23 avril 2024

Agatha Christie [Mr Quinn en voyage] : Le Bout du Monde

Ah que coucou !

Mr Satterthwaite se retrouve, contre son gré, en Corse. Oui, il avait prévu de passer quelques jours du côté de Cannes mais là, il a rencontré la duchesse Leith, et à la duchesse, lui, encore moins qu'un autre, ne peut dire "non"... résultat, lui qui adore le confort et aurait, au moins, préféré rejoindre l'Île de la Beauté par avion, se voit contraint de faire la traversée en bateau (par soucis d'économie car Mme la duchesse est "la plus grande avare de toute l'Angleterre" lui déclarera, plus tard, une de ses cousines) dans des conditions telles qu'il n'a pu avaler un morceau pour se nourrir... et à l'arrivée ! l'hôtel dans lequel la duchesse leur a fait prendre une chambre ! Lui qui aurait aimé prendre un bain... ben, dans sa chambre : pas de baignoire...
Dans cet hôtel ils rencontrent une des cousines de la duchesse : Naomi Carlton Smith une jeune femme, artiste prometteuse, sans le sou, ex-fiancée de l'écrivain Alec Gérard, actuellement en train de purger une peine de prison pour vol... oui, il a été jugé l'année passée suite de la disparition de l'opale de la célèbre actrice Rosina Nun...
Le lendemain de leur rencontre, la duchesse voulant partir en excursion en voiture (dans la voiture de sa cousine : un vieux tacot sans suspension qui peine à grimper les cotes), cette voiture étant à 2 places et Naomi ayant réussi à faire comprendre à la duchesse qu'elle n'acceptait pas de prendre des passagers avec elle ; la duchesse décide de faire la connaissance de Mr Judd, un juge à la retraite, indien, qui a le mérite de posséder une voiture 4 places ;)... bon, il est décidé, que Naomi, étant la plus ancienne dans l'île, serait leur guide et elle les mène dans un endroit dont le paysage est splendide : un petit coin où s'arrête la route : Le Bout du Monde... et alors qu'ils se préparent, tous les quatre, à se restaurer, il trouve en train d'admirer le beau paysage : Mr Quinn ! qui, parce qu'il se met à neiger, les guide vers une auberge... et là ils rencontrent Rosina Nun et son mari !! et...

La suite ? Je vous laisse la découvrir dans l'e-book suivant :


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Langue : Français

Bonne lecture !

Bisous,
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Sab

21 avril 2024

Denis Diderot : Supplément au Voyage de Bougainville

Ah que coucou !

Cela faisait un moment qu'on nous n'avions pas lu d’œuvres de Denis Diderot... et bien aujourd'hui je vous propose l'une de ses œuvres les plus connues : Supplément au Voyage de Bougainville.

Source : BnF


En 1771, Louis Antoine de Bougainville a fait éditer son journal quand il naviguait sur la Boudeuse (de 1766 à 1769) sous le titre de Voyage autour du Monde en 2 tomes. Parmi ces récits de voyage, Diderot a retenu, pour Supplément au Voyage de Bougainville les "aventures" dans l'île de Tahiti et a estimé que cela méritait un "supplément".

Les mœurs des Tahitiens (qu'on nommait à cette époque les Otahitiens) sont très différentes des nôtres et Bougainville les a fortes décrites... il a même ramené en France un Otahitien qui a fort choqué certaines personnes car il se comportait tel qu'il fallait le faire dans son pays. Evidemment cela n'a pas passé inaperçu et dans son Supplément au Voyage de Bougainville (édité pour la première fois en 1776) Diderot fait appel à notre tolérance, à notre compréhension. Car nous, qui nous autoproclamons "civilisés" et qui voulons imposer notre culture et nos mœurs aux populations que nous qualifions de "non-civilisées", de "sauvage", sommes censés être suffisamment intelligents pour comprendre qu'un comportement différent du nôtre n'est pas dû à un manque d'intelligence chez celui que nous qualifions de "sauvage", mais à une différence culturelle et que tant que les autres cultures tolèrent la nôtre et tentent de la connaître il faut que nous, en échange, nous faisions de même avec la leur, que nous l'acceptions et que nous apprenions à la connaître. Il ne faut pas imposer notre culture et nos mœurs tout comme les "sauvages" n'ont pas à nous imposer leur culture et leurs mœurs : c'est ce qui s'appelle "tolérance".

