30 novembre 2019

Emile Zola [Le Naturalisme au théâtre] : Théorie (Les Jeunes)

Ah que coucou !

Ce que dit ici Emile Zola concernant les jeunes auteurs, nous pouvons le dire aussi dans tous les autres corps des métiers. Nous aussi, nous pouvons dire, qu'au sortir de l'école nous attendons des "jeunes recrues" de nouvelles idées, un nouvel élan, un nouveau dynamisme... et... dans l'énorme majorité des cas, nous sommes très déçus parce qu'il faut leur apprendre tout le métier (ce qui n'est pas trop problématique quand il n'y a pas, en plus, les langues étrangères dans lesquelles, soi-disant, ils excellent parce qu'ils ont eu d'excellentes notes pendant leur scolarité...). A quand reviendrons-nous à une formation strictement par l'Apprentissage pour TOUS les métiers ????

Bon, là, je sais, je m'éloigne du sujet principal : "les jeunes auteurs" ;)... comme vous vous en doutez avec ce que vous venez de lire ci-dessus, Emile Zola est, lui aussi, déçu par la jeune génération... mais ne vous inquiétez pas : il leur trouve des excuses ;)... comme nous le faisons, et avec beaucoup d'indulgence et de patience...

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Bonne lecture !

Bisous,
@+
Sab

28 novembre 2019

Molière : George Dandin ou le Mari confondu

Ah que coucou !

George Dandin ou le Mari confondu est une pièce de théâtre nécessaire au prochain e-book qui paraîtra sur ce blog dont l'auteur est Emile Zola et dans lequel il parle, entre autre, de cette fameuse pièce de théâtre... propos élogieux partagé par Jean Vagne (dans l'édition du tome IV du Théâtre complet de Molière) dans lequel nous lisons (partie Notes) : "Jouée à Versailles, devant le roi, puis à plusieurs reprises à Saint-Germain, avant de figurer au programme du Palais-Royal, la pièce connut un bon et durable succès; elle sera reprise tous les ans jusqu'à la mort de Molière."

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George Dandin est un riche paysan qui a épousé la fille d'un gentilhomme, Angélique. Mais voilà, Angélique, elle, l'a épousé par obligation et non par amour... et... de ce fait... quand arrive un jeune et beau Vicomte, prénommé Clitandre... eh bien...
Mais voilà, naturellement et légitimement, George Dandin, lui, veut être aimé de sa jeune épouse, ou, au moins, il veut qu'elle respecte les convenances. Or, Angélique, aidée de sa servante Claudine, se laisse courtisée quasi devant les yeux de George Dandin qu'elles tournent en ridicule à chaque fois que celui-ci fait venir les parents d'Angélique pour qu'ils constatent le mauvais comportement de leur fille.

Bonne lecture !

Bisous,
@+
Sab

26 novembre 2019

Michel Tournier : Vendredi ou la Vie sauvage

Ah que coucou !

Nous connaissons tous, plus ou moins, Les Aventures de Robinson Crusoé de Daniel Defoe... et bien voici une des nombreuses adaptations :



Dont voici, pour vous mettre en bouche, les premières pages :

Michel Tournier est né en 1924, d’un père gascon et d’une mère bourguignonne, universitaires et germanistes. Il vit dans un vieux presbytère de la vallée de Chevreuse mais aime beaucoup voyager. Très tôt, il s’est orienté vers la photographie et a produit une émission de télévision « Chambre noire » consacrée aux photographes.
Il a publié son premier roman en 1967, Vendredi ou les limbes du Pacifique d’après lequel il a écrit par la suite Vendredi ou la Vie sauvage.
Auteur de plusieurs romans, il est, depuis 1972, membre de l’Académie Goncourt.




Georges Lemoine a trouvé dans cette œuvre de Tournier la mesure même de son inspiration faite d’audace et de raffinement, de précision et de sensibilité. Aussi compte-t-il parmi les meilleurs illustrateurs actuels. Il a illustré de nombreux livres pour les enfants et travaille beaucoup dans la presse.
Dans la collection « Folio Junior », Georges Lemoine est l’auteur des illustrations de La maison qui s’envole de Claude Roy, et de La Vie de Notre-Seigneur Jésus-Christ de Charles Dickens.




