30 juillet 2019

Exposition universelle 1878 : Le Pulsomètre

Ah que coucou !

Qu'ajouter d'autre ? Tout est dans l'article...

Bonne lecture !

Bisous,
@+
Sab



 
Les Chemins de fer à l’Exposition - Le Pulsomètre
(n° 143, juillet 1878)

Parmi les objets nouveaux à l’usage de l’industrie des chemins de fer, le pulsomètre vient de faire son apparition. Nous en donnons les dessins afin de compléter la description que nous allons en faire.


Le pulsomètre a été inventé par un Américain ; c’est un appareil d’élévation d’eau ou des liquides.
Considéré comme appareil d’élévation, le pulsomètre trouve son application partout où l’on dispose de vapeur, qui agit directement et sans intermédiaire sur l’eau à élever ; il aspire l’eau, par condensité de la vapeur, et quand elle se trouve dans le pulsomètre, la vapeur, par sa pression, la refoule dans le tuyau d’élévation.
Comme on le voit, c’est un appareil fort simple et qui trouvera son emploi dans maintes industries ; nos locomotives des chemins de fer entre autres pourront prendre leur provision d’eau en route, il suffira de le relier par des tuyaux à l’étang, au puits, etc. C’est à ce titre que nous en faisons part à nos lecteurs.
Le pulsomètre se compose de deux chambres AA en forme de poire juxtaposées, d’une chambre d’aspiration D placée au dessous et contenant trois clapets d’aspiration, d’une chambre de refoulement h latérale aux chambres en poire et portant deux clapets d’aspiration, d’un réservoir à air B portant deux clapets de refoulement, enfin d’une petite chambre de vapeur.

Adelin.

28 juillet 2019

Agatha Christie [Le Bal de la Victoire] : La Succession Lemesurier

Ah que coucou !

La famille Lemesurier est de vieille souche noble. Elle possède, entre autre, un château, datant du 16e siècle, dans le Northumberland. Evidemment, comme de nombreuses vieilles familles, elle aussi a sa légende ;)... celle-ci concerne les fils aînés des Lemesurier qui héritent du patrimoine familial... en effet, aucun fils aîné ne peut hériter car ils meurent soit avant, soit peu de temps après être entré en possession de leur héritage...
Vincent Lemesurier est une connaissance du Capitaine Hastings, et justement, en temps qu'aîné (et seul survivant de la guerre pendant laquelle ses frères cadets ont été tués) il hérite des biens familiaux... et alors qu'il se rendait dans le Nord du pays en train, il tombe accidentellement du train et meurt... cette mort est suivie par d'autres morts tout autant accidentelles : piqûre de guêpe, accident avec une arme à feu... jusqu'à ce que le titre et les biens arrivent à Hugo Lemesurier, marié à une jeune femme américaine avec laquelle il a eu 2 enfants : Ronuald (8 ans) et Gerald (6 ans). Mais voilà que Ronuald échappe plusieurs fois à la mort (d'après ce que prétend sa mère) : la première fois, il a failli se noyer, ensuite il a failli tomber en utilisant le lierre pour sortir de la nursery et pour finir, il y a cette histoire d'intoxication alimentaire...
Poirot d'abord sceptique estime que le danger pour Ronuald est véritable lorsqu'il apprend, de la bouche de sa mère, que la racine du lierre avait été sciée... Poirot et son ami le Capitaine Hastings décident donc de séjourner quelques jours chez les Lemesurier où ils prennent sur le fait le meurtrier alors qu'il voulait assassiner Ronuald pendant la nuit...

Qui est donc l'assassin ?
Et bien vous le saurez en lisant la nouvelle suivante :

accessible au téléchargement en cliquant ici
Format : pdf
Langue : Français

Bonne lecture !

Bisous,
@+
Sab

26 juillet 2019

Ivan Turgenev [Récits d'un chasseur] : Lébédiane - Лебедянь

Ah que coucou !

Comment ça se passait ce que nous pourrions appeler une "foire au cheval" dans la Russie tsariste ? Eh bien c'est ce que nous raconte ici l'auteur.

accessible à la lecture / téléchargement en cliquant ici
Format : pdf
Langues : Français & Russe

Il s'agit là de la dernière nouvelle du recueil datant de 1893. Pour les nouvelles suivantes, comme je l'ai expliqué déjà il y a quelques semaines (avec la nouvelle : L'Odnovorets Ovsianikov), les traductions seront tirées du recueil parut en 1929...

