30 novembre 2010

Pendant mes recherches généalogiques...

Ah que coucou !
 
Et oui, j’en fais de nombreuses des découvertes sur notre histoire de France… Et le nombre de mes découvertes dépendent aussi de ce que le responsable écrivait dans ses registres. En effet, dans les débuts on s’aperçoit que les individus étaient plus répertoriés tel que nous répertorions le bétail. On peut y lire, par exemple : « François Franck a été baptisé ce jour » ou encore plus simplement « 15 octobre ai baptisé » + liste des prénoms et noms. Pour les mariages, dans les actes les plus anciens que j’ai trouvés nous lisons par exemple : « François Franck et Françoise Durand ont épousé ce jour ».
 
Fin XVIIe siècle les us en matière d’acte commencent à généraliser l’introduction de l’identité des parents et des parrains et marraines pour arriver au XVIIIe siècle aux actes complets où l’identité complète des intervenants est décrite.
 
Dans cette nouvelle rubrique : « Généalogie » j’espère faire grandir votre intérêt dans ce qui touche nos ancêtres: les Français et vous faire rentrer dans la petite histoire de France telle que nos manuels d’histoire ne nous la montre pas.
Je souhaite que mes petites connaissances historiques et littéraires réussissent à agrémenter votre voyage dans le XVIe siècle jusqu’à nos jours dans les archives sauvegardées par nos prédécesseurs.
 
Pour la compréhension de mon blog, je signale que pour moi, la consultation des archives et la généalogie font aussi partie de l’actualité…
 
Bisous
@+
Sab

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22 novembre 2010

Demande de référendum : Plus de 280.000 signatures

Ah que coucou !
 
Le journal Politis.fr (qui se définit « apolitique » hm! hm!) a lancé il y a quelques semaines une pétition pour demander un référendum sur la réforme de la retraite. A l’heure d’aujourd’hui ils en sont déjà à plus de 280.000 signatures (pour que leur projet aboutisse il leur en faut plus de 4 millions).
 
Vouloir grignoter pour une retraite avant tout le monde est naturel. Vouloir travailler moins et gagner plus, est l’idéal. Croire au Père Noël, même si ce n’est plus de notre âge, c’est autorisé…
 
Je risque de m’attirer les foudres de ces plus de 280.000 personnes, mais moi je suis contre à 100%. Je suis contre la retraite à 60 ans quand la population vieillit car demain : qui payera les retraites s’il y a plus de retraités que d’actifs ? Contre la retraite à 60 ans, vous n’avez qu’à regarder la pyramide des âges pour la France que vous pouvez voir sous le lien suivant :
 
 
Construit à base des données de l’INSEE dont voici ci-dessous, le tableau récapitulatif :
 
Pyramide des âges au 1er janvier 2010      
Mis à jour : janvier 2010        
Champ : France.          
Source : Insee, estimations de population (résultats provisoires arrêtés fin 2009).
           
  Ensemble Hommes Femmes    
Population totale 64 667 374 31 306 779 33 360 595    
Moins de 20 ans 15 942 895 8 153 166 7 789 729    
de 20 à 64 ans 37 962 562 18 712 800 19 249 762    
65 ans ou plus 10 761 917 4 440 813 6 321 104    
 
 
Dans cette pyramide vous pouvez constater le baby-boom survenu après la 2nde guerre mondiale dont les aînés ont 60 ans aujourd’hui… Comme vous le constatez le nombre des retraités ne va pas diminuer avant ceux dont l’année de naissance est 1975 ! Alors question : qui va payer pour toutes ces personnes quand on constate la chute des naissances après 1975 ? Voulez-vous supprimer la retraite à tous les français en exigeant qu’elle soit donnée aujourd’hui à 60 ans ? Ou voulez-vous baisser les revenus de tous les retraités? Ou voulez-vous supprimer le fruit du travail à tous les français nés après 1975 ? Voici la raison primordiale pour laquelle je suis contre la retraite à 60 ans et contre aller signer cette pétition. Car si aujourd’hui l’état actuel de la France exige que nous travaillions jusque 65 ans, je préfère avoir une retraite à 65 ans (et en avoir des revenus qui me permettent de vivre) plutôt qu’elle pourrait être encore plus retardée si nous tardons à prendre cette mesure avant qu’il ne soit trop tard.
 
C’est comme la semaine à 35h… quand allons-nous stopper cette stupidité qui appauvrit la France et les français en caractérisant les employés français comme étant les plus couteux au monde délocalisation du travail pour les entreprises qui le peuvent montée du chômage… en plus, en période de crise mondiale, ça ne pardonne jamais !
 
Alors cessons de rêver… car nous en sommes encore loin du monde utopique décrit par les socialistes du début du XXe siècle… Hélas, ce monde ne pourra jamais exister… et oui, ce n’était qu’une chimère…
 
Bisous,
@+
Sab

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19 novembre 2010

L'impôt sur la fortune

Ah que coucou !
 
