Matteo Bandello [Les Nouvelles] : La bonne Confession

Ah que coucou !

Ici Matteo Bandello nous narre la fois où il y eut un énorme scandale à Milan : un des citoyens de cette ville à confesser avoir commis le "péché contre nature" (= avoir des rapports homosexuels), s'en vanter, affirmer qu'il continuera et accuser le Moine qui le confessait d'avoir mis le Christ dans une fournaise ardente... Plus de détails ? Vous les trouverez dans la nouvelle suivante :

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Langue : Français

Quand on sait que quelques années plus tard l'auteur est devenu un ecclésiastique et que le Roi de France, en remerciement, l'a fait nommer "Evêque d'Agen" ;)... comme quoi l'Eglise était faussement accusée d'être et de soutenir l'intolérance des bigots... vous savez ? ces extrémistes qui rendent toutes les causes qu'ils embrassent : néfastes à la vie et enquiquinantes et/ou ennuyeuses (voir invivables) à leurs concitoyens...

Bonne lecture !

Bisous,

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Sab

Honoré de Balzac : Six degrés du Crime et Six degrés de la Vertu

Ah que coucou !

Dans cette courte nouvelle Honoré de Balzac met en opposition avec humour ce qu'il est bien de faire ou mal qu'on soit ou en République, ou dans une Monarchie... Oui, les temps étaient compliqués à vivre pour nos ancêtres de cette période où le régime politique de la France pouvait changer du jour au lendemain... de quoi en faire craquer plus d'un...

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Bonne lecture !

Bisous,

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Sab

Gustave Flaubert [D'un Journal d'Ecolier] : Portrait de Lord Byron

Ah que coucou !

En quelques mots Gustave Flaubert nous narre ici ce qu'il a appris concernant de célèbre poète britannique qu'était Lord Byron (auteur très apprécié par Honoré de Balzac)...

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Bonne lecture !

Bisous,

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Sab

Les Mille-et-Une Nuits : L'Ane, le Boeuf et le Marchand

Ah que coucou !

A l'aide de ce conte le grand vizir espère faire changer d'avis sa fille, Shéhérazade, de vouloir être l'épouse du sultan pour la nuit (le sultan obligeant le grand vizir à tuer son épouse le lendemain matin des noces, comme nous l'avons lu dans le conte précédent). Il lui narre donc le conte suivant :

 

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Mais ne parvenant pas à lui faire abandonner son projet, il accepte d'annoncer au sultan, fort étonné qu'il puisse sacrifier sa propre fille, que le mariage avec Shéhérazade se déroulera le lendemain...

Evidemment Shéhérazade a sa petite idée pour ne pas se faire assassiner par son père le lendemain de ses noces et pour sauver ainsi toutes les autres femmes du sultanat. Mais pour cela, elle a besoin de l'aide de sa sœur... ce qui sera narré dans le prochain conte ;)...

Bonne lecture !

Bisous,

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Sab

Matteo Bandello [Les Nouvelles] : Le Mari jaloux

Ah que coucou !

De la jalousie dans un couple, nous avons déjà abordé le sujet avec Molière, il y a quelques années, et sa pièce : L'Ecole des Maris (cliquez ici pour accéder au billet et à l'e-book)... Comme nous nous en doutons, Molière, très "mari-jaloux" lui aussi (si nous en croyons ses différents biographes), n'a pas été le premier à en déclamer les dangers... par exemple, un peu plus d'un siècle avant lui, celui qu'on surnomme l'Evêque d'Agen nous signale comme il peut être dangereux pour la paix du ménage d'être très jaloux de sa/son tendre moitié(e) dans la nouvelle suivante :

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Au début de son mariage Bindoccia a toutes les raisons d'être heureuse, son mari, Angravalle, l'aime tant qu'il le lui prouve toutes les nuits... Mais voilà, pour des raisons que même Angravalle ignore, ce qui était un "plaisir" devient un "devoir conjugal" de plus en plus espacé... et si espacé que Bindoccia estime que son mari la délaisse car celui-ci a une maîtresse...

Angravalle aime pourtant tout autant sa femme, mais comme il ne peut plus le lui prouver autant, et qu'il craint que celle-ci aille chercher ailleurs ce qu'elle ne trouve plus chez elle, Angravalle devient, jour après jour jaloux... et sa jalousie atteint même un tel sommet, qu'il congédie tous ses domestiques et qu'il n'en prend plus que 2, plus en charge de surveiller l'épouse que de servir...

Bindoccia ne tient plus... elle décide alors de prendre un amant et elle choisit alors Niceno, le meilleur ami de son mari...

 

La suite ? je vous la laisse la découvrir par vous-même...

 

Bonne lecture !