Bonne lecture !

Bisous,
@+
Sab

24 juillet 2019

Exposition universelle 1878 : Le métro ;) ?...

Ah que coucou !

Ne serait-ce pas là la décision concernant le futur métro parisien ;) ???

Bonne lecture !

Bisous,
@+
Sab




Les Chemins de fer à l’Exposition
(n° 126, juin 1878)

Nous avons, dans les numéros 64, 63, 67 et 68 du journal l’Exposition universelle, entre-tenu nos lecteurs des projets de chemin de fer métropolitain. D’après nous, ce chemin ne doit pas se borner seulement à desservir les intérêts du centre de la capitale, mais il doit en même temps, en étendant ses ramifications dans la banlieue, offrir aux populations suburbaines des moyens faciles de communication avec Paris.
Un projet, dressé sur ces bases, fut approuvé en 1872 par le Conseil général de la Seine, mais par des raison politiques que le cadre de notre journal ne nous permet pas de développer ici, son exécution fut ajournée.
Notre rédacteur en chef, auteur de ce projet, a soumis de nouveau à l’appréciation du public le résultat de ses études. Le plan du chemin de fer métropolitain qu’il a exposé dans la classe XVI et dont nous dirons quelques mots lorsque nous nous occuperons de l’examen de cette classe, rappellera au souvenir de nos édiles ce travail important qui a le mérite de satisfaire à toutes les exigences et de répondre à tous les besoins.
Nonobstant la décision déjà prise par le Conseil général, l’administration a, de son côté, fait étudier un réseau de chemin de fer sous Paris ayant pour but de relier entre elles les cinq grandes voies ferrées qui rayonnent vers la province.
Le projet de ce tracé, approuvé par le conseil général des ponts et chaussées et adopté en principe par le ministre des travaux publics, a pour conclusion la création de trois grandes lignes aboutissant en sous-sol dans le jardin du Palais-Royal.
Une subvention de 106 millions serait fournie par l’Etat, le département et la ville de Paris.
La gare centrale, construite à sept mètres au-dessous du sol, occuperait le jardin du Palais-Royal, à l’angle des galeries Montpensier et d’Orléans.
De cette gare partiraient :

1° Une ligne dirigeant vers la Bourse, l’Opéra, la gare Saint-Lazare et la station des Batignolles, où elle correspondrait avec toutes les lignes de l’Ouest, de la banlieue et de ceinture ;
2° Une ligne se dirigeant vers les Halles avec la gare devant Saint-Eustache, puis suivant la rue Turbigo, le boulevard Sébastopol, avec gare à la rencontre du boulevard Saint-Denis, le boulevard de Strasbourg jusqu’à la gare de l’Est. De cette station, une courbe conduirait à la place Roublaix, où elle aboutirait à la gare du Nord.
Un embranchement se détachant de la station du boulevard de Sébastopol gagnerait la gare de Lyon et celle de Vincennes.
Un autre embranchement se détacherait du boulevard Bourdon, et passant sous la Seine, aboutirait à la gare d’Orléans, où serait créée une gare importante, boulevard de l’Hôpital.
3. Une ligne passant sous la place Saint-Germain-des-Prés, suivrait la rue de Rennes, avec station à la gare Montparnasse, gagnerait le chemin de fer de Sceaux et aboutirait à la gare de Gentilly pour se relier au chemin de Ceinture.

Outre ces trois lignes, il y aurait, sur la rive gauche, une ligne allant de la gare d’Orléans à l’Entrepôt des vins, quai Saint-Bernard, à l’Ecole polytechnique, rue Monge, toucherait à la place Saint-Germain-des-Prés, et aboutirait tout près du quai d’Orsay, à Grenelle.
Quel sera le sujet adopté ? Bien téméraire qui pourrait le dire ! Se bornera-t-on au tracé pratique de M. Brunfaut, ou bien se lançant dans des aventures, voudra-t-on faire circuler les Parisiens sous nos rues, sous nos boulevards et tâcher de leur faire oublier que le seul moyen de transport qui leur convienne est celui qui leu permettra de profiter des rayons bienfaisants de notre soleil ?
En attendant qu’une solution intervienne, disons ce qui se passe aux Etats-Unis.
Les Américains, gens éminemment pratiques, ne négligent aucune force motrice ; c’est ainsi que sur des chemins de fer sans grande importance, les voitures sont remorquées par le vent.
Ce sont des véhicules semblables à ceux employés de temps immémorial en Chine, en Espagne, en Hollande, dans tous les pays de plaine.
En quelques heures une voiture à voile, telle que celle dont nous offrons le dessins à nos lecteurs, permet de transporter six à dix personnes à une distance de 200 kilomètres, avec une vitesse moyenne de 56 kilomètres à l’heure.
Un homme dirige la voile, comme le fait un capitaine sur le pont d’un navire.



