Ah que coucou !
Trop nombreux sont ceux et celles qui pensent que l'argent rend heureux - sans se soucier un seul instant qu'avoir un tel capital signifie aussi avoir des soucis et parfois nous pourrions nous demander que plus gros est le capital cela ne rime pas avec "plus gros sont les soucis / ennuis"... oui, car qui dit "capital" dit aussi "obligation"... obligation de veiller dessus (ici Tolstoï ne propose que deux causes de la dite surveillance)... obligation de fréquenter certaines personnes, certains lieux où l'on peut se sentir étouffer tellement nous ne nous y sentons pas bien... obligations de répondre, financièrement parlant, aux invitations, etc. et ne parlons pas non plus, du nombre de jaloux qui transitent dans notre environnement, ne parlons pas non plus de l'augmentation exponentielle des pique-assiettes qui nous trouvent, d'un coup d'un seul, sympa, aimable, intéressant, personne avec qui on aime passer beaucoup de temps, etc. etc. etc.
Bref, c'est tout ce monde-là que découvre le héros de l'histoire suivante :
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Format : pdf
Langue : Français
Timopheïtch est un passeur qui a du mal à joindre les deux bouts. Un jour il apprend qu'il hérite d'une véritable fortune d'un de ses oncles de Rostov, dont il ne se souvient plus. Il se rend donc à Rostov pour toucher son héritage... mais voilà... le dit-héritage n'est pas dans une forme transportable, elle est "dispatchée" en prêts, en avance, en produit, en emprunteur indélicats à qui il faut faire des procès pour récupérer l'argent prêté, etc. Ceci ne serait trop rien, si, de plus, il ne lui fallait pas fréquenter certains indélicats qui courent derrière lui à cause de sa fortune... bref, il commence à s'apercevoir qu'être riche, ce n'est pas aussi "reposant" qu'il le croyait... et c'est une fois qu'il... et bien, je laisse Tolstoï vous l'expliquer ;)...
Bonne lecture !
Bisous,
@+
Sab
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