Parmi les sujets qui choquent nos ancêtres "puritains", il y a la sexualité. Dans la civilisation tahitienne, la sexualité n'est pas un sujet tabou comme c'est encore le cas chez nombreux de nos concitoyens, encore aujourd'hui... ils donnent aussi une autre définition au "mariage". Il y a un sentiment religieux aussi chez eux, mais pas comme chez nous où, contrairement à eux, notre religion nous impose des interdits...

Bref, Diderot nous demande ici de réfléchir sur ce que nous sommes pour ne pas juger mal qui ils sont...


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Bonne lecture !

Bisous,
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Sab

19 avril 2024

Honoré de Balzac : Un Lendemain

Ah que coucou !
 
Cela vous est-il déjà arrivé d'avoir lu une nouvelle, de l'avoir trouvée très belle, mais de ne savoir comment en parler ???? Eh bien, c'est ce qui m'arrive avec la nouvelle suivante de notre Balzac national :
 

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Langue : Français
 
Elle me laisse : sans voix ! Pourquoi ? parce qu'il parle là de sentiment et uniquement de sentiment et d'une façon... WAOOOO !!
Mais le mieux est que vous vous en rendiez compte par vous-même...

Bonne lecture !

Bisous,
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Sab

17 avril 2024

Maurice Leblanc [Ceux qui souffrent] : Le Consolateur !

Ah que coucou !

Avec cette nouvelle Maurice Leblanc conclue la série : Ceux qui souffrent.

De nombreuses personnes souffrent soit physiquement, soit financièrement, soit psychologiquement... comment peut-on d'abord les aider ? En les écoutant et en les consolant comme le prescrit Maurice Leblanc. C'est là qu'intervient le "Consolateur" ou l'"Apitoyé"...

Mais laissons Maurice Leblanc expliquer ce qu'il entend par là, il le fait bien mieux que personne ;) :


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Bonne lecture !

Bisous,
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Sab


15 avril 2024

Agatha Christie [Mr Quinn en voyage] : L'Oiseau à l'aile brisée

Ah que coucou !

Mr Satterthwaite est appelé par Mr Quinn à séjourner à Laidell, dans la demeure de la famille Keely. Là, Madge, la fille de la maison, lui apprend qu'elle est heureuse car elle va épouser Richard Graham, un garçon qu'elle connait depuis son enfance...
Mais voilà que le lendemain matin on découvre le cadavre d'une des invitées, Mme Annesley, pendue dans sa chambre. Suicide ? Meurtre ?
Alors qu'on estime qu'il s'agit d'un suicide, Mr Satterthwaite, lui, affirme qu'il s'agit d'un meurtre déguisé en suicide... Pourquoi ? Eh bien vous le saurez en lisant la nouvelle suivante :


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Langue : Français

Bonne lecture !

Bisous,
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Sab

13 avril 2024

Fyodor Mikahilovitch DOSTOÏEVSKI : Le Bouffon et/ou Monsieur Polzounkof / Ползунков

Ah que coucou !
 
Oui, Ползунков (Polzounkov) a ici 2 traductions qui ne sont malheureusement pas parfaite mais qui, ensembles, permettent de mieux saisir le texte original... de plus, je ne savais laquelle choisir ;o... donc 4 traducteurs (2 + 2) pour 1 texte en russe, assez marrant et donc, difficile à traduire... mais bon, Dostoïevski est un spécialiste pour nous donner des textes difficiles à traduire ;)...
 
Plozounkov est un ancien fonctionnaire, qui aime rire et faire rire de ses mésaventures. Et là il nous narre la mésaventure de son "failli" mariage avec la fille de son chef de bureau chez qui il est reçu comme un membre de la famille et qu'il a fait chanter la veille d'un 1er avril...
 
Assez cocasse l'histoire que vous découvrirez dans la nouvelle suivante :
 

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Langue : Français & Russe
 
Bonne lecture !

Bisous,
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Sab

11 avril 2024

Maurice Leblanc [Ceux qui souffrent] : La pitié

Ah que coucou !

Imaginez !
Imaginez qu'un être que vous aimez depuis votre enfance souffre atrocement et cherche à vous dissimuler sa douleur en tentant de rire avec vous ! Imaginez que cette souffrance s'accentue avec le temps ! Imaginez qu'on vous conseille, pour atténuer ses souffrances, de l'épouser ! Que feriez-vous ?

