Ah que coucou !
Le système économique de la France étant le capitalisme, même si cela déplaît à certains, nous allons aborder aujourd’hui, avant de l’étudier ainsi que les autres systèmes économiques, l’objet même du capitalisme : le Capital.
Comme j’ai numérisé le dictionnaire économique dont j’ai tiré déjà certaines définitions, je vous recopie, ci-dessous, la définition donnée par ce dictionnaire qui a déjà défini par nous le libéralisme, l’économie et le budget (oui, c’est plus rapide et plus simple ;) surtout avec une Sab un tantinet paresseuse mdrrr !! Non, mais j’ai tant à lire actuellement que je ne peux malheureusement pas formuler le contenu d’un cours traitant du capital. Jusqu’à aujourd’hui j’ignorais totalement que le fait de vouloir créer son entreprise signifiait aussi beaucoup, beaucoup, beaucoup lire – et les textes, faut les voir, ils n’appliquent en rien les règles de la littérature – j’explique : j’adore lire, j’adore surtout les auteurs classiques, et bien, ceux qui écrivent les informations et les directives à suivre, je les soupçonne d’être archinuls en littérature, faut voir les tournures de phrase !!! c’est sûr : ils ont complètement oublié les règles de grammaire et de syntaxe acquises au CM2 !!! Et encore, moi j’ai de la chance, j’ai étudié l’économie générale et d’entreprise ainsi que le marketing et la législation commerciale !! imaginez la somme de lecture que doivent ingurgiter les malheureux qui n’ont jamais étudié ces matières !!! Je les plains et JE COMPATIS sincèrement !! Oui, si vous voulez créer votre entreprise, soyez d’abord d’excellents littéraires, cela vous permettra de comprendre les textes contenant de nombreuses fautes de syntaxe !!! J’avoue, il y en a un, j’ai abandonné d’essayer de comprendre tellement il était écrit en français incompréhensible) :
Le terme « capital » est souvent utilisé comme équivalent du mot « patrimoine ». C’est alors l’ensemble des biens que possède un individu ou un groupe.
Le mot « capital » est utilisé dans des sens souvent très différents de l’usage courant, et le passage non explicite d’une acception du terme à une autre est souvent source de confusion.
Terminologie libérale
Capital technique
Le capital technique est un ensemble de biens matériels permettant de créer de nouveaux biens dotés d’utilité.
Il permet d’opérer un détour de production : au lieu d’aller chercher de l’eau au puits, un individu peut décider de construire une canalisation et une pompe lui permettant d’obtenir de l’eau sans effort. Il n’a intérêt à acquérir ce capital que si la somme de travail consacrée à l’élaboration de cette installation est inférieure à celle que constitue le fait d’ailler à chaque fois chercher de l’eau. Il doit tenir compte, pour effectuer son calcul, du temps pendant lequel il pense pouvoir utiliser cette canalisation. L’exemple précédent se situe au niveau réel, mais l’entreprise effectue ses calculs de rentabilité en termes financiers.
Le capital fixe est la partie du capital dont la durée de vie s’étend sur plusieurs cycles de production (machines, bâtiments).
Le capital circulant désigne la partie du capital qui disparaît dans un seul cycle de production (matières premières…).
Les diverses branches industrielles se distinguent par la quantité de capital nécessaire pour produire un euro de produit. Le « coefficient de capital » est le rapport :
Il permet de savoir que pour 1 € de marchandises produites, il a fallu dépenser x€ de capital (machines, bâtiments, matières premières…).Lorsque ce rapport est élevé, on dit que l’activité considérée est capitalistique.
Les capitaux d’une entreprise
La plupart des entreprises fonctionnent partiellement avec des ressources financières apportées par leurs propriétaires et font, pour le reste, largement appel aux multiples formes de crédit bancaire et autres. Si la rentabilité que rechercher l’entreprise est celle des ses fonds propres, il n’en reste pas moins que l’« efficacité » de l’entreprise est liée à l’ensemble des capitaux qu’elle utilise (Bilan).