Mon banquier pourrait vous confirmer, s’il n’était pas tenu par le secret bancaire, que je ne suis pas fortunée et que je n’entre pas dans la catégorie de ceux qui devaient payer des impôts sur la fortune. De ce fait, beaucoup estiment que je suis pour qu’une partie minuscule de la population paye cette charge supplémentaire et que je suis contre le fait que le gouvernement a supprimé cette rentrée d’argent supplémentaire.
Et bien ils se trompent lourdement et prouvent qu’ils ne voient pas plus loin que le bout de leur nez… en effet, qui est réellement touché par cet impôt ? Pas les véritables riches car ils ont les moyens d’aller dans les paradis fiscaux et ne s’en privent pas, ce qui supprime des entrées d’argent à mon pays. Bref, ceux qui sont touchés sont les français moyens, légèrement plus riches que les autres (et très légèrement plus riches). Et combien cela coute à mon pays ? Beaucoup trop par rapport à ce qui peut rentrer dans les caisses. Bref, c’est un impôt qui coute cher à la France ! Alors supprimons-le pour que les riches véritables retrouvent l’intérêt de faire à nouveau leurs déclarations fiscales en France pour que mon pays en profite ! et qu’une partie de la branche politique (qui aurait dû payer cet impôt s’ils ne s’étaient pas octroyés une dérogation) cesse de critiquer l’abandon de cet impôt qui a coûté à la France beaucoup trop ! Parce que 1. ça nous fera faire de grosses économies et 2. parce que ça apportera des entrées d’argent supplémentaires à mon pays, c’est mathématique ! Qu’on se le dise !
Bisous
@+
Sab

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18 novembre 2010

Qu’est-ce qu’on ne va pas encore inventer…

Ah que coucou !

Un petit tour sur le site de Reuters (dans la partie des « Insolites ») et voici une nouvelle qui me laisse perplexe…

Au Japon, des distributeurs de boissons intelligents
(Reuter – Lundi 15 novembre 2010)
Cliquez ici pour accéder à l’article
 
C’est vrai, à l’heure d’aujourd’hui, les distributeurs de boissons ne font pas très « marketing », pourrait-on dire, et leur image est souvent… désuète… leurs couleurs ne sont pas toujours « agréable »… et leur fonctionnement… « rudimentaire ».
Mais qu’attendons-nous réellement d’un distributeur de boisson ?
Tout ce que j’exige du distributeur est qu’il me fournit ce que j’ai payé (je déteste quand ma pièce reste coincée dans la machine qui refuse soit de me la rendre, soit de me fournir le produit que j’achète, et je suis excédée quand la machine rejette ma seule et unique pièce).
Ces nouveaux distributeurs vont se transformer en « démarcheur ». C’est-à-dire qu’au lieu de nous laisser choisir, ils vont tenter de nous imposer leurs choix ! j’ignore pour vous, mais moi, là, ça coince déjà surtout quand je lis : « Si c'est une femme d'une vingtaine d'années, la machine suggérera plutôt une boisson au thé ou une boisson sucrée » et que je sais que les thés des distributeurs sont si dégueulasses qu’il faut mieux boire autre chose ! Et puis : j’ai beau être une femme, moi, c’est le café que je préfère et surtout pas leur pseudo-boisson au thé qui n’ont de thé que l’étiquette !
Je suis d’accord : ça pourrait être amusant.
Mais désolée, je ne suis plus une enfant et quand je vais m’acheter quelque chose à un distributeur ce n’est que par manque de temps, alors, s’il faut que je me bagarre avec une machine pour qu’elle accepte de me vendre ce que je veux, elle ne me verra pas souvent ! voir même JAMAIS !
Bisous,
@+
Sab

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17 novembre 2010

Château-Thierry et les grands travaux

Bonjour,

Ce billet fait suite aux 2 articles parus dans le quotidien régional « L’Union » dont les titres sont les suivants :

La Piste cyclable au détriment des riverains (cliquez ici)
Sentiment d’insécurité exagéré (cliquez ici)

Je voulais agrémenter mon argumentaire de quelques photo, mais hélas, la météo actuelle ne permet pas de faire de belles images qui peuvent permettre de comprendre la dangerosité des aménagements. Toutefois je tacherais d’en incorporer quand la météo le permettra, c’est-à-dire, quand notre visibilité sera accrue, actuellement nous ne voyons pas au-delà d’une cinquantaine de centimètres, même si on a l’impression que sur la photo, on peut voir plus loin…

