30 septembre 2021

Alphonse Daudet : Mémoire d'un Homme de lettres : La Mule du Kadi

Ah que coucou !

Nous retrouvons Alphonse Daudet en Algérie qu'il veut visiter non pas tel un tourisme accompagné de son guide de voyage mais tel un Homme rendant visite à ses amis... mais voilà, autre qu'Alphonse Daudet ne connaît la langue, sauf le célèbre Salamaleck, il ne sait pas monter à cheval ! or, à cette époque, pour voyager de village en village, il fallait impérativement connaître l'art équestre. Son ami Emmanuel, commerçant, a alors une idée et invite Alphonse Daudet à revenir de bonne heure afin de partir le plus tôt possible vers Djenbel, là où habite leur ami le Bach-aga Sidi Boualem.
C'est alors qu'Alphonse Daudet découvre sa future monture ;)...

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Langue : Français

Bonne lecture !
 
Et voilà, c'était la dernière des Mémoires...

Bisous,
@+
Sab


28 septembre 2021

Louis Ulbach : Le Brelan

Ah que coucou !
 
Julien, marquis de Thurigny, heureux époux de Louise, est le fils unique de Gaston de Thurigny, un débauché qui écume l'Europe et qu'il ne connaît pas jusqu'au jour où ce père absent rentre chez lui accompagné d'un dénommé Frantz dont on ignore le rôle.... même sa mère ne parvient pas à savoir qui est cet homme étrange dont le regard fait peur à Julien...

Voici comment Julien, en cette nuit, commence à présenter l'histoire à sa jeune épouse. Histoire qui nous emmène sur les traces de son père en Allemagne plus particulièrement, sur le scandale d'Elisabeth, Carl et Walter, sur l'affaire du brelan de roi, sur l'entrée en scène de ce Frantz... et sur les conditions de la mort de Gaston de Thurigny...


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Langue : Français

Bonne lecture !

Bisous,
@+
Sab

26 septembre 2021

Tony Révillon : La Tempête

Ah que coucou !
 
Mme Veuve Baudouin, à la mort de son père, hérite d'une fortune qu'elle ne soupçonnait pas. De ce fait, elle rêve de faire épouser à son fils unique, une riche héritière... Mais voilà, Louis, le fils, est amoureux de la fille d'un pêcheur qui ne possède même pas son propre bateau... il veut l'épouser et, malgré le refus permanent de sa mère, il l'épouse et rompt toute relation avec sa mère... jusqu'au jour où une énorme tempête s'abat sur la région et...
 
Et quoi ?
 
Eh bien vous le saurez en lisant la nouvelle suivante :
 

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Langue : Français
 
Bonne lecture !

Bisous,
@+
Sab

24 septembre 2021

Maurice Leblanc [La Robe d'écailles roses] : Le Roman d'une jeune fille

Ah que coucou !
 
Quand débute cette histoire, Gilberte et sa mère, Mme Armand, arrivent à Dieppe où elles ont prévu de passer quelques jours avant de poursuivre leur voyage... surtout aussi parce que Mme Armand attend la réponse à une lettre qu'elle a expédié, quelque temps auparavant, à l'ancienne nourrice de sa fille. Mais voilà, Mme Armand meurt... et c'est suite à ce décès qu'on découvre que Gilberte ignore qui elle est car, en Allemagne, ses parents et elle endossait le patronyme de Dumas (arrivant de France), en Angleterre ils s'appelaient Kellner (arrivant d'Allemagne) et à Dieppe, Armand arrivant d'Angleterre... Gilberte, jeune fille, encore enfant, ne peut rester à l'hôtel... elle décide donc d'aller à Domfront, où voulait aller sa mère où elle voulait rencontrer la nourrice de Gilberte...
A Domfront, Gilberte, profitant de sa fortune, s'installe dans la résidence Le Logis, appartenant à une veuve, Mme de la Vaudraye et à son fils Guillaume, sous le nom de Mme Veuve Armand. Elle compte attendre là le résultat de l'enquête que mène Me Duforneril qui devra lui apprendre comment elle s'appelle en réalité...

En attendant elle se promène souvent dans son jardin, là où se trouve un pavillon en ruine et où elle croit avoir vu...

Quoi ? et bien vous le saurez en lisant ce court roman, dernière nouvelle du recueil La Robe d'écailles roses.

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Langue : Français

Bonne lecture !

Bisous,
@+
Sab

22 septembre 2021

Alphonse Daudet : Mémoire d'un Homme de lettres : Henri Rochefort

Ah que coucou !

Henri Rochefort est un ami d'Alphonse Daudet dont il narre la vie ici. Que dire d'autre ?