© Flammarion, 1971, pour le texte
© Editions Gallimard, 1977, pour la présente édition illustrée.


Pour Laurent





A la fin de l’après-midi du 29 septembre 1759, le ciel noircit tout à coup dans la région de l’archipel Juan Fernandez, à six cents kilomètres environ au large des côtes du Chili. L’équipage de La Virginie se rassembla sur le pont pour voir les petites flammes qui s’allumaient à l’extrémité des mâts et des vergues du navire. C’était des feux Saint-Elme, un phénomène dû à l’électricité atmosphérique et qui annonce un violent orage. Heureusement, La Virginie sur laquelle voyageait Robinson n’avait rien à craindre, même de la plus forte tempête. C’était une galiote hollandaise, un bateau plutôt rond, avec une mâture assez basse, donc lourd et peu rapide, mais d’une stabilité extraordinaire par mauvais temps. Aussi le noir, lorsque le capitaine van Deyssel vit un coup de vent faire éclater l’une des voiles comme un ballon, il ordonna à ses hommes de replier les autres voiles et de s’enfermer avec lui à l’intérieur, en attendant que ça se passe. Le seul danger qui était à craindre, c’était des récifs ou des bancs de sable, mais la carte n’indiquait rien de ce genre, et il semblait que La Virginie pouvait fuir sous la tempête pendant des centaines de kilomètres sans rien rencontrer.
Aussi le capitaine et Robinson jouaient-ils aux cartes tranquillement pendant qu’au-dehors l’ouragan se déchaînait. On était au milieu du XVIIIe siècle, alors que beaucoup d’Européens – principalement des Anglais – allaient s’installer en Amérique pour faire fortune. Robinson avait laissé à York sa femme et ses deux enfants, pour explorer l’Amérique du Sud et voir s’il ne pourrait pas organiser des échanges commerciaux  fructueux entre sa patrie et le Chili. Quelques semaines plus tôt, La Virginie avait contourné le continent américain en passant bravement le terrible cap Horn. Maintenant, elle remontait vers Valparaiso où Robinson voulait débarquer.
– Ne croyez-vous pas que cette tempête va beaucoup retarder notre arrivée au Chili ? demanda-t-il au capitaine en battant les cartes.
Le capitaine le regarda avec un petit sourire ironique en caressant son verre de genièvre, son alcool préféré. Il avait beaucoup plus d’expérience que Robinson et se moquait souvent de son impatience de jeune homme.
– Quand on entreprend un voyage comme celui que vous faites, lui dit-il après avoir tiré une bouffée de sa pipe, on part quand on le veut, mais on arrive quand Dieu le veut.
Puis il déboucha un tonnelet de bois où il gardait son tabac, et il y glissa sa longue pipe de porcelaine.
– Ainsi, expliqua-t-il, elle est à l’abri des chocs et elle s’imprègne de l’odeur mielleuse du tabac.
Il referma son tonnelet à tabac et se laissa aller paresseusement en arrière.
– Voyez-vous, dit-il, l’avantage des tempêtes, c’est qu’elles vous libèrent de tout souci. Contre les éléments déchaînés, il n’y a rien à faire. Alors on ne fait rien. On s’en remet au destin.
A ce moment-là, le fanal [n.m. (pluriel Fanaux) – XVIe siècle. Emprunté de l’italien fanale, de même sens, issu du grec phanos, « lanterne » – 2. - Marine. Grosse lanterne avec laquelle un bateau signale sa position ou éclaire son bord. Hisser un fanal au grand mât. (Source : Dictionnaire de l’Académie française)] suspendu à une chaîne qui éclairait la cabine accomplit un violent arc de cercle et éclata contre le plafond. Avant que l’obscurité totale se fasse, Robinson eut encore le temps de voir le capitaine plonger la tête la première par-dessus la table. Robinson se leva et se dirigea vers la porte. Un courant d’air lui apprit qu’il n’y avait plus de porte. Ce qu’il y avait de plus terrifiant après le tangage et le roulis qui duraient depuis plusieurs jours, c’était que le navire ne bougeait plus du tout. Il devait être bloqué sur un banc de sable ou sur des récifs. Dans la vague lueur de la pleine lune balayée par des nuages, Robinson distingua sur le pont un groupe d’hommes qui s’efforçaient de mettre à l’eau un canot de sauvetage. Il se dirigeait vers eux pour les aider, quand un choc formidable ébranla le navire. Aussitôt après, une vague gigantesque croula sur le pont et balaya tout ce qui s’y trouvait, les hommes comme le matériel.
Plus ? et bien, va falloir que vous l'achetiez chez votre libraire parce que... ben... celui-là je ne peux pas vous le "donner"...