On distingue les capitaux propres qui regroupent l’ensemble des capitaux qui appartiennent à l’entreprise (capital + réserves + bénéfices) des capitaux étrangers qui sont constitués par l’ensemble des dettes de l’entreprise.
Les capitaux permanents sont ceux qui restent de façon durable à disposition de l’entreprise, ils comprennent les capitaux propres et les dettes à long terme.
Capital à risque (Venture capital)
L’expression « capital risque » est utilisée pour qualifier des sociétés qui effectuent des investissements dans des secteurs novateurs et qui défrichent des marchés nouveaux comportant des possibilités de gains exceptionnellement élevés mais aussi des risques de faillite importants.
Productivité et productivité marginale du capital
Si l’on désigne par Y la valent de la production lors d’une période donnée, et par K la valeur du capital utilisé durant cette période, Y/K constitue la productivité du capital.
Y/K est l’inverse du coefficient de capital, et son interprétation est aisée : Y/K représente pour 1€ investi en capital, le nombre de € obtenus en marchandises produites.
Si l’entreprise augmente son capital de aK durant une période et que la valeur de sa production varie de aY, aY/aK est la productivité marginale du capital.
Productivité apparente du capital
L’INSEE définie la productivité apparente du capital comme le rapport valeur ajoutée divisée par le capital fixe.
Dans l’analyse libérale le capital est un facteur de production qui, combiné avec le travail, permet d’obtenir une certaine production. Ce qui distingue l’analyse libérale de l’analyse marxiste sur ce point, c’est que, pour les théoriciens libéraux, le capital au même titre que le travail, engendre de la valeur.
Vocabulaire marxiste
Pour Marx, le capital n’est pas seulement un ensemble de choses ou un flux financier mais aussi un rapport social. Dans le système capitaliste, il faut que ceux qui possèdent les moyens de production trouvent des travailleurs à employer, que la loi définisse le droit de propriété, le droit du travail… Pour Marx, il y a dans le capital deux formes essentielles :
Le capital constant : ce sont les machines, les bâtiments, les matières premières, l’énergie, bref, tout ce qui résulte du travail passé et qui est utilisé pour forger des marchandises. Ce travail passé est détruit dans la production et se trouve incorporé sous une forme nouvelle dans les objets créés ; ainsi, des tôles d’acier vont être utilisées pour fabriquer des portières de voiture. Le capital constant transmet sa valeur au nouveau produit mais ne peut créer de valeur nouvelle.
Le capital variable : la force de travail a la propriété de créer une valeur supérieure à celle qui est nécessaire à sa propre reproduction, d’où la dénomination de variable. En moyenne, le salaire versé est inférieur à la valeur des produits qu’il permet de réaliser, moins la valeur du capital constant qui y est incluse. C’est cette différence qui constitue la plus-value, source de l’accumulation.
Il faut distinguer ces termes des notions de capital fixe et de capital circulant définies ci-dessous.
Une industrie lourde se caractérise par une composition organique du capital très élevée.
Source :
Concernant cette dernière partie, si vous souhaitez de plus amples renseignements, je vous conseille de lire Le Capital écrit par Karl Marx que vous trouvez facilement à télécharger sur la toile – de nombreux liens et nombreux formats sont disponibles ;) – si ce n’est pas encore fait… Ce livre est bien, il décrit bien une autre forme de système économique beaucoup plus humaine que la nôtre… quelque part, en lisant cet ouvrage, nous comprenons parfaitement quelles raisons motivent certaines personnes à souhaiter ce système économique (que nous aborderons plus tard), mais hélas, appliquer les théories émises par Karl Marx semble être impossible comme nous pouvons en juger dans les pays ayant adopté ce système où l’on constate une autre réalité économique, très différente de celle rêvée par Karl Marx comme nous le verrons plus tard…
Bisous,
@+
Sab
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