30 juin 2024

ETA Hoffmann [Les Contes Fantastiques] : La Leçon de violon (Die Serapions-Bruder : Kapitel 77)

Ah que coucou !

Le narrateur est un jeune étudiant en musique, âgé de 16 ans et qui a choisi de s'exprimer au violon. Son maître, Haack, est fier de ses prestations et de ses progrès. A dire vrai, il en est si fier qu'il accepte d'accéder à la demande de son élève et de l'emmener avec lui chez le Baron...
Le Baron est un viel homme qui a étudié le violon auprès de Tartini. Il prétend aussi être le seul véritable virtuose... Ce qu'il adore ? donner des leçons de violon à ceux qu'il estime en être digne... et il en donne à Haack, tout comme à beaucoup d'autres ;)...
"Mais que vaut-il réellement comme violoniste ?" demande le narrateur à son maître... celui-ci lui conseille de prendre des cours auprès du Baron et...

La suite ?
Vous la connaîtrez en lisant le conte suivant :


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Format : pdf
Langues : Français & Allemand

Comme vous vous en apercevez, la version originale de ce conte n'est qu'un chapitre des Frères Sérapions c'est pour cela, qu'il est difficile de retrouver le texte original... car il ne se nomme ni La Leçon de Violon, ni L'Elève du grand Tartini ni Baron B...... donc, pour ceux qui veulent en parler avec les cousins germains, évitez de tenter de leur faire trouver le titre en leur narrant l'histoire... et, s'ils ne connaissent pas, ben... ce n'est pas grave ;)... car vous, vous connaissez le contenu de tous les chapitres des écrivains français ;) ???

Sur ce,

Bonne lecture !

Bisous,
@+
Sab

28 juin 2024

Vercors : Les Animaux dénaturés

Ah que coucou !

Douglas Templemore est un écrivain-journaliste qui accompagne une mission scientifique en Nouvelle-Guinée. Les scientifiques, là, font une découverte surprenante : ils découvrent un peuple mi-singe mi-homme inconnu jusqu'alors. Ils les surnomment les "Tropis".
Plus ils passent de temps auprès d'eux, plus ils les étudient, plus ils se prennent d'affection pour eux. Mais voilà que suite à leurs observations, une entreprise textile veut profiter de la force des Tropis pour les forcer à travailler pour elle. Evidemment cela ne plaît nullement à l'équipe scientifique qui cherche un moyen d'empêcher ça...
Mais voilà, tant que les Tropis ne sont pas officiellement reconnus comme étant des êtres humains, leur avenir en tant que "bêtes" les condamnent à servir d'esclave à cette entreprise qui commence déjà par vouloir être propriétaire de tous les nouveaux-nés.
 
De retour au Royaume-Uni l'expédition scientifique scientifique décide de tout faire pour que les Tropis soient qualifiés d'être humain... tout faire, même aller jusqu'au meurtre... même aller jusqu'à la potence.
 
Y parviendront-ils ?
 
Vous le saurez en lisant le roman suivant :
 
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Langue : Français
 
 Ce livre, en en ayant entendu parler, j'ai mis longtemps à me décider à le lire, comme j'ai mis longtemps pour le lire. Pourquoi ? simplement parce que l'auteur oblige le lecteur à se remettre en question... à remettre en question son identité d'être humain car qu'est-ce qui fait la différence entre l'être humain et un animal ?
Quand on regarde dans le dictionnaire la définition d'humain, celui nous renvoie vers "Homme" et quand on consulte la définition d'"Homme", on nous renvoie sur la définition d'"Humain"...

Vercors, dans son roman, ne répond pas à la question, car la réponse, comme nous, il l'ignore... toutefois, en nous faisant réfléchir nous entrevoyons une définition qui nous est tout à fait personnelle...

Bonne lecture !

Bisous,
@+
Sab

26 juin 2024

Maurice Leblanc : En Pension

Ah que coucou !

Le "Premier Amour"... nous en avons tous eu un.
De ce premier Amour, nous en gardons tous un excellent souvenir, si bon que nous avons tous recommencé "l'expérience"...

Dans cette nouvelle une aimée estime que son amant n'a jamais connu l'amour avant de la connaître, le narrateur la détrompe en lui racontant son premier amour...


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Bonne lecture !

Bisous,
@+
Sab

24 juin 2024

ETA Hoffmann [Les Contes Fantastiques] : Salvator Rosa (Signor Formica)

Ah que coucou !

Salvator Rosa est un peintre romain qui a, pendant quelques années, accompagné un célèbre brigand italien qui avait regroupé autour de lui quelques "bandits" peintres en une bande nommée "die Kompanie des Todes" (soit, en français : "la compagnie des Morts")... au bout d'un certain temps, Salvator Rosa sentit qu'il était temps de quitter la bande et en transitant par la Corse il revint à Rome et retourna vivre dans son ancien appartement. Mais comme il était fort malade, le fils de sa logeuse décida d'aller quérir le docteur "Pyramide" (surnommé ainsi parce que ses traitements menaient ses patients plus au cimetière qu'à la vie), dont il ne connaissait pas la dangerosité. Ce docteur "Pyramide" avait aussi une autre habitude, quand il avait à faire à des peintres célèbres, comme l'était Salvator Rosa, il demandait comme paiement un tableau. Or Salvator Rosa, enfin entré chez sa logeuse, n'a pas de bagage... toutefois le docteur "Pyramide" accepte de le soigner car la logeuse lui a montré une malle appartement, soi-disant à Salvator Rosa... alors le médecin "Pyramide" le soigna si bien que Salvator Rosa failli en mourir et, parce qu'il était mourant, le médecin "Pyramide" exigea qu'on ouvrit la malle et y découvrit de vieux vêtements ayant appartenu au mari de la logeuse... Mécontent il décide d'abandonner le malade, ce qui permit à la logeuse de faire appel à un véritable chirurgien qui soigna si bien Salvator Rosa que celui-ci ressuscita... Le chirurgien, fan de peinture et reconnaissant d'avoir eu l'occasion d'approcher et de soigner Salvator Rosa, finit par lui avouer que, lui aussi, à ces moments perdus, s'abandonnait à la peinture et lui montra alors quelques-unes de ses créations... dont La Madeleine pleurant au pieds du Christ. Salvator Rosa est si ébloui par ce tableau qu'il est étonné qu'aucun membre de l'académie de peinture San-Luca ne lui ai fait de publicité. Alors Antonio, le chirurgien lui apprit que le monde artistique de Rome se moquait de lui et lui disait : "voilà qu'un chirurgien souhaite maintenant se mettre à l'art" et cela de façon plus ou moins méchante... Salvator Rosa décide alors de l'aider à se faire reconnaître et profitant de sa propre notoriété, glisse le tableau d'Antonio dans une exposition et là... tous les Romains sont unanimes : ce tableau est splendide et "dommage que l'artiste qui l'a peint fut mort, sinon on lui rendrait tous les hommages dus à son art dont celui d'être nommé, à titre posthume, membre de l'Académie"... oui, car Salvator Rosa, pour éviter les mauvaises critiques du au fait qu'Antonio était un bon chirurgien, a menti en leur déclarant que le tableau avait été peint par un Napolitain qu'il avait rencontré et qui était décédé... devant cette promesse de nomination, Salvator Rosa leur apprirent qu'il s'agissait d'une œuvre d'Antonio et les obligea à tenir leur promesse : accepter le chirurgien Antonio comme membre de l'Académie San Luca... évidemment cela leur rapporta à tous deux, quelques inimitiés...
Un jour lors de l'exposition, un vieil homme s'approcha du tableau d'Antonio et dit à Salvator qu'il aurait bien acheté le dit-tableau 1 million de sequin s'il les avait eues afin de le mettre hors de la vue du monde. Et il partit en murmurant un prénom féminin : "Marienna"... Intrigué Salvator Rosa n'alla pourtant pas chercher d'explication mais, quelques jours après cette scène, arriva chez lui Antonio, en "larmes" car un certain Pasquale Capuzzi l'avait menacé de le tuer s'il approchait de sa nièce : "Marienna"... Là Salvator Rosa, en demandant quelques éclaircissements, apprit que ce vieil homme dont se plaignait son ami était le même qu'il avait rencontré lors de l'exposition ; et, face au désarroi d'Antonio décide alors de lui apporter son aide pour qu'il puisse non seulement revoir sa belle, mais devant Pasquale et que celui-ci soit dans l'humeur d'accepter l'union de sa nièce (qu'il rêve lui-même d'épouser) avec Antonio.

Salvator Rosa parviendra-t-il à tenir sa promesse à Antonio, et comment pourrait-il le faire quand on sait que Pasquale Capuzzi interdit sa maison à tous ??

Et bien vous le saurez en lisant le conte suivant :


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Langues : Français & Allemand

Bonne lecture !

Bisous,
@+
Sab

22 juin 2024

Jean-Jacques Rousseau : A M. Christophe de Beaumont, Archevêque de Paris, Duc de Saint Cloud, etc.

Ah que coucou !

Qui ne connaît pas encore Jean-Jacques Rousseau ? On a l'habitude de commencer par Les Rêveries du Promeneur solitaire, certes j'avais pensé commencé par lui... mais...

Par le plus grand des hasards, en parcourant les Œuvres complètes de J.J. Rousseau, je suis tombée nez à nez avec une lettre dont on m'avait parlée et que je n'avais encore jamais lue : celle dans laquelle Jean-Jacques Rousseau, en défendant Emile, qui était condamné, en France, au bûcher et qui a failli être responsable d'un emprisonnement de Rousseau dans les prisons française, avait écrite à l'Archevêque de Paris, principal responsable de la disgrâce de notre Ecrivain.

Dans cette lettre il reprend point après point toutes les accusations de l'Archevêque...

Comme Emile arrive prochainement sur ce blog, je trouve très intéressant que vous lisiez les attaques et défense de l’œuvre avant de lire la dite œuvre... Pourquoi ? parce que vous vous apercevrez, vous qui comme moi n'avez jamais eu l'occasion de lire cette lettre avant, que celle-ci explique de nombreux passages du livre qu'on ne saisit pas forcément quand on n'est pas issu de la religion Protestante et que, visiblement l'Archevêque de Paris n'a encore moins compris que nous, car, lui, en plus, était un fanatique religieux : et que le fanatisme dans une religion n'est pas source de compréhension quand il s'agit d'une autre religion... bref, comme JJ Rousseau n'était pas catholique, il a été qualifié d'athée (d'où le fait qu'aujourd'hui nombreux nous répètent les propos du dit Archevêque et qu'on apprend à l'école : Rousseau est athée... eh non ! Rousseau n'était pas athée, mais protestant ;)...). On le comprend dans son ouvrage Emile mais il nous le répète ici, bien plus clairement ;)...


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Bonne lecture !

Bisous,
@+
Sab

20 juin 2024

Maurice Leblanc : L'Exemple

Ah que coucou !

Machy a un garçonnet qui se prénomme Paul
Berthe est la mère d'une fillette qui se prénomme Juliette.
Les 2 enfants adorent se retrouver au parc et jouer ensemble... mais voilà, les jeux font place à une complicité et cette complicité mène à une déclaration d'amour malgré leur jeune âge...
Les parents s'en aperçoivent et, parce qu'ils ne sont l'un ou l'autre pas très heureux en ménage, ils décident de suivre l'exemple de leurs enfants et...

La suite ? vous la découvrirez dans cette courte nouvelle :


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Langue : Français

Bonne lecture !

Bisous,
@+
Sab

18 juin 2024

Alphonse Allais : L'Embrasseur

Ah que coucou !

Vincent Desflemmes adore flâner seul à travers Paris et est content aussi quand ses flâneries l'emmènent à une église où se déroule un mariage.
Mais voilà, depuis quelque temps il remarque la présence d'un homme, qui s'arrange pour toujours embrasser la mariée...
Lors d'une discussion entre un garde suisse et un bedeau, il apprend qu'on surnomme cet homme l'Embrasseur car son comportement a été remarqué aussi par le personnel ecclésiastique des différentes églises parisiennes...
Quelque temps après, il décide de se marier à Fontenay-les-Roses avec une jeune fille qu'il estime être la plus belle au monde. De plus, elle a un oncle à héritage... mais cet oncle prévient qu'il ne pourra pas assister au mariage civil et qu'il rejoindra la noce pour le mariage religieux...
Ce jour-là tout commence bien... mais, arrivé à l'église, Vincent Desflemmes aperçoit qui ? l'Embrasseur ! en colère, il se dirige vers lui et le vire de l'église à grands coups de pieds aux fesses. Or l'Embrasseur n'est autre que...

Que qui ?

Vous le saurez en lisez cette nouvelle :


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Langue : Français

Bonne lecture !

Bisous,
@+
Sab

16 juin 2024

ETA Hoffmann [Les Contes fantastiques] : Marino Falieri / Doge et Dogaresse (Doge und Dogaresse)

Ah que coucou !

Oui, cet e-book contient deux versions françaises... plus loin vous comprendrez pourquoi...

Antonio est un jeune homme. De son enfance il se souvient que ses parents devaient être riches, n'étaient pas Italiens. Il se souvient même des quelques mots de dialecte allemand appris lors de sa petite enfance... une nuit, sa nourrice dont il se souvient le prénom : Marguerite, le prend et s'enfuit avec lui. Elle le remet à un homme, Bertuccio Nénolo, qui l'éleva tel son fils. Cet homme était déjà le père d'une fillette prénommée Annunziata... et les deux jeunes enfants, quand il se rencontrèrent la première fois et qu'Annunziata, au risque de sa vie, sauva celle d'Antonio menacée par un scorpion, tombèrent amoureux... mais voilà, Antonio, suite à la disparition de son père adoptif, se trouve mis à la porte ; il est alors "confié" à un vieux serviteur de son père adoptif, un nommé Blaunas, qui devint marchand, fait fortune, mais meurt de la peste. Antonio, à la mort de ce dernier, est recueilli par des moines et soigné. Et, quand il fut guéri, il retourne à Venise où, n'ayant pas le sou, il mendie. Là, il fait la connaissance d'une vieille femme, à qui il donne quelque fois quelques pièces...
Marino Falieri est nommé Doge à la mort de son prédécesseur qui, parce qu'il était toujours aimable, était aimé de tous les Vénitiens. Mais comme celui-ci est en mission à Avignon pour féliciter le nouveau Pape Innocent de sa nomination, c'est le frère de Bertuccio Nénolo, Bodoeri, qui le signale au Conseil pour être le successeur et qui défend sa candidature comme Doge auprès du Conseil des Dix. Après sa nomination à ce poste, Marino Falieri est rappelé à Venise et à son retour on lui fait une ovation. Alors qu'il doit, comme tous les ans le jour de l'Ascension, faire comme tous ces prédécesseurs : "épouser" la mer pour protéger Venise en jetant un anneau à l'eau, il tombe à l'eau à cause de la tempête, seul Antonio parvient à le sauver et alors qu'une fois que le Doge est sain et sauf de retour sur la terre ferme, tout le monde oublie Antonio mais lendemain le Doge le fait venir pour lui verser une somme "importante" pour le remercier de lui avoir sauver la vie et pour qu'Antonio ne se présente plus jamais devant lui... Le vieil âge de Marino Falieri fait de lui, on l'espère, un homme sage ; et c'est bien ce qu'il semble être jusqu'à son mariage avec la nièce de Bodoeri, la fille de Bertuccio Nénolo, la belle et jeune Annunziata... Oui, elle est tellement belle et sait si bien le flatter, qu'il ne pense qu'à lui offrir des trésors en bijoux et toilettes... Elle est si belle qu'un aristocrate Vénitien, un certain Michaël Sténo, tombe amoureux d'elle et tente d'en faire sa maîtresse. Mais Annunziata est fidèle... de plus, Marino Falieri s'en aperçoit et, pour éviter de devenir cocu, décide de séquestrer sa très jeune épouse... Toutefois, en tant que Dogaresse, Annunziata doit paraître devant la population. Et c'est pour l'une d'elle, que le Doge la fait revenir de sa résidence de campagne et qu'Antonio s'aperçoit, à son grand désespoir que la Dogaresse est la fillette devenue grande et qu'il n'a jamais oubliée car il est toujours amoureux d'elle.
Devant la douleur que ressent Antonio, la vieille femme, qu'Antonio n'a pas encore reconnue comme étant sa nourrice, décide de l'aider à revoir sa dulcinée, mais impatient, il décide de prendre les devants. Alors qu'il se promène le long des quais, il rencontre un de ses amis, Pietro, qui a été engagé pour le spectacle de la nuit suivante où il doit donner un bouquet de fleurs à la Dogaresse après avoir traversé le Grand Canal tel un funambule, sur une corde, alors qu'est tiré un grandiose feu d'artifice qu'il doit traverser. Pour cette mission dangereuse, Pietro ne touche que 3 sequins et Antonio lui en propose 10 si Pietro lui laisse sa place... Pietro accepte et Antonio, ravi, atteint la place où se trouve sa belle, lui tend le bouquet de fleur, l'appelle par son nom et lui baise la main... mais il ne peut aller plus loin dans la conversation : il doit repartir aussitôt... Toutefois, ça y est, Annunziata l'a reconnu mais ne dit rien...
Quelques jours après, la vieille nourrice d'Antonio apprend qu'Annunziata s'est fait piquer par un scorpion et que son médecin ne parvient pas à la guérir. Alors elle se propose et le Doge, fort amoureux de son épouse, accepte qu'elle la soigne. Quelques jours après, la Dogaresse s'est parfaitement remise de sa piqûre et la vieille nourrice lui parle alors d'Antonio. Annunziata est ravie d'apprendre qu'il souhaite la voir à nouveau et demande à la vieille nourrice de lui amener Antonio. Mais la chose est si compliquée... qu'Antonio, ne pouvant plus attendre... alors qu'il se promène, il croise son ami Pietro qui, ravi d'être le gondolier personnel du Doge, accepte d'aider Antonio à revoir la Dogaresse, et, en tant qu'aide-gondolier, il le présente, déguisé, au Doge et à son épouse.
Suite à cette nouvelle rencontre, Annunziata demande à la nourrice d'avertir Antonio qu'il doit quitter d'urgence Venise car elle craint qu'il ne lui arrive malheur...
Pendant ce temps, Antonio est contacté par Bodoeri et prend part à la révolte des aristocrates contre le Doge, un peu forcé et contraint par son père adoptif, de retour à Venise après avoir été le prisonnier des Maures (alors qu'on le croyait décédé en mer).
Mais voilà, la révolte est découverte, et tous les participants sont arrêtés et condamnés à mort, sauf Antonio dont on ignorait la participation. Devant ce fait, le Conseil des Dix condamne le Doge à mort...
Antonio, craignant pour sa belle, la libère et ils s'enfuient tout deux dans une barque qui... sombre...
Les amants meurent...

C'est ainsi qu'est narrée l'histoire en allemand, sans oublié, bien sûr que ce conte étant dans le recueil Serapions-Brüder (Les Frères Sérapion), elle est introduite par une visite de l'exposition de peinture qui eut lieu à Berlin au printemps 1816, où l'auteur remarqua une gravure de Carl Wilhelm Kolbe, ci-dessous, Le Doge et la Dogaresse, et décida d'en faire la base de conte...


Et il termine sur quelques mots de transition de deux des frères Serapion ;)...

Maintenant que j'ai terminé le résumé, voici le lien pour accéder au conte dans sa globalité :


+


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Langues : Français & Allemand

Maintenant, pourquoi 2 versions ? Pourquoi ai-je résumé à partir de la version originale et non pas présenté ce conte, comme d'habitude ?
Quand j'ai cherché la version française des contes écrits par ETA Hoffman, on m'a dit qu'il n'y en avait pas de meilleure version que celles traduites par François-Adolphe LOEVE-VEIMARS... Il est vrai, quand on ne connaît pas la version originale, on ne s'aperçoit pas qu'il manque des détails, qui rendent la lecture plus intéressante / alléchante ; de plus, à la lecture du nom, on ne peut que se douter de l'origine germanique du traducteur... mais voilà, ce qui fait cette force, fait aussi sa faiblesse par rapport à un traducteur d'origine française : il sait parfaitement l'allemand, il parvient à mettre sur le papier l'idée directrice du texte original mais il fait, en français, de nombreuse erreur de traduction (par exemple il oublie le mot "escalier" qu'il transpose par "degrés"...), en tant que Français, on comprend mais on sait aussi que ce n'est pas parfait... de plus, il a du faire corriger par un Français qui ignore tout de l'allemand, résultat on s'aperçoit des passages "corrigés" où, d'un coup d'un seul, on adopte la présentation "à la française" du dialogue... mais hélas, quelqu'un depuis a dû intervenir et a voulu apporter quelques "corrections" à sa manière dans la présentation et la ponctuation, résultat, en supprimant toutes les marques de ponctuation "à l'allemande" que le traducteur a dû laisser, il n'a pas adapté la dite ponctuation et la présentatioon "à la française" => certains passages devenant incompréhensibles, il a fallu que je remette la ponctuation à la germanique (à l'aide du texte original) pour rendre le dit texte et compréhensible et plus facile à comprendre... Bon, toutefois je ne me suis pas permise de "rectifier" les fautes de syntaxe qu'un Allemand fait en français ni ses fautes de vocabulaire...
J'ai donc opté, cette fois-ci, d'ajouter une autre traduction, celle d'un Français, Henry EGMONT, qui lui, question français, c'est bon mais qui, parfois, se perd dans les détails... bon, pour ceux qui ignorent l'allemand, cette version française est plus digeste que celle proposée par François-Adolphe Loeve-Veimars ; pour ceux qui sont à l'aise avec la langue de Goethe et de Schiller, préférez la version originale ;) ! vous constaterez, au cas où vous ne vous en êtes pas encore aperçu, que c'est plus digeste, plus stimulant en allemand qu'en français ;)... comme tous les textes qu'on sait lire dans leur version originale...

Sur ce, bonne lecture !

Bisous,
@+
Sab

14 juin 2024

Guy de Maupassant : Au Printemps

Ah que coucou !

Avec le retour du printemps revient la saison des amours. Ici Guy de Maupassant met en garde son lecteur car, ces jours-là, on devient tous "idiot" ;D. La preuve ? Lisez la nouvelle suivante :


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Langue : Français

Bonne lecture !

Bisous,
@+
Sab

12 juin 2024

Alphonse Allais : Comfort

Ah que coucou !

Cette histoire n'est décidément pas très morale... mais peut-être est-ce parce qu'elle a été écrite en à la fin du XIXe siècle, au temps où les Français et les Anglais ne s'appréciaient pas encore ???

Il s'agit d'un court séjour dans la capitale anglaise... le narrateur adore faire le tour des pubs où il boit beaucoup de boissons alcoolisées. Un jour, il avait tellement bu qu'il était soûl et parce qu'il avait envie de renvoyer le "trop plein", il décida de se rendre dans une pharmacie et...

Et quoi ? Je suis d'accord avec le narrateur : ce n'était pas gentil ce que vous lirez là :
 

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Langue : Français (avec quelques mots en anglais)
 
Espérons pour la bonne entente franco-anglaise, qu'il s'agit là bien là d'une fiction...

Bonne lecture !

Bisous,
@+
Sab

10 juin 2024

Maurice Leblanc : Chaussette

Ah que coucou !

Chaussette est une fille de joie dont l'oncle, chanoine à la cathédrale de Rouen, vient de lui léguer quelques rentes. De ce fait, pour le remercier, Chaussette porte le deuil mais elle s'aperçoit qu'en étant en deuil, cela lui faisait faire des économies, de toilettes par exemple, de plus, elle se trouvait plus belle, habillée en noir. Mais voilà, le deuil se terminant, elle voulut le prolonger mais... on se moquait d'elle... elle décida donc de "s'inventer" des décès dans sa famille...

Mais voilà, mentir n'a jamais été une solution et quand sa mère qu'elle chérit meurt il advint que...

Ben... à vous de le découvrir en lisant la nouvelle suivante :


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Langue : Français

Bonne lecture !

Bisous,
@+
Sab

8 juin 2024

E.T.A. Hoffmann [Les Contes Fantastiques] : Sanctus (Das Sanctus)

Ah que coucou !
 
Bettina, la choriste préférée du Maître de Chapelle n'a plus de voix depuis qu'elle a attrapé froid après la messe. Le docteur en perd son latin ; il ne sait plus quoi faire pour la guérir ; il soupçonne même que sa maladie est plus psychologique que physique...
Un étranger, ayant entendu le diagnostique du médecin intervient alors et leur propose de leur narrer une histoire et... et, Bettina, curieuse, s'est levée, est restée dans la pièce voisine et a écouté et... et quoi ?

Vous le saurez en lisant le conte suivant :


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Bonne lecture !