Le véhicule dont nous donnons un spécimen, d’après une ancienne gravure hollandaise du dix-septième siècle, a quatre roues de 0m75, de diamètre et mesure 2 mètres de longueur.
Comme on le voit et comme cela se produit d’ailleurs dans maintes autres circonstances, rien n’est neuf sur notre planète : ce que nos ancêtres ont si bien appliqué jadis retrouve son emploi utile de nos jours.

Victor Favry

22 juillet 2019

Agathie Christie [Le Bal de la Victoire] : L'enlèvement de Johnnie Waverly

Ah que coucou !

Johnnie Waverly est un jeune enfant dont les parents sont riches et de la noblesse. Sa mère, Ada Waverly, et son père demandent à Poirot de le retrouver car il a été kidnappé le 29, à midi, malgré les nombreuses mises en garde du ravisseur et la présence de la police partout dans le parc...
Hercule Poirot, ayant déjà "sa petite idée", accompagné de son ami le capitaine Hastings, décide de s'occuper de cette affaire... Retrouveront-ils le petit Johnnie Waverly alors que la police a perdu toute trace de la voiture du ravisseur ? et bien vous le saurez en lisant la nouvelle suivante :

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Format : pdf
Langue : Français

Bonne lecture !

Bisous,
@+
Sab

20 juillet 2019

Ivan Turguenev [Récits d'un chasseur] : Les deux pomiétchiks - Два помещика

Ah que coucou !

Un pomiéstchik, qu'est-ce que c'est ? eh bien voici une nouvelle expliquant (à l'aide de 2 exemples opposés) leur rôle exact et leur pouvoir sur la population locale dans la Russie des tsars :

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Format : pdf
Langues : Français & Russe

Mieux qu'une définition dans une encyclopédie quelconque, n'est-ce pas ? ;)

Bisous,
@+
Sab

18 juillet 2019

Exposition universelle 1878 : Essai pour une nouvelle signalisation

Ah que coucou !

Tout est déjà dans le titre ;)... le reste, ben, c'est dans l'article suivant ;)...

Bonne lecture !

Bisous,
@+
Sab




Le Chemin de fer à l’Exposition
(n° 121, mai 1878)

Il se fait, en ce moment, des essais sur nos grands chemins de fer, de nouveaux signaux, pour éviter les accidents de rencontre entre les trains parcourant une même voie.
Ces signaux servent à annoncer simultanément au personnel de deux gares qui se sui-vent et aux agents de la voie entre ces deux gares, le départ de chaque train, les demandes de secours en cas d’accidents, la nécessité d’arrêter un ou plusieurs trains en route, etc.
Chaque gare de passage est munie de deux appareils à cloches placés chacun à l’une des deux extrémités du bâtiment. Un courant électrique permanent circule entre chaque groupe de deux gares, en passant par les postes répartis le long de la voie, notamment dans les maisons des garde-barrières.
En interrompant et en rétablissant ensuite dans un poste quelconque le courant électrique, on met simultanément en mouvement, dans le poste et dans chacun des autres, un marteau qui frappe sur la cloche correspondante. Les appareils sont mis en mouvement au moyen d’un bouton, sur lequel il suffit d’appuyer le doigt autant de fois qu’on veut frapper de coups de cloche, et en espaçant ces coups suivant certaines conventions qui en déterminent la signification.
Ainsi, lorsqu’un train part, c’est-à-dire, se dirigeant dans le sens de Paris, quitte une gare, il est annoncé à la gare suivante par six coups de cloche donnés deux par deux. Un train impair, c’est-à-dire se dirigeant du côté de l’Italie, est annoncé à son départ d’une gare par neuf coups donnés trois par trois.
Les signaux électriques à cloches nous paraissent destinés à rendre de grands services sur les sections à voie unique, et nous félicitons la Compagnie de Paris-Lyon-Méditerranée d’en faire l’essai. Jusqu’à présent, les départs de train étaient annoncés de gare à gare par le télégraphe ; mais une fois le train parti, il était impossible de l’arrêter entre deux stations ; avec les signaux électriques à cloches, tout garde-barrière pourra maintenant, sur l’avis d’un chef de gare, arrêter un train en marche et éviter ainsi de graves accidents.

