30 mai 2017

Théophile Gautier : Omphale ou la Tapisserie amoureuse

Ah que coucou !

Les histoires de fantômes, vous aimez ? je ne parle pas de celles qui, soi-disant, font peur car on cherche tellement à nous faire peur qu'elles nous font rire... non, je parle de ces visites d'outre-tombe qui s'effectuent de façon fort cordiales...
Et bien, ici, ce n'est pas une visite d'outre-tombe mais d'outre-tapisserie... et le fantôme n'est autre qu'une jolie et aimable marquise... si jolie qu'elle personnifie Omphale sur la tapisserie qui orne le mur dans la chambre du héros qui est alors âgé de dix-sept ans... vous savez ? Omphale : la maîtresse d'Hercule (que les traits du marquis personnifient)...

Rêve ? Réalité ? Voilà entre quoi hésite au départ le héros de cette aventure que vous découvrez dans la nouvelle suivante :

accessible à la lecture / téléchargement en cliquant ici
Format : pdf
Langue : Français

Bonne lecture !

Bisous,
@+
Sab

28 mai 2017

Richard Brautigan [Vengeance de la Pelouse] : L'Effet Scarlatti

Ah que coucou !

Cette fois, je crois que "plus court, ce n'est pas possible" ;)... ce texte est si court que je me suis demandée pendant plus longtemps qu'il n'en faut pour le lire, si je n'allais pas vous le proposer avec un autre... et puis... et puis... je me suis dit qu'avec toutes les pages que vous avez à lire les autres jours, ces 3 lignes (et encore... ça dépend de votre format d'écran ;)) allaient vous reposer un peu.


Bonne lecture !

Bisous,
@+
Sab
- Ce n’est pas facile à vivre dans un studio à San José avec un homme qui apprend à jouer du violon.

C’est ce qu’elle a dit aux policiers, en leur tendant le revolver vide.

26 mai 2017

Georges Feydeau [Les Monologues] : Les Célèbres

Ah que coucou !

La célébrité, qu'est-ce que c'est ? Comment devient-on célèbre ? Pourquoi devenons-nous célèbres ? Nous pouvons tous répondre à ces 3 questions, mais... voilà que le personnage joué par Coquelin Cadet de la Comédie-Française se rebiffe contre certaines célébrités qui, selon ses propos, n'auraient jamais dû devenir célèbres... et ses arguments sont... "à rester cloué, là !"

accessible à la lecture / téléchargement en cliquant ici
Format : pdf
Langue : Français

Bonne rigolade !
Bonne lecture !

Bisous,
@+
Sab

24 mai 2017

Agatha Christie : Black Coffee

Ah que coucou !

Sir Claud Amory est un scientifique qui travaille sur une formule visant à pouvoir utiliser l'arme nucléaire... il n'a confiance en personne et a lui-même inventé le système de sécurité de sa demeure (dans laquelle il a enfermé la formule dans son coffre-fort car il n'a pas confiance en la sécurité du ministère)... toutefois, depuis quelques jours, il a l'impression qu'un membre de sa famille tente de subtiliser la formule. Il décide alors de faire appel à Hercule Poirot... mais le jour où Hercule Poirot, accompagné de son grand ami le capitaine Hastings, arrive chez sir Amory, ils le découvrent mort et apprennent que la formule a été volée puis restituée pour être volée à nouveau...

Comment Hercule Poirot parviendra-t-il à résoudre ces 2 énigmes ? d'ailleurs y a-t-il réellement un lien entre ces 2 affaires ? Eh bien, vous le saurez en lisant le roman suivant :

accessible à la lecture / téléchargement en cliquant ici
Format : pdf
Langue : Français

Bonne lecture !

Bisous,
@+
Sab

22 mai 2017

Richard Brautigan [Vengeance de la Pelouse] : Une Réserve inépuisable de pellicule de 35 mm

Ah que coucou !

Et oui... le texte est encore trop court pour que je vous le propose en téléchargement et/ou que je vous en parle sans plagier l'auteur... alors, regardez en dessous de ma signature...

Bonne lecture !

