juliette, Georgette Montardu… et Georgette est amoureuse folle d’Arthur… Mais contrairement à la pièce de Shakespeare, Arthur et Georgette ne meurent pas à la fin… Evidemment, comme dans toute histoire qui doit bien se terminer, nous avons notre bonne fée qui, dans cette pièce, n’est autre que l’oncle paternel de Georgette, le demi-frère de Roger Montardu : Georges Rousseau qui va aider les jeunes amoureux à réconcilier leurs parents afin de pouvoir se marier… Mais pour cela, il faut passer outre l’Etiquette, celle qui définit et proclame au monde qui est C (Con) et qui est I (Intellectuel). Et oui, la famille Montardu fait partie de la première catégorie, tandis que les Caporet sont dans la seconde, ce qui représente un énorme obstacle infranchissable à nos 2 amoureux pour se marier. En effet, Georgette doit choisir entre un des deux fils Beauchard (qualifiés par l’Ordinateur de B.C. = Brave Con) pendant qu’Arthur est encouragé à épouser Stéphane Antinos (une I comme lui).
 
Mais si nous regardons cette œuvre d’un autre œil, nous y trouvons aussi un sujet philosophique mélangé à de la psychologie…
En effet, Françoise Dorin profite de cette pièce pour dénoncer certains de nos défauts...
 
Le Français, par exemple, aime bien cataloguer son contemporains (le faire entrer dans une case, une catégorie, un clan)… pour cela, regardez un peu autour de vous ! que voyez-vous ? Nous, qui restons souvent avec les mêmes personnes, dans le même groupe souvent très étanche… Certains vont même, quand il constate que des membres de leur groupe vont fureter un peu à droite et à gauche pour voir ce qu’il s’y passe, jusqu’à boycotter ce curieux et à demander aux autres membres du groupe d’abandonner ce coureur qui ne semble pas se satisfaire d’appartenir qu’à un seul groupe !
Et bien dans la pièce, nous y retrouverons ce phénomène… Georges, étant le demi-frère de Montardu, celui-ci estime qu’il doit être un membre à part entière du groupe C. Or Georges a l’esprit bien trop vif, même pour une I telle que Gabrielle Caporet (la mère d’Arthur) qu’il se permet de ridiculiser avec intelligence… Mais voilà, lors de recensement, quand Georges donne son questionnaire à la machine, celle-ci le classe dans une catégorie inexistante, il est Intellicontuel ! c’est-à-dire qu’il est, selon les normes strictes de la machine, autant C que I… Evidemment, le peuple français, représenté par son gouvernement et plus spécialement par le ministre du Recensement, n’accepte pas cette différence et si Georges refuse toute conciliation, Roger est obligé de l’accompagner à l’aéroport afin de l’expulser de la France !
 
Notre intolérance (qui n’est malheureusement pas une spécialité strictement française) est aussi mise en scène dans cette pièce.
Nous la trouvons enfouie profondément dans Roger Montardu (qui ne supporte pas le clan des I) et dans le personnage de Gabrielle Caporet (qui refuse que son fils puisse aimer une C de peur de la contagion). Ces deux personnages vont même jusqu’à parler de race quand il s’agit d’une évaluation intellectuelle.
 
Est mise en scène aussi un autre point absurde et déjà traité sur mon blog, dans le billet « Peut-on quantifier l’intelligence ? » (pour y accéder, cliquez ici)… ou a été démontré qu’il était impossible avec des tests poussés de quantifier l’intelligence aux contraires des connaissances (malgré les croyances de certaines personnes), alors… une machine qui aurait dans son programme un logiciel permettant d’affirmer qu’un tel est plus intelligent qu’un autre ??? ;) mdrrrr !!! comme qui dirait, il n’y aurait que les C qui seraient naturellement susceptibles de le croire ;). Toutefois cette pièce nous parle de I qui croit en ce classement dur comme fer… mais bon… Gabrielle Caporet est-elle aussi intelligente que le prétend son étiquette ? Moi, j’en doute ;). Et elle ne doit pas être la seule quand on apprend que les I doivent toujours être sérieux, austère, et les C déconnards, joyeux, pas sérieux…
 
Sur cette pièce, il y a encore beaucoup à dire. Mais le mieux est que vous la lisiez ;)
 
Bonne rigolade ! et bonne lecture !
 