Bonne lecture !

Bisous,
@+
Sab

24 novembre 2019

Agatha Christie [Christmas Pudding] : Christmas Pudding

Ah que coucou !

Aujourd'hui nous commençons un nouveau recueil de nouvelles regroupant 3 enquêtes d'Agathie Christie... Cette première enquête, menée par Hercule Poirot, a donné son titre au dit-recueil...


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Un jeune prince oriental, séjournant à Londres pour y faire tailler un rubis qu'il se prépare à offrir à sa future épouse le jour des noces, se fait dérober la-dite pierre par une belle jeune femme à qui, pour lui plaire, il avait prêté le rubis pour la soirée...
Afin d'éviter tout scandale, le prince, avec l'aide de Mr Jesmond, parvient à ce que Poirot accepte d'aller séjourner à la campagne (Kings Lacey) pour les fêtes de Noël... Poirot, étant Belge, Mr Jesmond estimait qu'il pouvait faire convoiter à cet étranger un Noël anglais traditionnel... ce n'est que lorsqu'il comprit que Poirot était "frileux" qu'il se mit à venter le confort moderne dans cette demeure ancienne où l'on a installé le chauffage central au mazout... ce qui garantissait une T°C à l'intérieur de plus de 21°C...

A Kings Lacey y vivent le colonel Lacey et sa femme, un couple de personnes âgées dont les petits-enfants sont présents lors des vacances de Noël... Mr et Mme Lacey, depuis la mort de leur fils et de son épouse, sont les tuteurs de leur petite fille Sarah, qu'ils ont élevée... Mais depuis quelques mois, Sarah, s'étant installée dans la banlieue populaire de Londres, s'est entichée d'un certain Desmond Lee-Wortley, jeune homme "à fuir" par toutes les filles de bonnes familles, appelées à devenir "riches"... justement, pour s'en débarrasser, Mme Lacey a la riche idée de l'inviter à venir passer les fêtes à Kings Lacey... et...

Et ? 
A vous de lire la suite de l'histoire...

Bonne lecture !

Bisous,
@+
Sab

22 novembre 2019

Emile Zola [Le Naturalisme au théâtre] : Théorie (le Don)

Ah que coucou !

"Avoir le don de faire"... honnêtement, vous y croyez, vous ? c'est vrai que certaines personnes réussissent mieux que d'autres à faire ci ou ça... mais, quand on regarde un peu mieux la raison, on s'aperçoit vite que cette "aisance" est surtout due à "plus l'habitude de..." ;)... et c'est là que veut en venir aussi Emile Zola quand il aborde le sujet du "don" chez les auteurs ;)...

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Bonne lecture !

Bisous,
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Sab

20 novembre 2019

J-K Huysmans : Les Sœurs Vatard

Ah que coucou !

Eh bien voici le premier roman qui a fait connaître Joris-Karl Huysmans dont Emile Zola (à qui l'œuvre est dédiée) nous a parlé dans la partie dédiée à J-K Huysmans de son ouvrage Trois Débuts (postée sur ce blog le 11 septembre 2019 - cliquez ici pour accéder et au billet et à l'e-book) :

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Les sœurs Vatard sont 2 jeunes filles qui vivent chez leurs parents, ouvriers, et dont la mère ne peut plus travailler car elle est si gravement malade qu'elle doit garder le lit. De ce fait, tout le travail doit être fait par Céline, l'aînée, et Désirée, la cadette.
Pour vivre, tous rapportent leur salaire, gardent quelques sous pour leurs besoins personnels et mettent le reste en commun, ce qui permet à la famille de vivre bien et d'avoir toujours et un toit sur la tête et à manger dans la gamelle... De ce fait, les Vatard jouissent d'une excellente réputation dans tout le quartier...