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Langue : Français

Je sais, la présentation est très courte, mais j'avoue, je ne sais quoi dire d'autre que ce que vous pouvez trouver et dans l'e-book et sur le site de la Bibliothèque nationale de France :


Bonne lecture !

Bisous,
@+
Sab

20 septembre 2021

Jules Claretie : Le Tireur

Ah que coucou !
 
Le travail des enfants en usine, dans ce 19e siècle... voici le thème principal de cette courte nouvelle :
 
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Langue : Français
 
 Lors d'une promenade, ils rencontrent un jeune garçon (qu'ils estiment être âgé de 4 - 5 ans) et, de par ses vêtements, n'être qu'un mendiant... or, ce garçon a déjà 9 ans et travaille déjà comme tireur dans la fabrique d'à côté...

Bonne lecture !

Bisous,
@+
Sab

18 septembre 2021

Maurice Leblanc [La Robe d'écailles roses] : La Lettre anonyme

Ah que coucou !
 
Hervé Daunoux a épousé une belle et jeune femme plus riche que lui. Mais comme il ne se sent pas sûr de lui - il estime même qu'il est moche - et la jalousie aidant, il croit que sa femme le trompe. Il a alors l'idée de découper des mots dans un dictionnaire et d'écrire une lettre anonyme invitant sa femme à se présenter le jour même, à 5 heures, au Bois, dans un sentier proche du Pavillon Chinois...
Sa femme tombera-t-elle dans ce piège ?

Vous le saurez en lisant la nouvelle suivante :

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Langue : Français

Bonne lecture !

Bisous,
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Sab

16 septembre 2021

Alphonse Daudet : Mémoire d'un Homme de lettres : Départ de Provence

Ah que coucou !

Ce "souvenir" est plus un courrier qu'Alphonse Daudet adresse à un de ses amis : Maître Jan de l'Isle dans laquelle il lui raconte ses premières impressions et ses premières aventures dans la capitale.

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Entre le moment où ce texte a été élaboré et celui où il a été imprimé, Alphonse Daudet a du changer d'avis. En effet, dans le texte originale, cette partie est la première, or, Alphonse Daudet a terminé celle-ci par A Dious sas, ce qui sous-entend qu'il termine là son courrier, non ? ceux qui comprennent le provençal, c'est bien ça que ça veut dire, n'est-ce pas ?

J'ai donc supprimé la mention du point 1. ;)... après, bien sûr, avoir vérifié que dans les numéros suivants n’apparaissait pas de "suite"...

Bonne lecture !

Bisous,
@+
Sab

13 septembre 2021

Molière : La Critique de l'Ecole des Femmes

Ah que coucou !
 
Molière se sert ici d'une pièce qu'il a composée pour critiquer et défendre une autre pièce qu'il a créée l'année d'avant. Molière explique, via Lysidas (un autre auteur) que le principal n'est pas de respecter les règles mais de plaire à son public.
 
Nota: le personnage le plus "moqueur" de l'Ecole des Femmes n'est autre que Le Marquis, rôle que Molière s'était réservé... comme quoi le maître aimait plaisanter ;)...
 

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Langue : Français
Bonne lecture !

Bisous,
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Sab

11 septembre 2021

Maurice Leblanc [La Robe d'écailles roses] : Le bon rire

Ah que coucou !
 
Victor Danjou est un coureur automobile ; il conduit une Beuzeville-Bréauté. Il a signé dernièrement un engagement pour courir les 100 kilomètres du Circuit de Cévennes...
Hélas, sa femme est si superstitieuse qu'elle l'encourage à croire qu'il va mourir pendant cette épreuve.
 
Le jour fatal de la course arrive... 1 tour... 2 tours... tout se passe bien: Victor Danjour fait même un bon chronomètre.
Quand arrive le dernier tour... Mme Danjou a peur. Elle ne veut rien voir. Elle ne veut rien entendre... et... et voilà qu'une voiture loupe le virage et que les deux hommes (pilote et mécanicien) meurent. Mme Danjou veut voir son mari une dernière fois et quand elle soulève le voile qui couvre le visage du pilote mort, elle découvre...

La suite ? vous la connaîtrez en lisant la nouvelle suivante :


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 Langue : Français

Bonne lecture !

Bisous,
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Sab

9 septembre 2021

Alphonse Daudet : Mémoire d'un Homme de Lettres : Les Courses de taureaux dans le Midi

Ah que coucou !