CT 01
 
Mon appareil est trop bon, il nous permet de voir ce qu’on ne voit pas… La réalité par rapport à la photo est qu’on est entouré d’une nappe de brouillard, blanche, épaisse…
Comme certains ont pu le constater et le constatent quotidiennement quand ils doivent aller travailler ou faire leurs courses, la rue de la Prairie, menant à la zone industrielle, est en plein travaux, ce qui occasionne certains désagréments aussi bien pour ceux qui ne sont que de passage que pour les riverains. Mais comme cette rue en avait besoin car elle était très détériorée par tout ce passage (véhicules légers et  gros camions qui œuvrent pour la bonne santé de nos entreprises et de nos grandes surfaces), nous prenons notre mal en patience. De plus, nous nous félicitons que nos élus n’aient pas pensé qu’aux automobilistes mais aussi aux cyclistes et aux piétons. En effet, on profite de ces travaux pour aménager une piste cyclable. Parfait ! pourrait-on penser… mais voilà que se glissent dans cette image idyllique des zones sombres…
 
Afin que vous puissiez mieux vous rendre compte, voici un extrait du cadastre…

CT 02
 
J’ai dessiné, à l’aide d’un gros pinceau noir cette fameuse Sante qui sera utilisée comme piste cyclable et qui traverse 1 propriété privée et dont ce petit bout de terrain a été acheté par la commune pour l’Euro symbolique et la promesse de déménager l’entrée pour piétons et véhicules. Pour ceux qui ne connaissent pas, il n’y a rien à y redire, sauf que, quand on regarde le plan d’un peu plus près, on aperçoit quelques incohérences d’où des interrogations et des craintes qui ne sont nullement gommées par les responsables des travaux… au contraire !! leur façon de communiquer est une véritable catastrophe ! et au lieu de nous rassurer, c’est le contraire qui se passe ! Ah ça, c’est vrai qu’ils ont organisé des réunions de voisinage pour permettre cette communication entre eux et nous, mais voilà, malgré ces réunions, la communication est absente ! lors de ces réunions nous apprenons que nous allons avoir droit à voir tel engin, qui va faire telle chose et pour tant de temps, ce qui fait que l’information est présente malgré de nombreuses omissions… et oui, ils ne nous dévoilent leurs projets que bride par bride… ce qui fait que personnellement, je trouve que leurs réunions ne sont qu’une pure perte de temps et j’ai l’impression croissante qu’ils nous prennent vraiment pour des imbéciles, surtout quand j’entends qu’après, au lieu d’écouter les objections de certains riverains, ils ne font que de se moquer d’eux.
 
Cette non-concertation des riverains font qu’ils en ignorent les véritables besoins et qu’ils ne voient pas tout ! Par exemple, je suis certaine que l’ingénieur en charge des travaux est venu faire son relevé pendant une heure de non-influence : quand les ouvriers des usines environnantes sont à leur travail ou chez eux, en effet, quand il annonce que la création d’un second rond-point va ralentir la circulation, on voit tout de suite qu’il ignore totalement comment est la circulation en ce lieu habituelle. Moi qui habite dans cette rue, je la vois souvent bouchonnée aux heures de sortie des usines, le week-end, surtout les samedis après-midi, je la vois se transformer en piste de Formule 1 car nombreux automobilistes ne respectent pas la limitation de vitesse (50 km/h) et font fi de la sécurité des riverains et piétons. Je connais aussi assez cette rue pour savoir que la transformation du carrefour dont la forme actuelle est un Y en rond-point est impossible pour qu’il permette un ralentissement véritable des véhicules : il n’y a pas la place pour ! Pour qu’il soit efficace, il faudrait que la commune se porte acquéreur des terrains alentours pour l’agrandir et construire un véritable rond-point qui obligent les véhicules à ralentir leur vitesse. Là, à l’heure actuelle, créer un rond-point (trop petit pour être respecté) à la place de ce carrefour en Y augmente la dangerosité du lieu car nombreux seront ceux qui ne le respecteront pas et arriveront à vive allure… De plus, j’imagine très mal les gros camions pouvoir tourner dans ce rond-point (s’ils construisent un rond au lieu de le peindre sur le sol), surtout quand je vois toutes les manœuvres qu’ils doivent faire déjà pour tourner à gauche de quelques sens qu’ils viennent… à moins qu’ils nous ne aient pas encore avertis que tous les camions se trouveront détourner vers d’autres sorties de la zone industrielle, ce qui est encore une possibilité…
 