Bisous,
@+
Sab
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Roger
La littérature maintenant… Tu crois vraiment que c’est un moyen d’existence ?
Georges
En tout cas, c’est un moyen d’exister… Et puis, ça ou autre chose, ne t’inquiète pas, je me débrouillerai. Il y a plus de trente ans que je me débrouille.
Roger
Tu te crois toujours plus malin que les autres.
Georges
Ca dépend quels autres. L’intelligence est une notion relative : on est toujours malin par rapport à certains, et idiot par rapport à d’autres.
Roger
Ah non ! C’est fini tout ça.
Georges
Depuis quand ?
Roger
Depuis le recensement. L’étiquette a simplifié tout ça.
Georges
Quel recensement ? Quelle étiquette ?
Roger
Tu ne vas pas me dire que tu n’es pas au courant ?
Georges
Comment veux-tu ? Je débarque.
Roger
Ca a fait du bruit, même au-delà de nos frontières.
Georges
J’étais dans le monde du silence.
Roger
Enfin, en venant de l’aéroport jusqu’ici, tu as bien rencontré des gens.
Georges
Oui…
Roger
Tu n’as pas remarqué qu’ils portaient tous des étiquettes, là ? (Il désigne sa poche de poitrine). B.C. ; J.C. ; V.C. ; S.C.
Georges
Oui, j’ai vu. J’ai cru qu’ils appartenaient à des clubs et que c’était leur insigne.
Roger
Mais C, ce n’est pas l’abréviation de Club.
Georges
L’abréviation de quoi, alors ?
Roger
De con.
Georges
De con !?
Roger
Oui. De con.
Georges
Tu plaisantes ?
Roger
Non ! B.C. : Brave Con ; S.C. : Sale Con ; J.C. : Jeune Con ; V.C. : Vieux Con.
Georges
Mais pourquoi portent-ils ça ?
Roger
Parce que c’est obligatoire. Pour le monde. Sous peine d’amende.
Georges
Mais, moi, je n’en avais pas.
Roger
A l’aéroport, ils ont dû te donner une carte provisoire attestant que tu venais de l’étranger.
Georges
Une carte ?
Roger
Blanche avec un liséré rouge.
Georges (il fouille dans ses poches et en ressort une carte)
Ah ! oui. Je l’ai mise dans ma poche, pensant que c’était une publicité.
Roger
Encore heureux que tu ne l’aies pas jetée : tu serais tombé sur un contrôle, on t’arrêtait !
Georges
Mais le petit Caporet n’en avait pas, d’étiquette.
Roger
Si, sûrement ! Mais elle devait être cachée sous son écharpe.
Georges
C’est possible.
Roger
C’est certain. Ils en mettraient plutôt deux dans la famille. Tu penses ! Ce sont des I.
Georges
Des I ?
Roger
Oui, des I.
Georges
Ah bon ! Il n’y a pas que des C.
Roger
Ah non, il y a les I.
Georges
Les Idiots ?
Roger
Non, les Intellectuels.
Georges
Ca alors ! Mais… je n’en ai pas rencontré dans la rue.
Roger
Ils sont moins nombreux, c’est pour ça.
Georges
Et eux aussi, les I, sont subdivisés comme les autres ? En braves I, en sales I, en jeunes I et en vieux I ?
Roger
Ah non, les I sont des I, c’est tout. Leur caractéristique c’est d’être intellectuels. Point final. Le reste se rattache à des notions bassement humaines qui ne les concernent pas.
Georges
C’est insensé ! Comment peut-on réunir sous une même étiquette des êtres aussi différents qu’un vieil intellectuel de gauche et un jeune intellectuel de droite ?
Roger
Il n’y a plus d’intellectuels de droite.
Georges
Ah bon !
Roger
Ils sont répertoriés dans les sales cons. Comme moi.
Georges
Ah ! parce que toi, tu es un…
Roger
S.C. Et j’en suis fier.
Georges
Et Mathilde ?
Roger
B.C.
Georges
Brave… euh…
Roger
C’est ça.
Georges
Le B est bien mérité.
Roger
Et Georgette est une J.C.