Avant de lire ce souvenir, je n'aimais pas les corridas (sans vouloir les "interdire" car, ma foi, quelque part elles ont leur "utilité"), après lecture, mon opinion à ce sujet n'a pas changé ;)... Alphonse Daudet ne m'a pas convaincue, même si son récit a atténué cette idée de "violence animale inutile" que je m'en faisais avant. Je suis consciente que certaines personnes peuvent être choquées par ces propos que je viens de tenir ;) car elles ignorent que, personnellement je préfère qu'on puisse assister à ce style de spectacle afin que la "dite" violence ne dérape pas, parce que "dissimulée", parce qu'"interdite"... de toute façon, il faut bien comprendre qu'il est hélas nécessaire de marquer le bétail, alors, autant que ça se fasse dans les meilleures conditions pour l'animal... et cette façon de faire fatiguant l'animal, il va moins se débattre quand il faudra le marquer => le marquage se fera plus rapidement et sera donc moins douloureux pour l'animal. Malgré tout, je préférerais que soit utilisé un système de bagues à condition que la dite-bague ne soit pas "dangereuse" pour l'animal : trop d'animaux se trouvant avec le lob de l'oreille arrachée car la dite bague s'était prise dans quelque chose qui a obligé l'animal à s'en arracher pour pouvoir se dégager... et ça, ça doit faire horriblement mal en plus des risques d'infection si le propriétaire ne s'en aperçoit pas tout de suite...

Revenons maintenant à cet écrit :

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Alphonse Daudet, élevé dans le Midi où les corridas sont monnaie courante, aime ce style de spectacle et cherche, ici, à nous communiquer cette amour-là. Et pour cela il nous en explique tout le processus en différenciant les corridas citadines des corridas rurales...

Bonne lecture !

Bisous,
@+
Sab


7 septembre 2021

Paul de Saint-Victor : Les Nains (Les Annales : Pages Oubliées)

Ah que coucou !
 
Nouvelle trop courte pour vous la présenter sans plagier son auteur :
 

Vous la trouverez sous ma signature...

Bonne lecture !

Bisous,
@+
Sab


Les rois du Moyen Âge jouèrent au pantin avec leurs nains familiers. Ils en firent des marottes vivantes que, d’un geste, ils mettaient en branle. La Renaissance raffola des nains ; elle s’en servit dans ses fêtes comme de repoussoirs pittoresques. La marionnette humaine enrubannée, brodée, attifée de perles et de brimborions exotiques, eut alors le prix d’un rare objet d’art. Le nain figure dans tous les galas de l’Europe ; il porte la queue du manteau doré de Venise, il tient le papegai de ses patriciennes sur le poing. Il se roule avec les chats, sous la table des Banquets de Paul Véronèse ; il galope à califourchon sur les lévriers des rois et des princes. Il taquine leurs singes, il nargue leurs courtisanes, il a sa niche sous le trône et son escabeau au festin royal. La femme en fait son garde-du-corps ; elle aime à traîner en laisse après elle un nabot aux jambes torses et au nez camard. Cela rehausse sa taille de nymphe et sa beauté de déesse ; cela lui donne l’air d’une fée servie par un monstre. Un nain fut servi ans un pâté au repas nuptial d’un électeur de Bavière. Il en sortit armé de pied en cap, par la brèche du gâteau brisé, tira sa rapière, s’escrima contre les plats, tailla en pièces un verre de Bohême, coupa la tête d’un faisan, et alla offrir son trophée à l’électeur, un genou en terre, aux éclats de rire germaniques de l’assistance avinée. On faisait toutes sortes d’expériences in animâ vili sur ces bestioles à deux pieds, on essayait de perpétuer leur race exiguë. La femme d’un électeur de Brandebourg collectionnait des nains et des naines qu’elle accouplait comme des colibris. Au XVIIesiècle, la cour de Russie, toute barbare encore, mit en action un conte de Perrault. La princesse Nathalie, sœur de Pierre Ier, maria solennellement son nain et sa naine. Tous les myrmidons de l’empire furent conviés aux noces ; on les affubla d’habits de cérémonie, on les emballa, quatre par quatre, dans quinze carrosses microscopiques, et le petit cortège, escorté de grenadiers gigantesques, défila solennellement par la ville. Le soir, il y sut au Kremlin grande dînette et bal enfantin. Cela rappelle ces bonbonnières enchantées que les fées donnent à leurs filleules. De la boîte ouverte s’échappent, en sautillant, des chambellans rabougris, toute une cour atomistique ; la miniature d’une maison princière.

