30 décembre 2019

Emile Zola [Le Naturalisme au théâtre] : Théorie (le Costume)

Ah que coucou !

A l'époque de Zola c'étaient les comédiens qui choisissaient leur costume... et on assistait à un concours de belles toilettes, même les esclaves étaient habillés tels des princes... Avec le naturalisme on demande aux comédiens de jouer dans des costumes logiques avec le rôle tenu mais cela fait grincer des dents certains...

Est-ce bien ou mauvais ?

Lisez donc cet argumentaire de Zola pour faire votre opinion propre !


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Bonne lecture !

Bisous,
@+
Sab

28 décembre 2019

Georges Chaulet : Fantômette contre Fantômette

Ah que coucou !

Et bien voici le volume 6 de la série de Fantômette, pour lequel j'ai préféré mettre le résumé "original" plutôt que celui fourni avec cette édition qui était moins bon. Ceci dit en passant... décidément, les illustrations des versions récentes sont : horribles ! vous ne trouvez pas ???

En attendant, pour vous mettre en bouche (le texte) :

 











 Bonne lecture !

Bisous,
@+
Sab

26 décembre 2019

Voltaire : Sémiramis

Ah que coucou !

Le 17 octobre 2019 Voltaire nous a présenté dans la 3e partie de sa Dissertation sur la Tragédie ancienne et moderne la pièce de théâtre suivante dont il est l'auteur :

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Nous y trouvons de l'Amour, de la Haine, de la Vengeance, 1 fantôme et tout cela dans la Babylone réputée pour ses jardins en terrasse... nous y retrouvons la Reine de ces lieux, Sémiramis (complice de l'assassinat de son époux Ninus que sa dernière lettre adressée à son fils Ninias (= Arzace) accuse).

Cette pièce a été utilisée en 1823 par Rossini pour son célèbre opéra Semiramide (voir toutes les informations en cliquant ici).

Qu'ajouter d'autres à ce que Voltaire a déjà écrit ??? qu'à part Sémiramis de Voltaire est beaucoup beaucoup beaucoup beaucoup mieux que Sémiramis de De Crébillon ;)... y a pas photo !!!

Bonne lecture !

Bisous,
@+
Sab

24 décembre 2019

Emile Zola [Le Naturalisme au théâtre] : Théories (Décors et Accessoires)

Ah que coucou !

D'abord, pour ce soir et demain :


que la Joie et le Bonheur vous accompagnent pendant toutes ces fêtes de Noël 2019. Profitez bien de ce moment de bonheur en compagnie des personnes que vous aimez !

Maintenant...

Le mouvement littéraire naturaliste exige aussi de son auteur une description exacte de l'environnement dans lequel les personnages évoluent. Or le théâtre n'est qu'une scène à l'intérieur d'un bâtiment qui, même si elle est immense dans certain théâtre, ne permet pas d'y reproduire, par exemple, la Tour Eiffel grandeur nature ;)... nous pouvons donc estimer que les exigences du naturalisme ne peuvent, dans ce cas, être "satisfaites"... comment donc notre Zola national, pro-naturalisme, va-t-il pouvoir se sortir de cette impossibilité là ? Eh bien vous le saurez en lisant l'e-book suivant :


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... comme quoi : rien n'est impossible ;)...

Bonne lecture !

Bisous,
@+
Sab

22 décembre 2019

Jules Romain : Les Copains

Ah que coucou !

Les Copains... oh ! en voilà un titre qui promet ;)...

Les copains sont 7. Il y a Bénin, Huchon, Lamendin, Broudier, Lesueur, Martin, Omer. Ils aiment bien manger... bien boire... et... faire quelques "mauvais tours"... justement, c'est surtout de leurs "mauvais tours" dont il est question ici - avis aux amateurs :

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Bonne lecture !

Bisous,
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Sab
 

20 décembre 2019

Prosper Jolyot de Crébillon : Sémiramis

Ah que coucou !

Sémiramis est une reine babylonienne dont les ennemis veulent lui dérober son trône.


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J'avoue.
Si j'avais commencé par cette pièce, je n'aurais pas été plus loin et me serais arrêtée là. Car dans cette pièce, même si la technique est là, l'histoire ne commence pas avant le 4e acte - et comme cette tragédie n'est que de 5 actes ;)...

Bonne lecture !

Bisous,
@+
Sab

18 décembre 2019

Emile Zola [Le Naturalisme au théâtre] : Des Subventions

Ah que coucou !

Nous connaissons tous le problème lié aux subventions : certaines sont méritées au contraire d'autres qui sont plus à considérer comme étant un abus, un vol de fond public (il ne faut pas oublier que cet argent est pris sur nos impôts, alors parfois, il serait plus pertinent de ne pas demander de subvention afin que nos impôts ne soient pas augmentés...). Dans cet article, Emile Zola, lui aussi, estime que certains bénéficiaires peuvent se passer de subventions afin que d'autres puissent, eux, en bénéficier et faire "avancer" la culture...