Bisous,
@+
Sab
Les gens n’arrivent pas à comprendre pourquoi il est avec elle. Ca les dépasse. Lui, si bel homme, et elle, si quelconque. - Qu’est-ce qu’il lui trouve ?
C’est la question qu’ils se posent à eux-mêmes et entre eux. Ils savent bien que ce n’est pas à cause de sa cuisine, car elle n’est pas bonne cuisinière. Tout ce qu’elle est capable de préparer, c’est quelque chose qui ressemble à peu près à du pâté de viande. Elle en fait tous les mardis soir, et le mercredi, il a du pâté de viande dans son casse-croûte de midi. Les années passent. Ils restent ensemble alors que leurs amis se séparent.
La réponse, on croit d’abord, comme dans la plupart des cas semblables, la trouver dans le lit où ils font l’amour. Elle devient la salle obscure où il projette les films de ses rêveries sexuelles. Son corps est un amphithéâtre de velours doux et vivant, menant à un vagin qui n’est que l’écran chaud de son imagination, dans la douceur duquel il fait l’amour à toutes les femmes qu’il voit et qu’il désire, comme de brèves images de vif-argent ; mais elle ne se doute de rien. Tout ce qu’elle sait, c’est qu’elle l’aime beaucoup, qu’il lui donne du plaisir, et qu’avec lui elle se sent bien. Elle commence à s’impatienter vers quatre heures de l’après-midi parce qu’elle sait qu’il rentre du travail à cinq heures.
Il a fait l’amour à des centaines de femmes différentes en elle. Elle fait se réaliser tous ses rêves, simplement étendue là, comme un théâtre sous ses yeux, satisfaite sous ses caresses, elle qui ne pense qu’à lui.
- Qu’est-ce qu’il lui trouve ?
Les gens continuent à se poser la question, à eux-mêmes et entre eux. Ils devraient savoir. La réponse définitive est très simple. C’est dans sa tête, à lui, que tout se passe.

20 mai 2017

Georges Feydeau [Monologues] : Le Billet de mille

Ah que coucou !

Quel problème, les grosses coupures ! on a beau avoir de l'argent sur nous, il est parfois bien difficile de pouvoir acheter ce que l'on veut par manque de petite monnaie !! et bien, c'est ce qui arrive au héros de ce monologue ! Il possède un billet de mille francs avec lequel il ne peut s'acheter un cigare d'un montant de quelques sous ! Pour acheter le cigare convoité, il a besoin de faire de la monnaie... mais voilà, comment faire... c'est que mille francs, à cette époque-là, c'était une petite fortune. Il décide donc de festoyer dans un restaurant avec Ninette puis, de revenir dans le magasin pour acheter le cigare... mais voilà, Ninette, elle, a fait d'autres projets pour ce billet de mille francs... lesquels ? et bien... si vous lisiez ces quelques vers pour le savoir ?

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Format : pdf
Langue : Français

Bonne lecture !

Bisous,
@+
Sab

18 mai 2017

Jules Romains : Knock

Ah que coucou !

Aujourd'hui je vous propose une pièce de théâtre que nous connaissons tous :

accessible à la lecture / téléchargement en cliquant ici
Format : pdf
Langue : Français

où Knock est un médecin de campagne (successeur du docteur Parpalaid qui part s'installer à Lyon à la place du célèbre docteur Merlu), récemment diplômé alors qu'il a pendant plusieurs années exercé la profession, entre autre, de docteur sur un bateau... d'ailleurs je laisse Louis Jouvet nous narrer son CV dans l'extrait ci-dessous :


Knock (1950)

Bonne lecture !

Bisous,
@+
Sab

16 mai 2017

Richard Brautigan [Vengeance de la Pelouse] : Un grand Immeuble à Singapour

Ah que coucou !



Que dire d'autre d'un texte si court que : lisez-le ! Vous le trouvez sous ma signature...

Bonne lecture !

Bisous,
@+
Sab

C’est un grand immeuble à Singapour qui contient la seule beauté de cette journée, dans les rues de San-Francisco, où je promène mon cafard noir, en regardant mon esprit fonctionner avec l’efficacité d’un crayon liquide.
Une jeune mère passe, parlant à sa petite fille qui est vraiment trop petite pour pouvoir parler, mais qui parle quand même de quelque chose à sa mère, et avec beaucoup d’entrain.
Je ne distingue pas très bien ce qu’elle dit, elle est si petite. Je veux dire, c’est vraiment une toute petite fille. Puis sa mère lui répond quelque chose qui fait exploser ma journée en une vision délirante.
- C’était un grand immeuble à Singapour, dit-elle à la petite fille, dont la réponse enthousiaste sonne, claire comme un sou neuf :
- Oui, c’était un grand immeuble à Singapour !

14 mai 2017

Georges Feydeau [Monologues] : Patte-en-l'air

Ah que coucou !

