23 janvier 2018

Tolstoï [Contes et Fables] : Le Mouvement perpétuel

Ah que coucou !

Devinez à qui j'ai tout de suite pensé en lisant le titre ;) mdrrr !! bon, passons...

Tolstoï nous narre là une petite mésaventure qui est arrivée à un moujik qui voulut construire un moulin qui n'utiliserait ni eau, ni cheval - automatiquement, dans ce cas-là on pense tout de suite au vent. Toutefois ce n'est nullement ce à quoi il pense... pour lui il faut utiliser des roues crantées et une lourde pierre... et la pierre entraînant les roues et les roues entraînant la pierre, il estime que ce mouvement ne pourra jamais s'arrêter. Mais voilà, avoir des idées, dans la vie (même dans la Russie tsariste), ça ne suffit pas ; il faut avoir aussi des moyens financiers. Donc, comme tous les moujiks, dans un tel cas, il va trouver le seigneur le plus proche pour lui demander de l'argent qu'il lui rendra en lui donnant le premier moulin qu'il aura construit ainsi... Mais voilà, le dit-barine (seigneur) a quelques connaissances en mécanique et comprend très vite que le moujik poursuit une chimère... de ce fait il refuse de prêter les 300 roubles demandés par le moujik en lui conseillant d'abandonner son idée car après lecture des résultats des tentatives précédentes on s'aperçoit que cela est impossible (livres qu'il lui aurait bien fournis si le moujik avait su lire). Mais voilà, le moujik estime que les livres racontent des bêtises et part trouver un marchand pour lui demander cet emprunt refusé par le barine... le marchand, ayant, lui, aucune connaissance en mécanique, accepte de prêter les 300 roubles au moujik en échange du premier moulin construit ainsi... et ? et ? le marchand et le moujik ont-ils fait une bonne affaire ? Eh bien vous le saurez en lisant ce texte court (dans une des langues proposées) :


accessible à la lecture / téléchargement en cliquant ici
Format : pdf
Langues : Français et Russe

Bonne lecture !

Bisous,
@+
Sab

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