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Bonne lecture !

Bisous,
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Sab

16 décembre 2019

Honoré de Balzac : Un Entr'acte

Ah que coucou !

Stanislas de B... est un homme BCBG, toutefois la Société qu'il fréquente se remémore un fait qui s'était déroulé 19 ans plus tôt : l'assassinat de Joseph Cottin pour lequel Stanislas avait été soupçonné...

Plus d'info ?

Et bien lisez ces quelques lignes !


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Bonne lecture !

Bisous,
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Sab

14 décembre 2019

Voltaire : Des Mensonges imprimés

Ah que coucou !

Les hoax (= fausses rumeurs) ne sont nullement un phénomène de notre époque... de tout temps des personnes, souvent mal-intentionnées, ont tenté de duper leurs contemporains en inventant des "nouvelles" prétendues provenir de source très fiables. C'est de ceci que Voltaire nous parle dans le texte suivant :


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Ici il nous narre aussi pour quels motifs il estime que le Testament attribué à Richelieu est un faux avant d'avoir écrit, en 1764, Au sujet du Testament politique du Cardinal de Richelieu (cliquez ici pour y accéder), texte commenté par les Editeurs de Kehl qui accusent Voltaire de n'être qu'un jaloux ;)...
A ce sujet, Voltaire explique déjà en 1749, les différentes tentatives de ce que nous nommons aujourd'hui, "chantage" dont il était, lui aussi, victime et que ce "chantage" venaient principalement des "éditeurs" peu scrupuleux...
Voltaire nous met aussi en garde contre ces prétendues sources fiables ;)... qui, étrangement, continuent à être quasi les mêmes aujourd'hui encore ;)...

Bonne lecture !

Bisous,
@+
Sab

12 décembre 2019

Emile Zola [Le Naturalisme au théâtre] : Théorie (La Critique et le Public)

Ah que coucou !

Qu'ajouter quand tout est dans le titre ? que Zola ne se borne pas là qu'au public parisien mais aussi provincial et étranger ? qu'il nous parle des "problèmes" que connaît le théâtre anglais ?
Eh ben... c'est fait ;)...


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Bonne lecture !

Bisous,
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Sab

10 décembre 2019

Henri de Bornier : La Fille de Roland

Ah que coucou !

Prochainement vous lirez dans un e-book d'Emile Zola des références à cet auteur et à cette pièce de théâtre plus particulièrement... donc, afin que vous sachiez de quoi Emile Zola parle, la voici :

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Attention ! il ne s'agit pas là d'un conseil de lecture du maître, mais d'une aide pour comprendre pourquoi il en parle ainsi...

Quant à l'histoire...

Tout le monde connaît Roland de Roncevaux... et bien, imaginez si celui-ci avait eu une fille... et que cette fille tombât amoureux du fils de Ganelon... eh bien avec ces quelques mots, je viens de vous résumer succinctement tout le contenu de la dite pièce...

Bonne lecture !

Ceci dit, je suis d'accord avec Emile Zola ;)...

Bisous,
@+
Sab

8 décembre 2019

Agatha Christie [Christmas Pudding] : Greenshaw's Folly

Ah que coucou !

Décidément... cette traductrice n'est pas bonne. Soit elle ignore une des 2 langues (l'anglais ou le français, elle laisse de trop nombreux termes non-traduits ou mal traduits avec ce qu'on appelle les faux-amis), soit elle n'a aucune culture générale que ce soit dans l'une ou l'autre culture... Quant au titre... pourquoi n'a-t-elle pas repris le titre original : Greenshaw's Folly ? alors que là... ben... étant un nom propre elle pouvait le laisser tel quel ;), là, elle pouvait ;)... et non seulement elle a changé le titre de la nouvelle (elle l'a remplacé par le premier vers du premier refrain d'une chanson populaire de l'ère victorienne, qui, pour nous, francophones, peut nous amener à faire des erreurs de compréhension), mais, en plus, elle a voulu le traduire tout au long de la nouvelle et l'on se retrouve, dans son texte, avec "Folie Greenshaw", sans qu'elle ne se soit soucié que Folly était un faux ami de folie ;)...
Bon Folly ici, signifie quoi ? qu'est-ce que ça a à voir avec le nom d'une résidence ?
Folly est une exubérance architecturale qui se trouve dans un jardin, et qui, en français, n'a aucune traduction propre (= en français on n'a pas de mot pour ça). Folly peut être une colonne sans aucune raison passée, cela peut être une gloriole, cela peut être, comme ici, un amas de rocailles dans un jardin non rocailleux, cela peut être un gros rocher en granit dans un jardin où le sol est argileux... Voilà ce que veut dire le Folly anglais quand on parle d'une habitation, d'une demeure, d'une propriété...
Quant à housekeeper, en français on traduit par servante, femme de chambre, femme de charge, domestique mais non par gouvernante. Une gouvernante ne fait pas le ménage, ne se retrouve jamais avec un plumeau entre les mains, elle ne balaie jamais, elle n'apporte pas les plats, même le "tea or coffea with cookies". Une gouvernante gagne plus qu'une femme de chambre... Une gouvernante gouverne les domestiques... dans tout son texte, la traductrice nous montre sa complète méconnaissance dans la tenue d'une maison où il y a des domestiques... elle prouve aussi qu'elle ne s'est pas informée. Bref si vous trouvez une autre traduction, un conseil : prenez-la et jetez celle-ci !