Ici le narrateur l'épouse. Mais voilà, au fil du temps même lui il supporte de moins en moins toutes ses manifestations de douleur et finit par... après avoir tenté de...

Je vous laisse découvrir le dernier mot de la nouvelle suivante :


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Langue : Français

Bonne lecture !

Bisous,
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Sab


9 avril 2024

Agatha Christie [Mr Quinn en voyage] : Bal masqué

Ah que coucou !

Mr Satterthwaite, grand fan de peinture, visite l'exposition donnée à Harchester Galleries par un jeune peintre, promis à un bel avenir : Mr Bristow. Là il y découvre un tableau qui l'intrigue : un Arlequin, mort, étendu sur le carrelage de la véranda de la demeure de Charnley (réputée être hantée et dans laquelle le dernier des Charnley en titre s'est suicidé 14 ans plus tôt). De plus, il croit reconnaître, dans le second Arlequin qui regarde par la fenêtre celui qui est mort, son ami Mr Quinn... Il décide alors d'acheter le dit-tableau et demande au vendeur de faire la connaissance de l'artiste. Justement, celui-ci arrive ; et de fort mauvaise grâce il décide d'accepter l'invitation pour le soir même...

Ce soir-là sont présents chez Mr Satterthwaite, un de ses amis présent lorsque Lord Charnley s'est suicidé dans la bibliothèque, Mr Bristow et doit arriver Mr Quinn, qui se laisse attendre...

Mr Satterthwaite est très impatient de comprendre comment et pourquoi Mr Bristow a peint "l'Arlequin mort"... mais la discussion est interrompu par l'arrivée inopinée de "la Femme à l'écharpe" (telle qu'on l'appelle au théâtre), une comédienne qui a beaucoup de succès. Et celle-ci fait une demande étrange à Mr Satterthwaite : de lui revendre le tableau "l'Arlequin mort" quand le téléphone sonne et qu'il entend une vieille amie qu'il n'avait pas revue depuis 14 ans : Lady Charnley qui, elle aussi, lui demande de lui revendre le dit-tableau.

Mr Satterthwaite estime alors intéressant de faire la faire venir et...

La suite ? vous la saurez en lisant la nouvelle suivante :

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Bonne lecture !

Bisous,
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Sab

7 avril 2024

Louis Pergaud : La Guerre des Boutons

Ah que coucou !

La Guerre des Boutons sous-titrée : "Le roman de mes douze ans" est l'histoire de gosses, élevés à la campagne, devant aller autant à l'école qu'à l'église. Il s'agit là d'une histoire "entre copains", utilisant leur propre vocabulaire avec leur faute de prononciation et de d'orthographe, jouant à la guerre contre ceux de leur âge du village à côté, qui construisent des cabanes... bref, l'histoire de mômes ayant leurs soucis d'enfants ;)...

A ma connaissance 2 adaptations ont été faites pour le cinéma. La première en 1962 et la seconde en 2011.
Cette dernière adaptation que j'ai regardée il n'y a pas longtemps m'ayant fort déçue, j'ai décidé de me replonger dans le roman que voici :


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Lebrac, le chef de la clique (aussi surnommé "le général"), ses lieutenants : Camus, La Crique, Grangibus, Tintin et ses soldats, dont Tigibus, Bacaillé, Gambette, Boulot, pour ceux dont on parle le plus, forment l'armée de Longeverne, village franc-comtois au début du XXe siècle, qui guerroie depuis des générations l'armée de Velran, un des village voisins, dirigée par Aztec des Guès... qui dit guerre entre enfants parlent de "frondes", d'épées / sabres, de triques... et quand on fait des prisonniers, on ne les garde naturellement pas, mais on leur enlève tous leurs boutons, lacets, bretelles, et parce que les chaussettes à cette époque-là sont tricotées à la main, les enfants des familles les plus aisées portaient des porte-jarretières pour les faire tenir. Le but finit donc par être : si on est fait prisonnier, il ne faut pas que papa et maman s'en aperçoivent, il faut donc se mettre à la couture et remettre en place ce qui a été pris. Evidemment ceux ne sont ni les Longeverne ni les Velrans qui vont rendre les boutons, etc. prit à l'adversaire... il faut donc avoir ses propres réserves, et c'est ainsi que les enfants se trouvent imposables d'un sou à verser tous les mois. Evidemment, un sou, c'est beaucoup trop pour nombreux d'entre eux, alors Lebrac décide de leur expliquer quels stratèges ils peuvent utiliser pour avoir un sou à mettre dans la cagnotte tous les mois. Cette cagnotte est confié à un trésorier, et qui mieux que Tintin peut s'en charger - surtout que sa sœur Marie, l'amoureuse de Lebrac, a proposé aux troupes de recoudre les boutons et de leur confectionner un sac (style sac pour les billes) pour y mettre leur mercerie... Mais dans cette France rurale, il n'est pas facile pour des garçons d'aller acheter ce style de fourniture : ils ne savent pas trop bien le prix et en plus, la marchande a tendance à poser trop de questions tellement cela est inaccoutumé et hors-normes ; alors on demande à Marie de s'en charger et c'est ainsi qu'elle revient avec 33 sous de marchandise sans avoir éveillé la méfiance de la marchande.
Mais le problème est que le maître, Mr Simon, s'aperçoit que Tintin a dans ses poches de nombreux boutons et l'explication que Tintin lui donne le fait douter de l'honnêteté de Tintin qu'il accuse de les avoir volés à sa mère. En prévenant ses parents, Tintin, en rentrant, se fait gronder... et finit par craquer, le lendemain il avertit Lebrac qu'il ne veut plus être le gardien du "trésor", qui, en plus, l'empêche de participer à la guerre.
C'est comme ça que nait l'idée d'une cabane et...