Jules Brunfaut.

16 juillet 2019

Ivan Turgenev [Récits d'un chasseur] : Le Biriouk - Бирюк

Ah que coucou !

Le Biriouk est le garde-forestier chez qui le narrateur va s'abriter. Le Biriouk était marié, mais sa femme l'a quitté en abandonnant leur fille et leur bébé dont il s'occupe au mieux qu'il peut... quand d'un seul coup, un bruit l'alerte et il décide, après avoir pris son fusil, d'aller à la rencontre du contrevenant...

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Format : pdf
Langues : Français & Russe

Bonne lecture !

Bisous,
@+
Sab

Agatha Christie [Le Bal de la Victoire] : L'Aventure de la cuisinière de Clapham

Ah que coucou !

Mrs Todd est bien embêtée, elle a perdu sa cuisinière... oui, Miss Eliza Dunn, cuisinière de son état, employée chez la famille Todd comme cuisinière, n'est pas rentrée mercredi soir et, sans aucune explication, a fait prendre tous ses bagages le jour suivant par un transporteur.
La première réaction de Poirot, à qui elle veut confier l'affaire, est de refuser : il ne s'occupe pas de cuisinière disparue... toutefois, par faveur spéciale, il finit par accepter de partir à la recherche de cette cuisinière.
Au 88 Prince Albert Road où habite le couple Todd et leur "hôte payant" Mr Simpson, Hercule Poirot apprend d'Annie (femme de chambre) qu'Eliza Dunn avait bien prévu de revenir le mercredi soir...
Mais où est-elle partie ? Annie pense qu'elle s'est fait enlever par un gang et qu'elle doit maintenant être en route pour la Turquie... Peut-elle avoir raison ?

Eh bien vous le saurez en lisant la nouvelle suivante :
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Format : pdf
Langue : Français

Bonne lecture !

Bisous,
@+
Sab

14 juillet 2019

Joyeuse Fête du 14 juillet...

Ah que coucou !

Aujourd'hui, pas de e-book, vous n'aurez pas le temps de le lire même si j'en choisissais un court... non, aujourd'hui, c'est fête, c'est sortie, c'est amusement avec les amis, etc.

JOYEUX 14 JUILLET !

AMUSEZ-VOUS BIEN !


Bisous,
@+
Sab

12 juillet 2019

Exposition universelle 1878 : Le Chemin de fer à l'Exposition

Ah que coucou !

Voici ici un système inventé par Mékarski concernant le refroidissement


Bonne lecture !

Bisous,
@+
Sab



Les Chemins de fer à l’Exposition
(n° 116, mai 1878)


Le système inventé par M. Mékarski pour faire mouvoir les voitures sur les tramways, présenté par M. de Saint-Yves, ingénieur en chef des ponts et chaussées et directeur de la Compagnie qui emploie ce système pour être appliqué au Champ de Mars, serait conçu sur les données suivantes :
La voiture de M. Mékarski a 18 places d’intérieur et 12 sur une plate-forme ; elle est servie par un conducteur à l’arrière et un mécanicien à l’avant. Sous son plancher sont fixés 12 cylindres en forte tôle. Ils contiennent chacun 120 litres d’air comprimés à 28 ou 30 atmosphères.
Cet air emmagasiné fournit la force motrice ; elle est transmise aux roues de la voiture par des cylindres à tiroir et un système simple de bielles et de manivelles. Avant d’être admis dans les cylindres, sa pression doit être ramenée à 5 atmosphères environ. Le refroidissement est évité par l’emploi d’une bouillotte ou récipient, contenant une provision d’eau à 170 degrés, qui rend à l’air la chaleur que lui enlève son expansion rapide.
La pression avec laquelle l’air arrive dans les cylindres, est déterminée par un régulateur. Cette partie de l’appareil est disposée de manière que le mécanicien puisse, à volonté et rapide-ment, faire varier la pression du gaz admis dans les cylindres.
La manœuvre de la machine, est identique à celle d’un locomotive.
L’expérience a prouvé que la voiture de M. Mékarski s’arrête facilement et vite, et qu’elle peut repartir immédiatement, quand le signal est donné. Les arrêts observés ont été opérés, dans un espace de temps de 5 à 7 secondes, en marche ordinaire, et de 8 ½ secondes dans les grandes vitesses qui ont atteint 25 kilomètres à l’heure.
Ces expériences de traction ont été faites pendant plusieurs mois sur le tramway de Courbevoie au rond-point de l’Etoile, et retour, et d’autres fois, de Courbevoie à Puteaux, avec des pentes de 4 ½ p. 100.
Comparé à l’emploi d’une locomotive, le mode de traction par l’air comprimé supprime le foyer et les produits de la combustion, ainsi que l’échappement de la vapeur ; grand avantage pour une machine destinée à circuler dans les rues des villes où elle pourrait être très nuisible aux passants et aux riverains.
Au point de vue de la sécurité, l’appareil à air comprimé est exempt des dangers de surchauffe pendant les arrêts et d’explosion auxquels les locomotives sont exposées.
La solution imaginée par M. Mékarski, pour le problème de la traction mécanique des voitures, est en résumé remarquable par sa simplicité et son élégance. La voiture tient peu de place : le mécanisme ne gêne en aucune façon les voyageurs ; il n’exige l’intervention que d’un seul agent, qui règle la marche : il se prête à une grande variété d’allure sans exposer à aucun danger.