Bon en attendant, je me suis permis de corriger les plus grosses erreurs ou de les mentionner (je n'allais pas répéter, encore et encore la même chose, je vous renvois, en cas d'oubli, vers "plus haut dans le texte"). Pour éviter l'erreur de compréhension que peut entraîner son titre en français dans nos cerveaux francophones, j'ai ajouté, tout à la fin, les paroles de cette chanson "à la mode" Ask a Policeman, les paroles sont en anglais, sorry pour ceux qui ignorent la langue de Shakespeare... en résumé il s'agit d'une satyre de l'ère victorienne concernant la présence permanente des policiers dans les rues... On y explique tous les avantages d'une présence policière, mdrr !
Quant à ses fautes de français "moindre", je les ai laissées... nos cerveaux les corrigeant instinctivement.

Désolée, je n'ai pas d'autres traductions sous la main et le texte en version originale... ben... il manque des pages alors... ben... désolée, je ne l'ai pas incorporé à cet e-book :


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Miss Greenshaw décide d'apporter quelques changements dans son testament et comme "témoins" elle demande à Horace Blinder et à Raymond West de signer.
Comme vous le savez Raymond West est un des neveux de Miss Jane Marple. Oui, il s'agit là d'une "enquête" de Miss Marple.
Joan & Raymond West sont les tante & oncle de Lou Oxley, récemment séparée de son mari et mère de 2 enfants. Lou et ses enfants vivent chez Joan et Raymond West le temps qu'elle trouve une situation et qu'elle puisse subvenir aux besoins de sa famille. Justement Miss Greenshaw a demandé à Raymond West, écrivain, de travailler pour elle en qualité d'archiviste ou d'historien familial (désolée, là, ça fait partie des pages manquantes dans la VO et la traduction... ben... on nous propose même 1 fois le mot "secrétaire" ;) mdrrr ! non, décidément, cette traductrice n'y connaît absolument rien !!). Raymond West ayant décliné l'offre propose ce poste à Lou qui accepte, il contacte alors Miss Greenshaw qui embauche Lou avec de bons appointements.
Lou est ravie. Toutefois elle remarque que sa présence n'est nullement appréciée par Mrs Cresswell, la domestique [housekeeper ;)] de Miss Greenshaw. Lors de ce "premier" jour, Lou est étonnée aussi par le fait que Miss Greenshaw lui demande de téléphoner à son neveu pour l'inviter à manger le lendemain...
Nataniel Fletcher est le fils d'une des sœurs de Miss Greenshaw. Lui et elle ne se sont jamais vus. Toutefois Nataniel Fletcher a écrit quelques jours plus tôt à Miss Greenshaw...
Le lendemain quand Lou arrive, la seule personne qu'elle rencontre est Albert, le jardinier, qui travaille dans une des allées. Quand elle entre dans la maison ouverte, elle lui semble déserte. Elle décide donc de se rendre dans la pièce mise à sa disposition et, alors qu'elle passe devant un des portraits du père de Miss Greenshaw, elle remarque une grande ressemblance entre Albert et celui-ci. D'une des fenêtres, elle voit, au loin, Miss Greenshaw qui semble occupée à désherber les rocailles quand, tout à coup, celle-ci se met à tituber vers la maison, en tenant une flèche. C'est Il qui le lui a envoyée... Miss Greenshaw, apercevant Lou à la fenêtre, lui demande de descendre l'aider, Lou s'aperçoit alors qu'elle est enfermée et ne peut sortir... Miss Greenshaw demande alors à Mrs Cresswell de l'aider... mais celle-ci aussi est enfermée dans la pièce où elle se trouve... Miss Greenshaw, en titubant, atteint le salon où elle s'écroule et meurt des suites de sa blessure.
Cela se passe à midi vingt-cinq... et à midi vingt-neuf la police est avertie par Lou qui, ayant trouvé un téléphone dans la pièce où elle a été enfermée, les a appelés.

Qui a tué Miss Greenshaw ? et pourquoi ?
Eh bien, vous le saurez de la bouche même de Miss Marple...