 

Bisous,

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Sab

Honoré de Balzac : L'Embarras du choix

Ah que coucou !

Que faire quand on reçoit le même jour 2 mêmes décorations (alors qu'on en espérait qu'une) ? De plus, en ces temps un peu / beaucoup tumultueux où le lendemain ceux qui gouvernaient la vieille n'étaient pas sûr de ne pas être renversés et, dans le meilleur des cas, emprisonnés, comment ne pas craindre pour sa propre liberté en arborant une décoration donnée par le clan adverse ? bref, voilà à quel choix cornélien le héro de cette nouvelle est confrontée :

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Dans cette nouvelle nous constatons à nouveau que l'humour de Balzac est fin...

Bonne lecture !

Bisous,

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Sab

Gustave Flaubert [D'un Journal d'Ecolier] : Dernière scène de la Mort de Marguerite de Bourgogne

Ah que coucou !

Pour ceux qui ne se souviendraient plus de leur cours d'histoire, Marguerite de Bourgogne était la première épouse de Louis X, dit le Hutin, mère de Jeanne de Navarre. Suite au scandale de la Tour de Nesle (1314) où elle y recevait ses amants, elle a été accusée d'adultère et condamnée à être enfermée à la prison de Château-Gaillard par Philippe IV, dit le Bel, son beau-père. Quand celui-ci mourut et fut remplacé par Louis X, son fils aîné, elle mourut assassinée sur ordre du roi qui souhaitait pouvoir épouser, en seconde noce, Clémence de Hongrie, seconde fille de Charles Martel.

Dans ces quelques pages, Gustave Flaubert imagine quels ont du être les derniers moments de ce reine qui ne fut jamais couronnée et nous apprend ainsi quel était l'enseignement sur Marguerite de Bourgogne que les collégiens français avait au XIXe siècle ;)...

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Bonne lecture !

Bisous,

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Sab

Les Mille-et-Une Nuits : Les Mille-et-Une Nuits

Ah que coucou !

Non ! Il n'y a pas d'erreur dans le titre de ce billet : aujourd'hui nous commençons les contes des Mille-et-Une Nuits, par le premier : Les Mille-et-Une Nuits...

Nous nous trouvons en Perse, dans le royaume d'un roi si sage et si prudent qu'il était adoré par son peuple. Ce roi avait deux fils : Schahriar (premier né) et Schahzenan (son cadet). Les deux frères s'aimaient tant qu'à la mort de leur père Schahriar, au lieu de laisser Schahzenan dans sa position de cadet, lui donna le trône de la Grande-Tartarie, où Schahzenan partit vivre. Ces deux princes vivaient heureux jusqu'au jour où Schariar, voulant revoir son frère, lui demanda de venir le visiter et que Schahzenan découvrit que son épouse, qu'il adorait, profitait de son absence pour le tromper... Que fit alors Schahzenan ? Il tua les 2 adultérins et partit chez son frère où, un jour de l'absence de son grand-frère, il surprit la sultane...

Que faire ? Quelle réaction doit-il adoptée ?

Et bien vous le saurez en lisant ce premier conte :

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Ce premier conte servant d'introduction aux autres contes, il explique pourquoi ont été transmis ces contes au fil des générations successives jusqu'à nos jours...

Bonne lecture !

Bisous,

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Sab

Matteo Bandello [Les Nouvelles] : La Comtesse de Cellant

Ah que coucou !

Bianca Maria, la Comtesse de Cellant, a des manières, même pour l'Italie de la Renaissance, qui ne peuvent dresser les cheveux sur la tête aux "bien-pensants"... pour les autres, soit on s'en foutrait soit on s'en amuserait... oui, elle fait tant tourner en bourrique ses amants que les amants qu'elle déteste, elle se met à les adorer, que ceux qu'elle adore, elle se met à les haïr... comme qui dirait : elle ne sait pas trop bien gérer sa vie "amoureuse"... résultat ? certains amants discutant entre eux, comparant leurs impressions, s'aperçoivent et en concluent qu'elle est une femme très méchante...

Justement 2 de ses amants (qui sont autant anciens, qu'actuels que futurs) en discutant entre 4 yeux se sont aperçus qu'en fait, quand elle était dans les bras d'un, elle l'exigeait de lui qu'elle tue l'autre... Une fois cette constatation faite, ils restèrent ses anciens amants... de plus, à chaque fois qu'ils leur étaient possible de parler d'elle, ils répandaient le bruit comme quoi elle se comportait telle une catin...

Evidemment, ça n'a pas plu à la Dame qui décida, pour se venger, d'exiger de son amant actuel Don Pietro d'organiser l'assassinat et du Comte Gaiazzo et de Ardizzino.

Et à votre avis, que se passa-t-il ???