Jules Brunfaut

10 juillet 2019

Ivan Turgenev [Récits d'un Chasseur] : Bourmistre - Бурмистр

Ah que coucou !

Quelqu'un aurait-il lu la correspondance entre Ivan Turgenev et E. Halperine-Kaminsky (E. Galperin en russe) ? Pour cette nouvelle nous aurions besoin de savoir si Ivan Turguenev avait "corrigé" certains passages de ce texte suite aux remarques / corrections de son traducteur et ami qu'il a certainement dû lui faire quand il a lu la nouvelle suivante ???

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Langues : Français & Russe

Arkadi Pavlitch Penotchkine est un seigneur terrien, voisin du narrateur. Alors que le narrateur décide d'aller chasser à Riabovo, Arkadi Pavlitch lui propose de l'accompagner et de séjourner chez son Bourmistre : Sofron Yakovlitch dont il ne tarit pas d'éloges. Oui, depuis qu'il a désigné Sofron comme étant le Bourmistre de Chipilovka (village à quelques km de Riabovo) il perçoit bien et à temps le montant de cette rente... Pourtant Arkadi Pavlitch devrait avoir quelques soupçons à l'encontre de son Bourmistre que certain accuse de voler son seigneur et de diriger ce canton comme s'il lui appartenait...

Bonne lecture !

Bisous,
@+
Sab

8 juillet 2019

Ivan Turgenev [Récits d'un chasseur] : Le Comptoir - Контора

Ah que coucou !

A l'aide de cette nouvelle nous apprenons comment se déroulent les journées dans un comptoir, un comptoir étant l'endroit où travaille un gérant d'une propriété aidé de quelques employés...
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Langues : Français & Russe

Le texte contenant de nombreuses coquilles (à mon plus gros étonnement), j'en ai corrigé pas mal ; toutefois il se peut qu'il en reste... en plus, là, H. Halperine-Kaminsky (qui est devenu un grand ami du couple Turgueniev) donne l'impression, contrairement à ce qu'on a l'habitude de lui, d'avoir fait cette traduction, au coin d'une table et ne l'a pas relue avant de la proposer à l'édition... résultat nous lisons là un brouillon, il faut bien l'admettre où les expressions françaises sortant du vocabulaire ordinaire d'un Russe en France n'ont pas été vérifiée avec tout le soin habituel - toutefois, surtout pour ceux qui ont l'habitude des Russes - le texte reste très compréhensif tout en ne reflétant pas toute la rigueur habituelle de son traducteur...

Bonne lecture !

Bisous,
@+
Sab

Agatha Christie [Le Bal de la Victoire] : L'Affaire du Bal de la Victoire

Ah que coucou !

Aujourd'hui nous commençons un nouveau recueil de 15 nouvelles mettant en scène le célèbre détective belge : Hercule Poirot, et son ami : le Capitaine Hastings.