Il y eut aussi des nains héroïques. Corneille Lithuanie, le bouffon de Charles Quint, bataillait bravement dans ses guerres. Un insigne exploit fut le duel du nain de la reine Henriette d’Angleterre, Jeffery Hudson, surnommé lord Minimus, avec un colosse allemand nommé Croft, qui pouffait de rire chaque fois que le petit passait à la hauteur de sa botte. Jeffery se fâche et défia son adversaire en champ clos. L’Allemand se présenta sur le terrain armé d’une seringue. Mais, à cette insulte nouvelle, le nain prit feu comme un grain de poudre, et entra dans une si furieuse bouffée de colère que Croft fut obligé de prendre au sérieux son cartel. On se battit à cheval et au pistolet. La pierre à fusil de l’arme du nain était sans doute un morceau de caillou qui tua Goliath, car il étendit, du coup, le Titan mort sur le carreau.

La mode des nains passa comme celle des carlins. Le dernier fut le Bébé du roi Stanislas qui, après avoir régné en Pologne, vint s’asseoir à Nancy sur un bout de trône. Cet à-peu-près d’homme était en harmonie avec cet abrégé de royaume ; le favori était proportionné à la cour. Un nain et un roitelet, cela doit s’entendre et faire bon ménage. Aussi Stanilas pleura-t-il Bébé, lorsqu’il mourut à vingt-trois ans d’une maladie d’oiseau-mouche. « Pauvre fou, dit le roi Lear à son bouffon fidèle qui tremblote de froid derrière lui, pauvre fou ! Il est encore une partie de mon cœur qui souffre pour toi ! »

5 septembre 2021

Maurice Leblanc [La Robe d'écailles roses] : L'Ecole du Mensonge

Ah que coucou !

"Plaire à Ludovic" voici la consigne que se donne Clotilde, son épouse... et pour cela elle utilise tous les artifices, tous les procédés... par exemple: elle sait que Ludovic lit son Journal intime... alors, à votre avis, que fait-elle ? ;)...

Vous en aurez la confirmation en lisant la nouvelle suivante :

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Bonne lecture !

Bisous,
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Sab

3 septembre 2021

, Alphonse Daudet : Mémoire d'un Homme de lettres : Mon Tambourinaire

Ah que coucou !
 
Au moment où cette anecdote est arrivée à Alphonse Daudet, il avait déjà plusieurs fois séjourné en Provence et, peut-être, avait-il déjà acheté son célèbre Moulin (lire à ce sujet : les Lettres de mon Moulin)... Dans cette Provence, il a été si enthousiasmé par un artiste local, un certain Moisson, qui joue du tambourin et du galoubet (une petite flûte), qu'ils se sont imaginés, avec son ami Frédéric Mistral, de porter cette musique typiquement provençale sous le ciel parisien afin de faire connaître cette culture. C'est ainsi qu'un jour de novembre, ce Moisson débarque chez Alphonse Daudet sans avertissement préalable, avec un simple lettre écrite par F. Mistral comme sésame pour entrer chez la famille Daudet.
Evidemment Paris ce n'est pas les montagnes de Provence, le ciel de Paris n'a rien à voir avec le soleil provençal qui fait chanter la Nature... et Alphonse Daudet s'aperçoit rapidement de son erreur... alors qu'il souhaiterait pouvoir en avertir Moisson avec toute la douceur et la diplomatie nécessaires pour qu'il comprenne qu'il doit retourner dans ses montagnes, il apprend que Frédéric Mistral avait écrit aussi à Félicien David [(13.04.1810 - 29.08.1876 - Français, Compositeur de musique (plus d'informations : BnF)] et Théophile Gautier [(30.08.1811 - 22.10.1872) Français, Ecrivain (plus d'informations : BnF)], qui furent, eux aussi, si enchanté par Moisson et sa musique qu'ils lui firent de la réclame afin de le lancer au Châtelet... mais voilà, la prestation artistique de Moisson ne rend pas pareil dans les montagnes et sous le ciel provençal que sur l'immense scène du Châtelet et bientôt le public quitte la salle...
 
Que va devenir Moisson suite à ce nouvel échec ? Vous le saurez en lisant le texte suivant :
 
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Bonne lecture !

Bisous,
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Sab

2 septembre 2021

Alexandre Dumas : Le Chasseur d'ours

Ah que coucou !
 
Guillaume a trouvé la trace d'un ours. Il a tenté de le tuer mais il n'a fait que de le blesser. Il décide alors de mieux préparer la future traque...
Pendant qu'il prépare son fusil, un de ses voisins, François, vient le trouver chez lui. Il voit Guillaume se préparer et en déduit tout de suite que Guillaume se prépare à aller chasser l'ours. François propose alors son "aide" à Guillaume qui refuse.
Le lendemain Guillaume retrouve la piste de l'ours et...
 
Et quoi ? eh bien vous le saurez en lisant la nouvelle suivante :
 
 
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Bonne lecture !

Bisous,
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Sab