Céline et Désirée travaillent chez Débonnaire, une usine dans laquelle on relie les livres. Toutes deux sont "brocheuses", c'est-à-dire qu'elles s'occupent de "brocher les livres" (= coudre les différents feuillets pour les relier entre eux - de nos jours on utilise plus "la colle" que "la couture" ce qui fait que les pages ont la fâcheuse manie de se délier les unes des autres et de disparaître ensuite). Là travaillent aussi Anatole et, quand l'histoire commence, Auguste qui s'y fait embaucher...

Anatole est le type même de la caricature de l'ouvrier du 19e siècle : un fainéant, bon à rien, sauf à boire à outrance et à frapper sur ses "maîtresses" qu'il spolie au maximum de leur argent afin de pouvoir boire. Anatole estime qu'il est un bellâtre et qu'il peut tout se permettre... Au moment où débute l'histoire, il est l'amant de Céline (qu'il débauche, qu'il cogne, qu'il vole, qu'il trompe). Cette liaison chagrine fort Mr Vatard car, à cette époque, les filles dépucelées ne pouvaient espérer faire un bon mariage et comme il ne peut plus rien changer, il laisse Céline sortir jusqu'à des "pas d'heure" et rejoindre son Anatole, recevoir souvent sa torgnole et coucher avec son amoureux (qui en profite avant pour se faire offrir ses tournées et ses repas).

Auguste revient de son service militaire. Il a fait quelques places avant d'être accepté comme ouvrier chez Débonnaire. Il a sa mère, veuve, à charge. Il est sobre, semble timide. Il est peu attiré par la boisson et cherche une honnête fille dont il pourrait faire sa maîtresse, et plus, si infinité... Dès le premier jour, il remarque Désirée, qu'il ne trouve pas certes : belle, belle, belle mais qui lui semble avoir les qualités qu'il recherche. Désirée, de son côté, l'a aussi remarqué... et après quelques hésitations, ils décident de flirter ensemble (interdiction de dépasser le baiser sur la joue) en attendant de pouvoir se marier... ce qui ne devrait pas poser de problème vu que le père Vatard a promis de laisser à Désirée le choix de son époux et non de lui en imposer un.

Justement, le père n'est pas à la maison car il doit s'absenter pour visiter sa sœur à Amiens, soi-disant, si gravement malade qu'elle risque de mourir d'un jour à l'autre... et comme la dite-sœur est, pour ses filles, la "tante à héritage", il décide de quitter son cocon pour prendre le train... Et pendant ces quelques jours d'absence, l'amour grandit entre Désirée et Auguste, tandis que Céline rompt avec Anatole pour se "coller" à un certain peintre (qui s'est vu éjecter de tous les ateliers de peinture sérieux) prénommé Cyprien qui s'habille bien, semble avoir une fortune qui permettra à Céline de se payer de beaux vêtements... Tout se passe donc "relativement" bien pour les deux sœurs jusqu'au jour où leur père rentre... et, quand il apprend que Désirée souhaite épouser un ouvrier qui ne gagne que 8 sous de l'heure (soit 4 francs et quelque par semaine), il se met à crier et refuse que sa fille, qui gagne 20 francs par semaine, n'épouse un ouvrier aussi pauvre !

Les deux amoureux vont-ils réussir à le faire fléchir ?

Eh bien vous le saurez en lisant ce roman... dans lequel 2 comportements "à la mode dans ce 19e siècle" sont mis en opposition.

Bonne lecture !

Bisous,
@+
Sab

18 novembre 2019

Albert Camus : Réflexions sur la guillotine

Ah que coucou !

Je suis comme de très nombreuses personnes (chiffres qui ne cesse de grossir), à cause de toute cette violence en forte augmentation, à cause de tous ces attentats où des Français et/ou Chrétiens meurent, je regrette que la peine de mort ait été abolie en 1981... et souhaite qu'elle refasse partie des options possibles quand un criminel (surtout récidiviste) ou un assassin de masse (ou pro-assassinat de masse) est condamné dans un de nos tribunaux. A l'heure d'aujourd'hui, de tels assassins savent pertinemment qu'ils ne resteront nullement toute leur vie enfermé dans une cellule (qu'on leur rend de plus en plus habitable, bientôt les assassins seront mieux logés que de nombreux Français), mais ils n'y resteront qu'entre 5 et 10 ans car nos prisons sont pleines... Moi, je veux que seuls les assassins aient peur... et non leurs victimes ! ce qui n'est pas le cas aujourd'hui...

