Ah que coucou !
Aujourd’hui je vous propose un livre que je n’ai connu seulement quand ma maman à moi l’avait acheté pour que je puisse le lire alors que je n’avais quoi ? 11 – 12 ans… la dernière version filmée (interprétée par… vous n’avez qu’à regarder la couverture du livre) venait de sortir sur les écrans… Oui, aujourd’hui je vous propose (sans toutes les coquilles contenues dans la version originale ;)) :
Ces dames aux chapeaux verts
(accessible à la lecture/téléchargement en cliquant ici)
format : pdf
(logiciel fourni gratuitement par son concepteur : Adobe)
langue : français
Dans ce livre ce qui m’a le plus intéressé, c’est ce témoignage des mœurs qui avaient encore cours au début du 20e siècle dans ces villes de province. L’auteur se sert d’Arlette, (jeune fille, Parisienne jusqu’au bout des doigts, dont le père se suicide suite à des problèmes financiers, ce qui amène que son frère Jean se retrouve en Afrique afin de faire fortune, et qu’elle est recueillie par 4 cousines, vieilles filles de leur état, les sœurs Davernis, surnommées : « les dames aux chapeaux verts »), pour confronter deux styles de vie (l’une parisienne et l’autre provinciale) et les différences de mœurs (modernes à Paris contrairement à la Province où l’on tient compte du qu’en dira-t-on). Grâce au personnage d’Arlette l’auteur nous montre aussi l’évolution des mœurs : Arlette n’a pas peur de parler à des hommes, Arlette sait conduire une voiture, Arlette sait jouer au tennis, Arlette est instruite, Arlette n’a pas peur de se promener seule en ville, etc. Evidemment cela ne va pas sans quelques heurts avec l’ainée de ses cousines Davernis : Telcide, vieille fille de plus de cinquante ans qui veut « dompter » cette jeune fille trop gâtée par son père qui lui laissait faire tout ce qu’elle voulait.
Mais voilà, alors qu’Arlette ne voyait en ses cousines que 4 filles totalement ridicules, elle découvre, petit à petit une toute autre réalité et termine par les apprécier, même l’effroyable Telcide qui voulait profiter de la situation en tant que « tutrice d’Arlette » pour lui faire épouser un certain Eugène Duthoit, un professeur imbu de sa personne et totalement ridicule.
Mais, comme toutes les histoires, celle-ci pourrait se terminer par : « ils se marièrent et eurent beaucoup d’enfants » si l’histoire ne s’arrêtait pas par les 2 mariages ! Mariage de qui ? à vous de le découvrir ! ;)
En attendant, je profite de ce post pour vous faire découvrir un petit bijou datant de 1929. Il s’agit d’un extrait de la première version filmée de cet ouvrage :
Bonne lecture !
Bisous,
@+
Sab
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire