Ah que coucou !
En me remémorant ce que je viens de lire afin de pouvoir élaborer ce billet, un mot me vient à l'esprit : "perplexité". Oui, cet article me laisse perplexe... l'aurais-je mal compris ??? ou bien Zola n'a pas trouvé de tragédies pour illustrer cet exemple spécifique au pro-naturalisme au théâtre ? Oui, il fait ici la critique de 2 tragédies. La première Rome vaincue écrite par Alexandre Parodi. La seconde Sparticus écrite par Georges Talray (titre sur l'édition de 1874 Les Gladiateurs)... Autant Zola semble emballé par Rome vaincue, autant il semble beaucoup moins satisfait par Spartacus... et ni l'une ni l'autre ne semble faire partie du répertoire naturaliste... alors pourquoi le maître les a-t-il mises là ? qu'a-t-il voulu nous enseigner à l'aide de ses 2 exemples ?
accessible au téléchargement en cliquant ici
Format : pdf
Langue : Français
On pourrait croire, si on n'avait pas lu le dit e-book, que Zola veut expliquer, ici, ce qu'il ne fallait pas faire si on voulait promouvoir le naturalisme au théâtre... or il a glorifié ce qu'il a qualifié lui-même de drame romantique (Rome vaincue)... or nous savons quelles étaient ses opinions sur le courant romantique... donc... ;)
Si vous trouvez la réponse, n'hésitez surtout pas à nous en faire part !
Bonne lecture !
Bisous,
@+
Sab
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