Le personnage joué par Coquelin Cadet doit se rendre chez sa fiancée... mais voilà, au cours du chemin un chien, puis deux, puis trois, etc. se mettent à le poursuivre. Il a beau courir, tenter de les semer... rien y fait ! tout au contraire !! les chiens, en aboyant, en attirent d'autre. Il parvient enfin à ce que cette poursuite cesse quand il referme la porte de sa fiancée au nez de la meute qui s'est constituée... Mais voilà que sa fiancée est toute fière de lui présenter... quoi ? un chien de salon qu'elle a acheté dans la journée !!! qui, lui aussi, se met à renifler son pantalon... et... lève la patte pour...

Voulez-vous connaître la suite de l'histoire ? Et bien, lisez la ;) :

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Format : pdf
Langue : Français

Bonne lecture !

Bisous,
@+
Sab

12 mai 2017

Honoré de Balzac [Comédie humaine] : La Grenadière

Ah que coucou !

Comme annoncé dans le billet précédent F-A de K : Mémoires sur la vie de Monsieur Duval (cliquez ici pour y accéder) qui, en même temps nous explique qui était ce monsieur Jamerai-Duval, explique quel lien a ce monsieur Duval avec l'œuvre d'aujourd'hui, voici :

accessible à la lecture / téléchargement en cliquant ici
Format : pdf
Langue : Français

La Grenadière est, ce que nos amis anglais nommeraient, un "cottage" que les propriétaires, après l'avoir modernisée, louent à la famille Willemsens composée d'une mère et de ses deux fils. Se situant dans un lieu quasi-désert, la petite famille fait l'objet de l'attention de tout le voisinage. On admire la beauté de Mme Willemsens, on admire la bonne éducation de ses 2 fils Louis-Gaston (l'aîné) et de Marie-Gaston. Et évidemment, tous s'interrogent sur eux, avec bienveillance... quand on s'aperçoit que Mme Willemsens est gravement malade...

La suite ? et quel est le rapport avec ce Monsieur Jammerai-Duval ?
Et bien vous le saurez après avoir lu ces quelques pages.

Bonne lecture !

Bisous,
@+
Sab

10 mai 2017

F-A de K : Mémoires sur la vie de Feu Monsieur Duval

Ah que coucou !

Ah, ah ! qui connaît ? Peu nombreux sont ceux qui connaissent déjà ses mémoires tout comme peu peuvent deviner qui est l'auteur et qui est ce monsieur Duval...
Bon, j'explique...

Le prochain ouvrage qui paraîtra sur ce blog sera une œuvre de Balzac, tirée de la Comédie humaine : La Grenadière. Dans celle-ci Honoré Balzac mentionne un certain Jamerai-Duval dont nombreux, comme moi, n'en avaient jamais entendu parler au-dehors de cet ouvrage... alors qui est ce Valentin Jamerai-Duval ? Quel lien a-t-il avec les enfants de Mme Wilemsens ?

Voici d'abord un résumé sur sa vie, trouvé sur le site de la BnF :


Mais ce court résumé n'explique pas pour quel motif Balzac le mentionne dans son ouvrage... alors pour comprendre, prenons ces Mémoires que Balzac donne l'impression d'avoir lues...

accessible à la lecture / téléchargement en cliquant ici
Format : pdf
Langue : Français

Et nous comprenons alors pourquoi Balzac en parle... tout comme nous nous apercevons, au passage, qu'il n'a pas lu ces Mémoires ;)...

Bonne lecture !

Bisous,
@+
Sab

8 mai 2017

Bernard Henniger : Mon cœur pleure Léda

Ah que coucou !

accessible directement sur le site de l'éditeur en cliquant ici
Format : e-pub
Langue : Français

Comme l'avertit l'éditeur dès le début, cette nouvelle est le prologue d'un roman de science-fiction imaginaire dont le titre est Les Sacrifiés... dont nous découvrons les premières pages à la suite de cette nouvelle.

Toutefois si Deslav est le héros du roman, c'est Tufik qui est le héros de cette nouvelle ;)...
Tufik est un Touarègue du XXIIe siècle. Parce qu'il est doué pour les études, on l'envoie étudier les sciences agricoles dans une université moscovite où il apprend aussi, en même temps à parler le russe mais aussi la lingua franca (langue inventée par les scientifiques afin d'éviter que des non-scientifiques puissent comprendre qu'ils parlent de sciences et éviter ainsi d'être dénoncés - oui, à cette époque-là, il est "mortel" d'être un scientifique).
Un jour, alors que Tufik (qui a été obligé de quitter Moscou pour Buda Pest à cause du climat) se promène dans Pest, il est attaqué par des brigands qui estiment que, parce qu'il est étranger et que ses vêtements l'affiche comme "arabe", il est obligatoirement riche... alors qu'il est laissé pour "mort", un groupe d'individus l'emmène dans une des maisons du Bidonville pour l'y soigner. Dans cette maison il y rencontre Léda dont, sans s'en apercevoir, il va tomber amoureux... la suite ? chut ! je ne vous la raconterais pas car c'est à vous de la découvrir ;)...