Toutefois il est bon de se remémorer les raisons pour lesquelles les élus français des années 1981 ont voté l'abolition de la peine de mort (sans même avoir, au préalable, organisé la moindre consultation du peuple !! via, par exemple, un référendum, bravo le PS ;) !!)... et Albert Camus, dans le texte suivant, explique très bien les raisons pour lesquelles il est préférable d'abolir la peine de mort :


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Certes, nous acceptons de rejeter la faute de cet échec concernant "l'abolition de la peine de mort" sur le laxisme de la justice française qui remet les assassins parmi nous, à cause d'un vice de procédure ou autre raison... mais n'est-il pas préférable de garder une telle option, même si elle n'est jamais appliquée ? car quoi... combien y avait-il eu de condamner à la peine capitale dans les années 70s ? et celui qui a profité le plus de cette abolition, aurait-il assassiné à nouveau s'il n'y avait pas eu cette abolition-là ??? des personnes seraient en vie, aujourd'hui, s'il ne les avait pas tués...

Perso, moi, je préfère que des assassins soient tués plutôt que des innocents...

Bonne lecture !

Bisous,
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Sab

16 novembre 2019

Euripide [Théâtre complet] : Les Troyennes

Ah que coucou !

La Guerre de Troie est terminée. Les Grecs ont gagné la guerre. Les Troiens sont vaincus et leurs chefs sont tous tués (y compris le très jeune fils d'Hector et d'Andromaque). Pour les survivants, y compris les filles du roi Priam et de la reine Hécube et l'épouse d'Hector, va commencer le temps de la servitude, de l'esclavage en terre grecque...
  • Hécube, malgré son âge avancé, part chez Ulysse.
  • Polyxène, dédiée au tombeau d'Achille, y est assassinée selon la coutume grecque.
  • Cassandra part chez Agamemnon.
  • Andromaque part chez le fils d'Achille.
Il est donc l'heure, pour les captives, de faire leurs adieux à leur terre natale... et d'assister, impuissante, à l'incendie de leur ville...

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Bonne lecture !

Bisous,
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Sab

14 novembre 2019

Emile Zola [Le Naturalisme au théâtre] : Théorie (le Naturalisme)

Ah que coucou !

Aujourd'hui nous commençons une série de 20 e-books dans lesquels vous trouverez / découvrirez les écrits / articles d'Emile Zola concernant ses critiques théâtrales. Ce premier volume sera suivi par Nos Auteurs dramatiques regroupant 17 e-books.

Le Naturalisme, c'est quoi ? que peut apporter le Naturalisme à la littérature française ? c'est ce que nous explique ici Emile Zola :


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Bonne lecture !

Bisous,
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Sab

12 novembre 2019

Alphonse Daudet : La dernière Idole

Ah que coucou !

Voici un drame en 1 acte (composé de 6 scènes) qu'Alphonse Daudet a écrit en collaboration avec Ernest l'Epine et qui fut jouer, pour la première fois, en 1862 :


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Alphonse Daudet, nous le connaissons surtout comme "conteur". Qui ne connaît pas Les Lettres de mon Moulin ou Les Contes du Lundi (tout deux accessibles à partir de ce blog en cliquant sur le tag "Alphonse Daudet") ? Rares sont ceux qui le connaissent en tant qu'auteur dramatique, même pour ceux qui se souviennent de l'Arlésienne...

La Dernière Idole est une illustration comme quoi le passé finit toujours par nous rattraper un jour... en effet, Madame Ambroix a réussi à dissimuler ces 8 dernières années à son époux qu'elle l'avait trompé pendant 3 ans avec son meilleur ami, Monsieur Léopold, quand arrive un paquet d'Odessa qu'Ambroix s'empresse d'ouvrir...

La suite ? à vous de la découvrir...

Bonne lecture !

Bisous,
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Sab

10 novembre 2019

Jeanne Bloch : Les Travaux d'Hercule (adaptés pour les enfants)

Ah que coucou !

