Ah que coucou !
Et bien voilà, je peux enfin vous proposer celui que j’adore parmi tous ceux que cette grande dame de la littérature anglaise a écrit :
La Mort n’est pas une Fin
accessible au téléchargement/lecture en cliquant ici
Format : pdf
(logiciel fourni gratuitement par Adobe)
Langue : Français
et qui ne met en scène ni Hercule Poirot, ni Miss Marple ;)…
L’action se situe dans l’Egypte ancienne, au temps des Pharaons… au temps des différents dieux Ptah, Râ, etc.… au temps des superstitions qui voulaient que le monde des Morts accèdent aux demandes des vivants pour faire justice et protéger les vivants… aux temps où l’on faisait des offrandes aux dieux et aux morts… aux temps où la navigation sur le Nil n’était pas aussi importante qu’aujourd’hui et où chaque embarcation était accueillie avec joie et fête…
Oui mais le Nil (fleuve nourricier de l’Egypte) n’apporte pas toujours que des bienfaits, parfois navigue sur ses flots le Mal… et ce Mal le voilà qui arrive dans cette demeure où vit la famille d’Imhotep, prêtre de Ka, en la personne de Nofret, sa belle concubine…
Mais Nofret est-elle réellement la seule et l’unique responsable de ces crimes ? Connait-elle suffisamment de magies pour tuer les fils d’Imhotep ? et Ashayet, la mère décédée des 3 enfants aînés d’Imhotep (Yahmose, Sobek & Renisenb), pourra-t-elle les protéger contre Nofret ? et est-elle assez puissante pour protéger aussi cet autre fils d’Imhotep (prénommé Ipy), qu’il a eu avec une autre femme quelques années après le décès de son épouse ?
Mais voilà des questions que ne se posent ni Esa (la mère d’Imhotep) ni Hori (le scribe) qui préfèrent les laisser à tous ces superstitieux. Oui, pour eux, seul un être vivant peut être responsable de cette hécatombe, et, au péril de leur vie, ils vont tenter de résoudre ce mystère…
Cette histoire ne se déroulant pas à notre époque, l’enquête ne peut être menée à grand renfort d’analyses scientifiques poussées. A cette époque on ne savait rien du tout en ce qui concerne les empreintes digitales, en ce qui concerne l’A.D.N. A cette époque seule la réflexion permettait de trouver les coupables d’un crime…
Bonne lecture !
Bisous,
@+
Sab
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