Bonne lecture !

Bisous,
@+
Sab

6 mai 2017

Richard Brautigan [Vengeance de la Pelouse] : Problèmes bancaires compliqués

Ah que coucou !

A nouveau, le texte est bien trop court pour en parler et vous le proposer en téléchargement. Vous trouverez donc la nouvelle suivante sous ma signature...


Bonne lecture !

Bisous,
@+
Sab


J’ai un compte en banque parce que j’en avais assez d’enterrer mon argent au fond du jardin ; et puis, il s’est passé autre chose : il y a quelques années, en enterrant de l’argent, je suis tombé sur un squelette humain.
Le squelette tenait dans une main les restes d’une pelle, et dans l’autre, une boîte de café à moitié décomposée. La boîte de café était emplie de quelque chose qui ressemblait à de la poussière de rouille, et qui avait dû autrefois être de l’argent, alors maintenant, j’ai un compte en banque.
Mais cela non plus ne marche pas très bien, la plupart du temps. Quand je fais la queue, il y a presque toujours des gens devant moi qui ont des problèmes bancaires compliqués. Et je suis obligé d’attendre et de supporter ces parodies de crucifixion financière de l’Amérique.
Ca se passe à peu près comme ceci : il y a trois personnes devant moi. J’ai un petit chèque à encaisser. L’opération ne prendra qu’une minute. Le chèque est déjà endossé. Je le tiens en main, tourné vers la caissière.
La personne qu’on est en train de servir maintenant est une femme d’une cinquantaine d’années. Elle porte un long manteau noir bien qu’il fasse très chaud. Elle a l’air très à l’aise dans son manteau, et il vient d’elle une odeur bizarre. Je pense à cette odeur pendant quelques secondes, et me rends compte que c’est le premier signe d’un problème bancaire compliqué.
Puis elle fouille dans les plis de son manteau, et en sort l’ombre d’un réfrigérateur empli de lait tourné et de carottes de l’année dernière. Elle veut mettre l’ombre sur son livret d’épargne. Elle a déjà préparé la fiche.
Je lève les yeux vers le plafond de la banque, et je fais comme si c’était la chapelle Sixtine.
La vieille dame se débat violemment, puis on l’emmène. Il y a beaucoup de sang par terre. Elle a arraché d’un coup de dent l’oreille d’un des gardiens.
Je suppose qu’on ne peut qu’admirer son cran.
Le chèque que j’ai en main est de 10 dollars.
Les deux personnes suivantes ne sont en fait qu’une seule personne. Ce sont deux frères siamois, mais ils ont chacun leur chéquier personnel.
L’un d’eux met 82 dollars sur son livre d’épargne, et l’autre veut solder son livret d’épargne. La caissière lui compte 3.574 dollars, et il met l’argent dans la poche qui est de son côté du pantalon.
Tout cela prend du temps. Je lève les yeux vers le plafond de la banque une fois de plus, mais je n’arrive plus à imaginer que c’est la chapelle Sixtine. Mon chèque est moite comme s’il avait été signé en 1929.
Le dernier client qui me sépare de la caissière a l’air tout à fait anonyme. Tellement anonyme qu’il est à peine là. Il met sur le comptoir 237 chèques qu’il veut déposer sur son compte courant. Total : 489.000 dollars. Il a aussi 611 chèques qu’il veut déposer sur son livret d’épargne. Total : 1.754.961 dollars. Ses chèques recouvrent complètement le comptoir, comme une tempête de neige triomphale. La caissière s’attaque au traitement des chèques comme un coureur de fond, et moi, j’attends, et je me dis que le squelette au fond du jardin avait décidé juste après tout.

4 mai 2017

Georges Feydeau [Monologues] : Le Potache

Ah que coucou !

Coquelin Cadet tient ici le rôle d'un jeune-homme qui n'a pas encore terminé ses études... et justement... ben... en ce jour son prof lui a mis un zéro car il n'avait pas appris sa leçon... pourtant il estime qu'il a des circonstances atténuantes car il participait à une soirée chez un riche propriétaire qui attendait tous ses invités dans son vestibule qu'il n'a pas quitté de toute la soirée... il y rencontre aussi une jeune fille qu'il fait valser à son rythme (4 temps ;)) et à qui il fait un superbe compliment en l'assurant qu'elle était plus belle que la concierge de son collège... il y rencontre un homme qui le fait bien rire aussi avec son illustration de la bêtise humaine... bref il a passé une si belle soirée qu'il n'est pas rentré chez lui avant les 5 h du matin... il n'a donc pas pu apprendre sa leçon... soyons compréhensibles ;) mdrr !! Bref, voici ici le style d'excuse vaseuse que nous font régulièrement les ados de notre époque... oui, oui... ce monologue date de 1883 mais il aurait pu être écrit hier ;)... lisez-le et vous vous en rendrez compte.