Qui ne connaît pas Hercule et n'a jamais entendu parler des 12 travaux qu'il a effectués pour expier l'assassinat de sa femme et de ses 3 enfants ?
Eh bien en voici une version permettant à nos têtes blondes de le connaître, eux aussi...

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Hercule est l'un des deux fils du roi Amphitryon et alors qu'il est encore un jeune enfant, il montre déjà sa bravoure en étouffant un serpent qui était venu siffler près de sa tête alors qu'il était en train de dormir. En grandissant, il devient de plus en plus fort, mais hélas, question caractère... Hercule ne se maîtrise pas et ses parents ne l'y encouragent pas... et ses crises deviennent de plus en plus "dangereuses"... suite à un excès de colère il tue son professeur de musique... suite à une crise de folie, il assassine son épouse et ses 3 enfants. Parce qu'il ne s'en remet pas, il part à Delphes consulter l'oracle. Apollon, par la bouche de la prêtresse, le condamne à servir pendant 12 années le roi Eurysthée, un roi trouillard et fourbe. Celui-ci lui confie 12 travaux d'où il espère Hercule ne reviendra jamais, mais...

La suite ? eh bien c'est à vous de la découvrir / redécouvrir grâce à cette version illustrée de 40 gravures...

Bonne lecture !

Bisous,
@+
Sab

8 novembre 2019

Pierre Comert : Les Chemins de fer de l'Etat en Prusse

Ah que coucou !

Je feuillette... je feuillette... je découvre et je me laisse surprendre par un texte paru le 1er septembre 1908 dans la Revue de Paris qui narre l'histoire du chemin de fer prussien depuis le début du 19e siècle jusqu'en 1906...


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De quoi nous laisser "perplexes", nous, qui avons étudié la 1re Guerre mondiale à l'école... oui, parce que là où l'on nous dit que nos Etats-Major avaient été "surpris", on découvre que l'information était "présente"... ouaip... et cela depuis min. 1908 !!!

Bonne lecture !

Bisous,
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Sab

6 novembre 2019

Emile Zola : Enquête & Obsèques

Ah que coucou !

A la mort d'un proche nous ressentons tous une grande douleur et Mme Zola doit en ressentir une plus énorme encore car, étant dans la même pièce que son mari, elle doit se culpabiliser, en plus, d'avoir survécu au contraire de son mari... pourtant cela n'a pas empêché tous ces extrémistes, qu'ils soient d'un côté ou d'un autre, d'avoir bafoué son droit à la souffrance qu'elle ressent à la suite du décès d'Emile Zola, et d'avoir montré, de par leur comportement, aucun respect à ce grand écrivain qu'était Emile Zola. Oui, nous assistons là plus à un défilé politique quasi pro-militarisé qu'à un recueillement et à un soutien à une famille qui souffre des suites du décès d'un des leurs ! On nous parle plus de Dreyfus, des différentes sections extrémistes (qu'elles soient pro ou anti Dreyfus), de la douleur que ressent Mr Ernest Vaughan et l'Aurore, que de l'œuvre, de l'héritage littéraire qu'a légué Emile Zola à toute l'Humanité... Vous trouvez cela normal et respectueux, vous ? moi, non ! et j'avoue que si j'avais été une amie intime de Mme Zola, je lui aurais conseillé, bien malgré moi, de s'abstenir d'assister aux Obsèques de son mari... et, à la lecture du déroulement de toutes ces journées entre le 28 septembre et le 6 octobre 1902, je plains Emile Zola dont le corps, lui, a été dans l'obligation de supporter tout cette m... et déferlante politique.

Les deux groupes "extrémistes" qui sont les lecteurs ou du Gaulois ou de l'Aurore, citant les 3 discours qui ont été tenus sur le bord de la tombe provisoire d'Emile Zola, je les ai sortis du journal l'Aurore (qui les avait reproduits dans ses colonnes) pour vous permettre de les retrouver sans devoir relire à nouveau, toutes les (comment dire ?) exubérances que les idéaux politiques poussés à l’extrême obligent un individu à faire (oui, à croire qu'ils faisaient un concours à celui qui en faisait le plus dans la débilité extrémiste).