Après toute guerre "gagnée", la population organise de nombreuses manifestations, dont des bals que l'on appelle, naturellement, "de la Victoire"... justement c'est lors d'un de ces bals masqués qu'est assassiné Lord Cronshaw (déguisé en Arlequin) d'un coup de couteau. On compte 5 suspects :
  • Miss Coco Courtenay (déguisée en Colombine), actrice de son métier, et fiancée à Lord Cronshaw. Mais celle-ci est découverte morte chez elle le lendemain matin. Cause du décès : overdose de cocaïne...
  • Mr Beltane (déguisé en Policinelle), oncle de Lord Cronshaw et héritier et du titre et de la fortune de celui-ci.
  • Mrs Mallaby (déguisée en Pulcinella), une riche veuve américaine.
  • Mr Christopher Davidson (déguisée en Pierrot), acteur de son état.
  • Mrs Davidson (déguisée en Pierrette)
Qui est l'assassin ? qui est le propriétaire du pompon vert découvert dans la main de Lord Cronshaw ?
L'inspecteur Japp soupçonne le nouveau Lord Cronshaw : Mr Beltane... Hastings, lui aussi, estime que Mr Beltane est un coupable parfait... quant à Poirot ? eh bien vous le saurez en lisant le déroulement de l'enquête suivante :

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Langue : Français

Bonne lecture !

Bisous,
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Sab

6 juillet 2019

1878 [Exposition universelle] : Ouverture

Ah que coucou !

Le 1er mai 1878, c'est le jour J et voilà comment cela s'est déroulé pour le premier train arrivant au Champ-de-Mars...


Bonne lecture !

Bisous,
@+
Sab



L’Arrivée du premier train au Champ-de-Mars
(n° 115, mai 1878)

C’est aujourd’hui le premier Mai !
La vapeur siffle, le premier train chargé d’invités se rendant à la cérémonie d’ouverture de l’Exposition fait son entrée dans cette gare coquette que la Compagnie des chemins de fer de l’Ouest a fait construire sur la rive gauche de la Seine.
Les piliers de la gare ainsi que la façade sont ornés de trophées de drapeaux aux cou-leurs de la France et nations amies qui ont répondu à son appel. Le train s’arrête, et bientôt une foule endimanchée sort par toutes les ouvertures, envahit le parc du Champ-de-Mars et va se presser sur le passage du Président de la République, qu’attendent dans le vestibule d’honneur du palais industriel les grands corps de l’Etat.
D’autres trains succèdent au premier, et malgré la pluie qui tombe par intervalles, les invités arrivent toujours plus nombreux pour assister à cette grande fête de la paix qui doit rendre à notre patrie, encore mutilée par une guerre funeste, le rang qui lui est dû parmi les nations du monde.
C’est l’épisode de l’arrivée du premier train que notre dessinateur, M. Totain, s’attachera à présenter à nos lecteurs.

Victor Favry.

4 juillet 2019

H.G. Wells [Les Pirates de la mer & autres nouvelles] : La Pomme

Ah que coucou !

Tout le monde connaît l'histoire de la très célèbre pomme (non pas celle que les déesses demandaient à Pâris de donner à la plus belle des 3, mais celle d'Eve et d'Adam... vous savez, la Pomme de l'Arbre de la Connaissance). Eh bien, voilà, malgré que cette histoire date, M. Hinchcliff rencontre un étranger qui la possède. Comment ? eh bien voilà ce que narre l'histoire suivante en même temps que ce qu'elle devient :

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Langue : Français

Et voilà, nous terminons là les nouvelles tirées de ce recueil...

Bonne lecture !

Bisous,
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Sab

2 juillet 2019

Ivan Turgenev [Recits d'un Chasseur] : Lgov

Ah que coucou !

Aujourd'hui une seule traduction ;) : il n'y a pas des termes russes incompréhensibles pour des strictement francophones....

Lgov est une location au sud-est de la Russie, assez proches des frontières avec l'Ukraine. Et c'est à Lgov (enfin, dans un des étangs proches) que se déroule l'aventure suivante :

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Langues : Français & Russe

dans laquelle une partie de chasse aux canards se termine à l'eau (au sens propre du terme et non, figuré)... Oui, à cause d'un bateau mal entretenu, non seulement ils ont eu le droit d'être tout le temps les pieds dans l'eau, mais, en plus, ils ont chavirés et coulés... une chance pour eux, l'eau n'était pas très profonde...
Sur le coup le narrateur avoue avoir fait la tête ; mais depuis il a confirmé qu'il en rit ;)...

Bonne lecture !

Bisous,
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Sab