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Format : pdf
Langue : Français

Bonne lecture !

Bisous,
@+
Sab

3 mai 2017

Richard Brautigan [Vengeance de la Pelouse] : Les Oiseaux sauvages du Paradis

Ah que coucou !

Cette nouvelle n'est nullement un souvenir de Richard Brautigan ; mais une fiction qui lui est venue à l'esprit en observant ses enfants devant la télévision... eh oui, déjà à cette époque-là, la télévision squattait peu à peu toutes les demeures des habitants de notre planète ;)...
Nous en profitons pour rappeler ici qu'une télévision N'est PAS et NE sera JAMAIS une baby-sitter et que, même si nous ne nous en rendons pas compte, certaines images et/ou certaines émissions (y compris dans certains dessins animés soi-disant pour enfants) traumatisent nos bouts de chou (on s'en aperçoit quand nos enfants font des cauchemars, se mettent à devenir violents, se mettent à répondre à leurs parents, etc., et cela sans aucune raison apparente).
PAR CONTRE la télévision est un EXCELLENT outils (pas autre chose...) pour apprendre à nos petits bouts d'ouvrir leurs esprits aux autres, pour leur faire voir ce qu'on ne peut leur montrer, etc. En d'autres termes : PARENTS, FAITES VOTRE BOULOT EN TRIANT LES EMISSIONS QUE VOS ENFANTS PEUVENT VOIR ET/OU NE PEUVENT PAS VOIR ! ET EN N'OUBLIANT PAS QU'UN ENFANT DOIT DORMIR MIN. 8 HEURES PAR NUIT (entre 8 et 10 h)... même (et surtout) quand le dit-enfant fait la colère parce qu'on lui dit d'aller au lit, ce qui révèle, qu'en plus il est fatigué et a besoin d'aller faire un gros dodo après un gros bisou à maman et un autre à papa (même quand maman et papa sont en colère contre le dit-bout de chou).
Petite parenthèse passée, passons à notre histoire...

Donc là, il s'agit de la famille de Mr Henly et d'un poste de télévision qui tombe en panne alors que les enfants veulent impérativement regarder leur émission - ils vont même jusqu'au chantage si Papa ne solutionne pas vite le problème en achetant une télévision neuve... Poussé par sa femme, Mr Henly décide donc de se rendre dans un magasin et d'acheter une télévision... mais comme beaucoup, il n'a pas les finances pour effectuer l'achat en une seule fois. Il doit donc faire un emprunt auprès du vendeur qui... qui quoi ? et bien vous le saurez en lisant l'histoire suivante :

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Format : pdf
Langue : Français

Bonne lecture !

Bisous,
@+
Sab

2 mai 2017

Ivan Turgenev [Récits d'un Chasseur] : Les Chanteurs / Певцы

Ah que coucou !

Voici une nouvelle qui n'apparaît nullement dans le recueil traduit par E. Halpérine-Kaminsky en 1893 mais qui se trouve dans le recueil russe :

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Format : pdf
Langues : Français & Russe

Cette fois le narrateur se trouve dans le district d'Orel (ville natale d'Ivan Turgenev), plus précisément dans le village de Kolotovka, dans le cabaret d'un certain Nikolaï Ivanovitch. Dans ce cabaret est organisé un concours de chant auquel participe, entre autres, Diki-Barîne, Obaldouï, l'entrepreneur de Jisdra & Iachka... C'est l'entrepreneur de Jisdra qui commence... il chante si bien qu'Iachka, qui est le concurrent suivant commence à s'inquiéter quant à l'issue du concours... surtout que la femme du patron affirme sans hésitation qu'elle a trouvé le chant de l'entrepreneur très mélodieux... Quand Iachka commence à chanter, sa voix ne sort pas... ensuite elle se met à trembler... puis... puis... quoi ? et bien si vous lisiez cette nouvelle vous-mêmes ?

Bonne lecture !

Bisous,
@+
Sab

1 mai 2017

Bon 1er mai !

Ah que coucou !

Que ces quelques clochettes de muguet récoltent des merveilleux moments de bonheur pour vous les offrir.


Bonne fête !

Bisous,
@+
Sab