Georges
Et ton père a dû être un Vieux C exemplaire.
Roger
Il l’aurait été certainement, s’il n’était pas mort, hélas ! avant le premier recensement.
Georges
C’était quand ?
Roger
Il y a six ans. On en a déjà eu deux depuis. Le prochain a lieu demain.
Georges
Demain !
Roger
Oui ! Demain, tu auras ton étiquette.
Georges
Alors, ça, ça m’étonnerait, mais peu importe… Par simple curiosité, j’aimerais bien savoir qui a le culot de décréter qu’on est un I ou qu’on est un C.
Roger
L’Ordinateur.
Georges
L’Ordinateur ? Une machine !
Roger
Une merveille ! Tu remplis ta fiche de renseignements. Tu l’introduis dans l’ordinateur. Il se met en route. Il digère tout ça et, quelques secondes plus tard, il rend son verdict. Tu es tranquille. Il n’y a pas de problème.
Georges
Et si par hasard je ne suis pas d’accord avec lui ? Si j’estime mériter une autre étiquette que celle qu’il m’attribue ? Il n’y a toujours pas de problème ?
Roger
Non ! Pas de problème ! C’est toi qui as tort. L’Ordinateur ne se trompe jamais. L’erreur est humaine, pas mécanique.
Georges
Mais si néanmoins je suis persuadé du contraire, qu’il y a erreur, je peux me plaindre et demander une révision de mon cas ?
Roger
Bien sûr !
Georges
A un autre ordinateur ?
Roger
Non ! A l’Administration, mais je ne te le conseille pas. Tous ceux qui l’ont fait l’ont regretté.
Georges
Pourquoi ?
Roger
Ca dure des mois et des mois : on ouvre une enquête ; on t’envoie un fouineur assermenté qui fouille dans ta vie, comme un polyvalent dans tes comptes, et finalement on décrète…
Georges
… que l’ordinateur ne s’est pas trompé.
Roger
Exactement. Alors autant le croire tout de suite… et remplir sa fiche de renseignements avec soin et honnêteté. Je t’en donnerai une tout à l’heure. En tant que chef de section, ils m’en ont refilé une bonne pincée au ministère.
Georges
C’est le ministère des Finances qui s’occupe de ça ?
Roger
Ah ! non. Je n’y suis plus. J’ai été muté à celui du Recensement quand il a été créé. Mathilde aussi. Elle a été affectée au service de l’ordinateur. Moi, je supervise l’ensemble des opérations. Je suis comme qui dirait…
Georges
Chef de section.
Roger, enfilant sa veste
Voilà ! Tu me verras à l’œuvre demain. Je crois que tu seras épaté.
Georges
Oh ! Je le suis déjà… mais, dis-moi, qui est à l’origine de ça ?
Roger
De mes galons ?
Georges
Non, du recensement, de l’étiquette.
Roger
Antoine Blandichon, un député.
Georges
De gauche ou de droite ?
Roger
Il s’était présenté sans étiquette !
Georges
Un comble ! Et il est dans quelle catégorie ? Les intellectuels ou les autres ?
Roger
On ne sait pas, et on ne le saura jamais. Il est mort au lendemain de référendum, il y a sept ans environ.
Georges
Quel référendum ?
Roger
Celui où on nous a demandé de voter pour ou contre sa proposition.
Georges
Pour ou contre l’étiquette ?
Roger
Oui.
Georges
Et le vote a été positif ?
Roger
A 51%, comme d’habitude.
Georges
C’est incroyable !
Roger
Pourquoi ?
Georges
Que les intellectuels aient voté pour, à la rigueur, je peux le comprendre, mais les autres, les C ? Et c’est pourtant la majorité.
Roger
Mais bougre d’andouille, les autres, ils ne savaient pas qu’ils étaient des cons, puisqu’ils n’étaient pas encore répertoriés. Ils ne l’ont su qu’après. Avant ils espéraient.
Georges