Et bien vous le découvrirez en lisant la nouvelle suivante :

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Bonne lecture !

Bisous,

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Sab

Honoré de Balzac : Grand Concert vocal et instrumental

Ah que coucou !

mdrrr !!

Pourquoi je ris ?

En lisant la nouvelle suivante je me disais, là, Balzac, me laisse sans voix, que vais-je pouvoir bien dire pour présenter ce nouvel e-book ? et puis, j'en suis arrivée à la dernière phrase et...

Eurêka ! mdrrrr !! Vive Balzac !!

 

Vous voulez comprendre ? et bien il ne vous reste plus qu'à lire la nouvelle suivante :

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Ceci dit en passant, pour comprendre : révisez l'histoire de la France du 19e siècle, et non en la parcourant vite fait... regardez un peu plus dans les détails.

Bonne lecture !

Bisous,

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Sab

Gustave Flaubert [D'un Journal d'Ecolier] : Chevrin et le Roi de Prusse...

Ah que coucou !

Le saviez-vous, vous, qu'on osait dire de Friedrich der Grosse (= Frédéric le Grand, le Roi-Philosophe, compositeur, joueur de flûte, amoureux des arts, grand stratagème militaire...) qu'il était un âne ? Ici Gustave Flaubert nous explique pour quel motif il ose écrire cela de l'un des Pères-fondateurs de l'Allemagne... qui avait beaucoup de défauts (les Allemands le reconnaissent), comme la réputation d'être avare (en réalité les caisses étaient vides...), mais nullement celui d'être idiot...

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Bonne lecture !

Bisous,

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Sab

Charles Nodier : Notice sur Galland (traducteur des Contes orientaux)

Ah que coucou !

Ces jours prochains nous allons lire / relire les Contes orientaux qui composent les Mille-et-Une Nuits... Tous ces contes ont été traduits par le très célèbre orientaliste du XVIIIe siècle : Antoine Galland. A ma connaissance nulle traduction n'a été mieux faite depuis...

 

Source : BnF
 

Qui était Antoine Galland ? vous le découvrirez en lisant cette courte biographie élaborée par Charles Nodier (pour consulter ses ouvrages déjà présents sur ce blog, cliquez ici) :

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Bonne lecture !

Bisous,

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Sab

Matteo Bandello [Les Nouvelles] : Pain pour fouace

Ah que coucou !

"Rendre Pain pour fouace" signifie qu'on se venge par une offense plus grave.

Ici Pompeio, qui aime une femme qui, pour protéger son identité Bandello la surnomme Eleonora, une femme mariée qui se comporte de façon assez outrageuse, se retrouve, un jour sous l'épée du mari de sa bien-aimée qui encourage son mari à frapper sur Pompeio dissimulé...

Evidemment celui-ci est paniqué dans sa cachette et ne doit la vie qu'au fait que le mari ait refusé le pari pour prouver que la lame de son épée coupe bien...

Une fois l'époux partit Eleonora fait sortir Pompeio de sa cachette, l'invite à s'enfuir, et à ne plus jamais revenir lui compter fleurette.

Pompeio part et commence à préparer sa vengeance...

Quelle est-elle ?

Vous l'apprendrez en lisant la nouvelle suivante :

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ÂME SENSIBLE S'ABSTENIR !

 

Bonne lecture !

Bisous,

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Sab

Honoré de Balzac : La Fortune en 1831

Ah que coucou !

Dans cette nouvelle Honoré de Balzac définit ce qu'est la "Fortune"... je l'aime bien sa définition, moi, pas vous ?

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Bonne lecture !

Bisous,

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Sab

Gustave Flaubert [D'un Journal d'Ecolier] : Mattéo Falcone ou Deux Cercueils pour un Proscrit

Ah que coucou !

Corse : pays de la Vendetta la police poursuit un prisonnier, blessé et en fuite. Celui-ci trouve refuge auprès d'Albino Falcone, fils de Mattéo, le célèbre chasseur corse... Mais voilà, quand les policiers arrivent leur chef propose à Albino de lui offrir la montre s'il accepte de leur désigner où le fuyard se cache...

Que va choisir l'enfant ? et qu'advint-il ensuite quand Mattéo Falcone vient voir ce qu'il se passe ??

Vous le saurez en lisant la nouvelle suivante :

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Bonne lecture !

Bisous,

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Sab

Georges Courteline [Lieds de Montmartre] : L'Héritage

Ah que coucou !

Avec cette nouvelle nous terminons là le recueil Lieds de Montmartre.

Ce dernier texte étant bien trop court pour être présenté sans risque de plagier son auteur, vous le découvrirez après ma signature.

Bonne lecture !

Bisous,

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Sab