La suite ? venez la découvrir dans le roman !
Bonne lecture !

Certains peuvent penser qu'il est plus facile de regarder une des versions qui ont été faites pour le cinéma... Eh bien sachez que ni l'une ni l'autre n'en est son miroir. Certes il y a bien dans chacune les enfants "principaux" mais, dans la version de 1962 l'action se situe après la seconde guerre mondiale, on y trouve un "tracteur", une mule têtue, un Lebrac fugueur, un Lebrac puni en devant aller à l'internat où il y retrouve Aztec des Gués... ainsi que beaucoup d'histoire non contées dans le roman... dans la version 2011, on a l'impression qu'ils ont utilisé la version de 1962 pour en créer une autre, plus moderne en loupant le fait que la majorité des enfants, aujourd'hui, jouent plus à l'intérieur qu'à l'extérieur et que les parents hésitent à laisser leurs enfants aller jouer seul avec d'autres enfants... de ce fait, cette version 2011 m'a énormément déçue... c'est pour cela que je vous propose que vous compariez le roman et la version au cinéma avec celle que je préfère (malgré qu'on y retrouve quasi rien du roman ;)) de 1962.



Bisous,
@+
Sab

5 avril 2024

Maurice Leblanc [Ceux qui souffrent] : Abraham Chien

Ah que coucou !

Voici un homme qui a souffert toute sa vie de son patronyme...

Un patronyme difficile à porter, tous ceux qui en ont un, savent qu'on apprend dès la Maternelle à le défendre, sinon, ben... la vie devient comme pour ce pauvre Abraham Chien, difficile à vivre (psychologiquement parlant car les gens, surtout ceux qui s'auto-proclament "intelligents", se moquent ouvertement d'un patronyme quand ils savent que la personne ne le défend pas). Et comment le défend-on ? simplement en "retournant" la blague contre la personne qui s'est crue drôle à la dire ;)... eh oui... c'est généralement à ce moment-là que la dite personne s'aperçoit qu'elle aussi a un patronyme qui fait rire et... même... avec l'habitude on lui prouve que le sien est bien plus ridicule que le nôtre ;) (pour ceux qui veulent savoir comment faire pour se défendre ;)).

Ceci dit, revenons à nos moutons !

Donc Abraham Chien, même au collège, laisse même ses profs rire de son nom de famille car il estime que c'est une habitude scolaire d'être si puérils et qu'une fois de retour dans sa ville natale, où les Chien sont connus, il ne subira jamais plus ces moqueries. Mais voilà, non seulement ces concitoyens (au départ, par jalousie) rient de son nom de famille mais aussi de son prénom où là les moqueries deviennent racistes.
Là il fait la même erreur qu'il a faite au collège il ne défend pas son patronyme mais tente de démontrer qu'il n'est pas comme on prétend qu'il est. Et les "blagues" deviennent alors de plus en plus méchantes jusqu'au même le jour de sa mort où on l'accuse d'être devenu "fou"...

La vérité le concernant ? vous la découvrirez dans la nouvelle suivante :


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Langue : Français

Bonne lecture !

Bisous,
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Sab