Ah que coucou !
Aujourd’hui je vous propose de lire un livre que j’apprécie grandement, écrit par cette grande dame de la littérature française qu’était Amantine-Aurore-Lucile DUPIN, plus connue sous le pseudonyme de George SAND :
La Mare au Diable
accessible au téléchargement/lecture, en cliquant ici
Format : pdf
(logiciel fourni gratuitement par son concepteur : Adobe)
Langue : Français
dans lequel vous retrouvez la gravure d’Holbein dont nous avons parlé dans le billet : Hans Holbein (pour y accéder, cliquez ici)
Vous vous posez sûrement la question sur les raisons qui me poussent aujourd’hui à dédier deux billets à ce livre. Cela est dû au fait que ce livre est non seulement une œuvre littéraire (que nous allons voir aujourd’hui), mais aussi un témoignage sur la vie dans les campagnes françaises de ce 19e siècle (que nous verrons demain).
Nous allons donc aborder aujourd’hui ce livre comme étant un chef d’œuvre de la littérature…
Comme de nombreux romans champêtres, le vocabulaire usité n’est rien d’autre que celui de nos paysans d’autrefois. Il ne faut donc pas s’attendre à y lire un vocabulaire élaboré mais plutôt un français mêlé au dialecte de cette Touraine très chère à George Sand.
La Mare au Diable est un étang où il fait mauvais être quand la nuit est là… enfin, c’est ce qu’affirment les habitants du cru et l’expérience qu’en ont faite Germain, la petite Marie et le Petit-Pierre, ne contredit en rien cette mise en garde… oui, Germain, veuf cherchant épouse à la Fourche où il doit se rendre en déposant sur son chemin la petite Marie qui va travailler comme bergère aux Ormeaux, se retrouve accidentellement sur le bord de la Mare au Diable… N’étant pas averti, ils n’ont pas suivi la coutume qui veut, quand on se retrouve à la nuit tombée près de la Mare au diable, que l’on y jette une pierre de la main gauche pendant que la main droite on fait le signe de la croix, afin d’être protégé contre les mauvais esprits… ils se sont perdus, et, après une longue marche dans la nuit, se sont retrouvés sur les lieux où ils avaient bivouaqué quelques heures pour se reposer… Mais ceci n’est malheureusement pas l’unique mésaventure qui leur arrive pendant ce week-end-là, et vous connaîtrez toute leur histoire en lisant cette partie du livre se trouvant dans la partie la Mare au Diable…
Pendant que la Mare au Diable nous narre l’histoire de Germain, le laboureur, et de la petite Marie, la pauvre bergère, la partie Appendice, quant à elle, nous raconte comment se déroulaient les noces dans nos campagnes du 19e siècle. Mais cela, nous l’aborderons dans un autre billet, que vous trouverez dans la rubrique Histoire.
Bon appétit !
Bisous,
@+
Sab – le prochain billet pas avant la fin de l’après-midi de mardi…
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