Bonne lecture ;) !

Bisous,
@+
Sab

6 décembre 2019

Emile Zola [Le Naturalisme au théâtre] : Théorie (Les Deux morales)

Ah que coucou !

J'avoue : j'ai manqué d'un peu de concentration en lisant cette partie-là :-o... il y a donc certainement quelques détails qui m'ont échappés...

Les "deux morales", quelles sont-elles ? Dans les contes, c'est ce que nous appelons "la Moralité"... eh bien, dans le théâtre du temps de Zola, cela se faisait aussi au théâtre : il fallait enseigner une loi/obligation "morale"...
Quand Zola parle des 2 morales, il s'agit de 2 que l'on trouve dans la très très grande majorité des pièces qui sont à la mode dans ce temps-là. Or, elles sont tout à fait "obsolète" car leur "enseignement" était déjà entré dans les mœurs de nos ancêtres et s'y était bien installé... Laissons Zola conclure ;) :

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Bonne lecture !

Bisous,
@+
Sab

4 décembre 2019

Pierre Corneille : Othon

Ah que coucou !

Othon (32 - 69) était, la dernière année de sa vie, empereur de Rome. Il succéda à Galba (3 - 69) (qui lui même succédait à Néron (37 - 68)). Voilà pour l'Histoire... maintenant passons à cette tragédie, qui n'en est pas "réellement" une, enfin, telle que la définit Corneille dans son discours sur la Tragédie : "Outre les trois utilités du poème dramatique dont j’ai parlé dans le discours précédent, la tragédie a celle-ci de particulière que par la pitié et la crainte elle purge de semblables passions. Ce sont les termes dont Aristote se sert dans sa définition, et qui nous apprennent deux choses : l’un, qu’elle excite la pitié et la crainte ; l’autre, que par leur moyen elle purge de semblables passions." (cf. Discours sur le poème dramatique, accessible à partir de ce blog en cliquant ici). Oui, ici, il n'y a personne de "bon"... personne de "méchant"... il n'y a que des hommes et des femmes... il n'y a qu'une lutte pour le pouvoir qui atteint son paroxysme...


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Bonne lecture !

Bisous,
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Sab

2 décembre 2019

Agatha Christie [Christmas Pudding] : Le Retour d'Hercule Poirot

Ah que coucou !

The Underdog est le titre original de cette nouvelle enquête et me pose un sérieux problème... Le problème vient d'une différence entre 2 versions, l'une éditée en 1926 (au Royaume-Uni) et l'autre éditée en 1951 (aux USA).

Dans la version de 1926, parue dans London Magazine au mois d'octobre, Hercule Poirot est heureux de se rendre, pour dîner, chez les Astwell. Mais arrivé là, il a vite fait de constater que Sir Robert Astwell est une personne détestable. Quand on découvre le cadavre de celui-ci, il n'y a que très peu de suspect qui aurait pu commettre ce crime... plus d'informations sur cette version (en anglais) : 


Dans la version de 1951, Lilly Margrave, dame de compagnie de Nancy Astwell, vient trouver Hercule Poirot pour lui demander, au nom de sa maîtresse, son aide pour disculper Charles Leverson, le neveu des Astwell, accusé du meurtre de Sir Reuben Astwell... (plus d'information sur cette version (en anglais US) : en lire sa version directement à la fin de l'e-book)... Cette version de 1951 est celle qui a été prise et traduite dans la version française du recueil Christmas Pudding


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Langues : Français & Anglais

Le point commun entre eux ? Le meurtrier est identique ;)... mais l'enquête, elle, euh...

Vous allez constater, en lisant la version française, que j'ai apporté (via les notes) des corrections à la traduction. Oui... en plus des problèmes dans le choix entre 2 versions, il y a les erreurs de traduction de la traductrice !! bon, pas tellement grave, elles sont là encore possible à "corriger"... toutefois je vous conseille, si vous ignorez la langue de Shakespeare et/ou si vous ne trouvez pas une version en anglais d'un texte traduit par cette traductrice, de jeter la dite-traduction... en voyant ses erreurs, vous en comprendrez aisément les raisons... oui, elle fait partie des "traducteurs" à éviter ! car elle semble ne pas connaître les faux-amis, elle traduit mal une phrase qui est composée grammaticalement de plus d'1 sujet + 1 verbe conjugué + 1 complément (notre cerveau en faisant instinctivement la correction, je n'ai pas pris la peine de tout corriger, sinon il aurait fallu que je refasse toute la traduction !), et, cerise sur le gâteau, elle semble parfaitement ignorer et/ou la culture anglophone et/ou la culture francophone (mais çà, c'est plus visible dans la nouvelle qui suit celle-ci dans le recueil)...

Bonne lecture quand-même ;) !

Bisous,
@+
Sab