Quelques-uns, peut-être, mais quand même, la plupart devaient bien se douter qu’ils n’étaient pas des intellectuels… Des gens comme toi, par exemple.
Roger
Oui d’accord, il y en avait.
Georges
Alors, ceux-là, pourquoi ont-ils voté « pour » aussi ?
Roger
Parce qu’ils étaient cons !
Georges
Ah oui ! ça c’est logique.
Roger
Tu vois !
Georges
Mais les 49% qui étaient contre, ils n’ont rien dit ?
Roger
On est en démocratie. Quand l’urne a parlé, le peuple s’incline.
Georges
Et il n’y a pas eu des remous par-ci, par-là ?
Roger
Il aurait pu y en avoir, mais la disparition subite de Blandichon a calmé les esprits. On ne manifeste pas contre un mort.
Georges
Ah ! c’est vrai que Blandichon est mort !
Roger
Hélas !
Georges
Tué par un contestataire ?
Roger
Non, il est mort de joie en apprenant les résultats de son référendum.
Georges
Justice immanente ! Il a été tué par où il avait péché.
Roger
Injustice, oui ! Le père du recensement méritait d’assister au moins aux premiers pas de son enfant.
Georges
Son enfant ? Dis plutôt son monstre. Ah ! Je te jure que si j’avais été là, on m’aurait entendu.
Roger
Pas plus que les autres mécontents.
Georges
Ah si ! Crois-moi, et j’aurais hurlé si fort que j’aurais fini par réveiller ce troupeau de veaux résignés.
Roger
Mais non ! ça s’est passé à cheval sur juillet et août. Les gens revenaient de vacances ou ils y partaient, alors tu sais…
Georges
Ah ! ça n’a pas changé, ça ! Toujours le même procédé : les guerres, les dévaluations, les hausses de prix, les impôts nouveaux… on dilue ça dans le soleil de l’été.
Roger
En plus, cet été-là, il y avait un temps exceptionnel, alors forcément…
Georges
On pensait plus au bronzage qu’à l’étiquette.
Roger
D’autant que la première année, ce n’était pas obligatoire de la porter sur le maillot de bain.
Georges
Parce que maintenant, ça l’est ?
Roger
Heureusement ! Sur les plages, c’était encore plus utile qu’ailleurs. A poil, c’était la pétaudière. On ne savait plus qui était qui : un type te disait quelque chose que tu ne comprenais pas. Tu lui répondais comme si c’était un con. Manque de pot, c’était un intellectuel, ça devenait grave.
Georges
Parce que tu crois vraiment que l’étiquette supprime ce genre d’erreur ?
Roger
Evidemment ! Maintenant, à toute heure, en tous lieux, tu sais immédiatement à qui tu as affaire.
Georges
Personnellement, je préfère découvrir peu à peu et par moi-même.
Roger
Ca prend du temps.
Georges
Pas tellement, hélas !
Roger
Ah si ! quand on tombe sur des zigotos comme toi… avec lesquels on ne sait jamais sur quel pied danser.
Georges
Tu ne le saurais pas davantage si j’avais une étiquette.
Roger
Mais si !
Georges
Mais non ! Un être humain, si simple, si fruste soit-il, ne se définit pas aussi succinctement.
Roger
Si tu vas par là, le galon aussi, c’est succinct. Pourtant ça suffit pour définir le militaire.
Georges
Je ne te suis pas bien.
Roger
S’il n’y avait pas de galon, comment saurait-on si on parle à un colonel ou à un deuxième classe ?
Georges
Ca renseigne sur le grade, pas sur l’homme, pas sur le caractère, pas sur l’esprit.
Roger
Ca éclaircit déjà les choses. Comme l’étiquette. Et crois-moi, avec ceux qui ont les deux : ça (il désigne ses galons), et ça (il désigne son étiquette), il n’y a pas beaucoup de risques d’erreur.