Bisous,
@+
Sab

6 juin 2024

Heinrich Zschokke [Contes Fantastiques d'ETA Hoffmann] : La Nuit du Sabbat (die Walpurgisnacht)

Ah que coucou !

Oui, nous sommes toujours dans la série des Contes Fantastiques d'E.T.A. Hoffmann ;) malgré que voici un autre auteur allemand (que je connais très très peu), dont la nouvelle du jour s'est retrouvée sûrement accidentellement à être publiée parmi toutes celles d'ETA Hoffmann... Depuis le temps, on aurait pu croire que les éditions récentes aient corrigé... mais il semblerait que : non ! Cette nouvelle, où qu'on regarde, est éditée, en France, sous le nom d'ETA Hoffmann alors qu'elle a été écrite par Heinrich Zschokke ou aussi nommés : Johann von Magdeburg, ou L. Weber... de quoi faire sourire nos cousins germains ;D...

Le narrateur, ayant séjourné à Prague pour ses affaires, au moment de partir, s'aperçoit qu'il a perdu ou qu'on lui a volé son portefeuille. Sur cette entrefaite, se présente un homme étrange, vêtu de rouge et boitant. Le narrateur, ayant affirmé juste avant, qu'il serait prêt à vendre son âme au diable s'il lui rapportait son portefeuille, ne put s'empêcher de faire coïncider cette image de l'homme avec celle du diable qu'il invoquait quelques minutes avant... mais cet homme, issu d'une des plus anciennes familles aristocratiques, les Mannteufel (Homme-diable) n'est venu que pour lui rendre son porte-feuille et ne lui demande rien en échange, et, même au contraire, il lui propose son aide... Le narrateur le remercie malgré qu'il soit intrigué par le fait que cet homme habillé de rouge connaisse tant de chose à son sujet...

Alors qu'il arrive enfin chez lui (après 3 jours de voyage) et qu'il cherche à dormir dans un de ses pavillons qui se trouvent dans son jardin pour éviter de réveiller sa femme et ses enfants, L'homme habillé de rouge vient le réveiller et...

et c'est à partir de ce moment que commence son ENFER ;) !

L'homme habillé de rouge est-il donc réellement le diable, venu prendre l'âme du narrateur ?

Vous le saurez en lisant le conte suivant :


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Langues : Français & Allemand

Bonne lecture !

Bisous,
@+
Sab

4 juin 2024

Honoré de Balzac : L'Embuscade

Ah que coucou !

Aujourd'hui Honoré de Balzac nous mène au Moyen-Age, au commencement des armes à feu, au moment où l'on utilisait des tromblons... ceci dit, là, notre Balzac national, n'a pas du se renseigner car, les tromblons, c'est à partir du XVIIIe siècle ;)... bon, comme on dit "errare humanum est", notre Balzac bien-aimé a, lui aussi, le droit à l'erreur...

Donc voilà les 2 personnages de cette nouvelles, Bertrand et Macaire, qui sortent hors de la ville malgré le danger, ils sont armés de tromblons... et se mettent en embuscade.

A l'heure où arrive leur "victime", Macaire fait feu et on s'aperçoit qu'il a tué un vieil homme. Mais quand il s'approche de lui, il découvre que le mort n'est autre que...

Qui ?

Venez le découvrir en lisant la nouvelle suivante :


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Bonne lecture !

Bisous,
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Sab

2 juin 2024

Maurice Leblanc : Pasquarella

Ah que coucou !

Pasquarella est une jeune Italienne habitant l'île de Capri avec son grand-père, aveugle, un ancien bandit.
Pour gagner de l'argent, elle sert de modèle aux peintres...
Le narrateur ici, tant qu'il séjourne à Capri, veut lui venir en aide et, tous les jours, lui fait l'aumône en lui offrant une pièce d'argent que son grand-père s'empresse à lui prendre.

Pendant quelques temps il s'en va de Capri et, quand il revient, il croisse l'aveugle tirant une charrette sur laquelle Pasquarella est installée et semble avoir perdu ses jambes !

Révolté par l'infortune de la jeune fille, il continue ses aumônes et un jour, alors qu'il discute avec un de ses amis parisiens, il apprend dans quelle circonstance la malheureuse a perdu ses jambes...

Plus d'information ? lisez la nouvelle suivante :


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Bonne lecture !

Bisous,
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Sab