Passons maintenant à notre cas, nous les habitants du 15 et du 15bis…
 
Quand j’ai appris que ma ville allait se doter de pistes cyclables, j’ai crié « Hourra ! », comme beaucoup. En effet, sans piste cyclable il est très dangereux de circuler dans cette ville à cause de tous ces automobilistes qui estiment que la route leur appartient à eux et uniquement à eux ! Si on en croit leur comportement : les piétons n’ont pas le droit de traverser, même sur les passages prévus à cet effet, et les 2 roues n’ont pas le droit de rouler ! Incroyable le nombre de fois où j’ai failli me faire écraser parce que je traversais MA rue sur le passage zébré, quant à sortir en vélo, j’ai abandonné quand j’ai constaté que je risquais ma vie en voulant traverser le rond-point près de chez moi, Place Paul Doumer. Mais voilà, au lieu de profiter des travaux pour aménager une piste cyclable qui longe la rue, il est prévu de faire traverser une propriété privée pour accéder à ce qu’on appelle ici « La Sante » (un petit sentier qui serpente entre les 2 propriétés d’à côté qui mène à la « Fausse Marne », comme le montre le plan du cadastre ci-dessus. Vouloir profiter de la Sante comme piste cyclable et voie piétonne, il n’y a rien là que de très naturel. On pourrait même penser que cela engendrerait des économies dans l’élaboration du projet… De plus, cela permettrait de pouvoir entretenir la Sante à moindre frais, ce qui ne peut que plaire aux 2 riverains concernés. Mais voilà, pour éviter que la Sante ne mène à un cul-de-sac, il a été décidé qu’elle servirait pour relier la rue de la Prairie au Quai Galliéni et mènerait sur un nouveau pont qui traversera la « Fausse Marne »… J’imagine que ce pont ne va pas se faire gratuitement, or les finances de la ville ne sont pas au beau fixe… d’où ma première interrogation : où vont-ils trouver les fonds ? et ce pont, est-il une dépense prioritaire pour laquelle il faut sacrifier d’autres dépenses plus urgentes ? comme le renforcement du sol dans certaines parties de la ville qui menaceraient de s’écrouler et peut-être de faire des victimes ? comme les travaux commencés mais qui n’ont pas pu être terminés par manque de moyen financier ? Si l’argent est dans les caisses, commençons d’abord par terminer ce qui a été entrepris afin de permettre aux riverains de sortir des travaux ! Si l’argent est dans les caisses, consolidons d’abord ce qui menace de s’écrouler ! En effet, pour traverser la Marne et la Fausse Marne, nous avons déjà un pont et pour ceux qui n’ont pas besoin de passer par le centre-ville, il existe une ceinture contournant la ville. Désengorgeons le centre-ville d’abord en forçant les véhicules à utiliser la voie express quand ils n’ont pas à aller dans le centre-ville. Ce sera un projet beaucoup moins couteux que la construction d’un nouveau pont ! De plus, cette voie devant traverser la propriété sur laquelle je me trouve, je vois cela d’un mauvais oeil, je dois l’avouer… non seulement pour les nuisances que cela va entrainer en laissant libre accès aux personnes étrangères, mais aussi pour les problèmes de circulation dans la dite propriété que cela va engendrer.
 
Crainte n°1.
Cette partie devenant public (la commune l’a acheté pour l’Euro symbolique), elle restera ouverte à tous (logique). Mais nous connaissons suffisamment nos concitoyens pour savoir comment ils traitent les lieux publics et comment certains les massacrent (graffitis, ordures, bruit, …). Pour palier à cette crainte on nous propose de nous installer une clôture pour séparer le passage de la propriété… ce qui entrainera inévitablement alors des problèmes de circulation pour nos propres véhicules ! Je pense ici surtout à tous ceux dont les garages se trouvent au rez-de-chaussée du bâtiment 15bis qui ne pourront plus entrer ou sortir leurs voitures de leur garage à moins de supprimer notre parking qui se trouvent souvent pleins le week-end…
 
Crainte 2.
La nouveau sens de circulation dans la propriété.
Pour des raisons tout à fait aberrantes et incompréhensibles tellement elles sont… (on ne va pas dire le mot ici) notre entrée actuelle nous sera fermée à nous et nous devrons utiliser une autre entrée que la commune doit nous construire (terme du contrat de vente de la parcelle de terrain). Or il n’y a pas 36 endroits où elle pourra être construite : juste à l’entrée d’un autre groupe de garage (là où se trouve le mien). Donc, quand nous voudrons entrer ou sortir de nos propres garages, nous bloquerons toute la circulation de la rue (quand nos sorties et nos entrées coïncideront avec les heures de pointe). Parce que pour ceux qui connaissent déjà, vous savez, vous, comme c’est pratique d’atteindre ces garages et d’y entrer sa voiture… Le mien, ça va encore tant que l’entrée de la propriété ne change pas de place mais ce sera très différent quand l’entrée sera déplacée, l’angle de bracage ne sera pas le même et introduire un véhicule dans un de ces garages relèvera du miracle !
 
A cette crainte l’ingénieur des travaux a avoué : « je ne les avais pas vus ! » (ces garages)… Ca promet !!
 
Bisous
@+
Sab

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