C'est Mr Joseph Chaumié, qui, le premier, a prononcé quelques mots...


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qui met plus en "valeur" le socialisme qu'Emile Zola (félicitation à ce ministre-là d'avoir montré, par son discours, son manque total d'intérêt pour Emile Zola !! alors, il faut le rappeler, qu'il s'agissait de ses obsèques... pauvre Zola ! qu'a-t-il fait pour mériter ça ?)


Ce discours a été suivi par celui de Mr Abel Hermant :


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Bizarrement, il parle aussi, un peu, de l'œuvre d'Emile Zola ;)... oui, quand on représente l'Association des gens de Lettres, il faut quand-même parler "littérature" ;)...

Et c'est le discours d'Anatole France qui clôt ce temps de parole :

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que dire de ce maître qui "s'adapte" à son environnement et aux propos tenus par ses 2 brillants prédécesseurs ? toutefois, on sent dans son discours, à lui, qu'il appréciait ce qu'écrivait Emile Zola... quant à son environnement très "rouge", bizarrement, j'émets quelques doutes ;)...


Passons maintenant à tous ces articles parus, entre le 30 septembre et le 7 octobre 1902, et

dans le Gaulois :

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et dans l'Aurore :


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Vus les idées qu'ils prétendent défendre, nous ne pouvons que nous douter que la Vérité des événements se trouve :

AU MILIEU !

Alors que le premier vomit sur le fait qu'Emile Zola ait osé défendre un Juif contre cette armée française qui l'accusait à tort, le second nous parle plus du dit-juif et des "actions" socialistes pour, soi-disant, sauver les obsèques d'Emile Zola... le pauvre, s'il avait su ;). Nous lisons donc, dans ces 2 organes de presse opposées, une déferlante de propagandes politiques...

Et la famille Zola, dans tout ça, où est-elle ? elle de qui certain de la gauche préfère ignorer la douleur pour communiquer leurs condoléances, etc. à un journal ??? incroyable le nombre de "condoléances" imprimées par l'Aurore dans lesquelles l'auteur ne prononce même pas un petit mot pour Mme Zola !! parce que j'en avais marre de ces paragraphes "Condoléances" je n'ai pas eu le courage de mettre ceux parus après le 3 octobre 1902... marre de constater qu'on profite de condoléances pour faire de la propagande politique ! si vous souhaitez les lire toutes, lisez le journal l'Aurore dans sa totalité... il n'y a pas un jour et quasi un article, où ces pseudo-"condoléances" propagande-politique soient absentes !

Quant au résultat de l'enquête ? seul le Gaulois nous le communique ! l'Aurore étant trop occupée à faire imprimer les "condoléances"-propagandes politiques... pourtant, ça, c'aurait été bien plus important !!

Et le pire, dans tout ça ?
Ca se passe à l'extérieur du cimetière, rue Lépic... où s'organise une manifestation "rouge" avec toute sa violence... comme ils savent encore très bien le faire à notre époque ;)...


Pour ceux qui veulent les liens en une fois :



Bonne lecture !

Bisous,
@+
Sab

4 novembre 2019

Georges Chaulet : Fantômette au carnaval

Ah que coucou !

Dans la série des Fantômette, voici le volume 4 :



composé ainsi :




Et pour vous mettre en appétit, voici le premier chapitre...




Bonne lecture !

Bisous,
@+
Sab

2 novembre 2019

Eugène Labiche : La Poudre aux yeux

Ah que coucou !

De tout temps il a toujours été très aisé de paraître ce que nous ne sommes pas, il est très aisé de duper un individu qui veut croire ce que lui disent ses yeux et ce que son cerveau a envie de voir... (et encore plus simple et rapide quand la personne que l'on cherche à duper est ignorante concernant le sujet de la "duperie") et c'est sur cette constatation qu'Eugène Labiche a créé la pièce de théâtre suivante en collaboration avec Edouard Martin :


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Le couple Malingear (de modeste bourgeois) ont une fille en âge de se marier, elle se prénomme Emmeline, sait coudre, étudie le piano et est courtisée par Frédéric Ratinois, un jeune avocat qui débute... Frédéric, timide, craint d'essuyer un refus s'il demande Emmeline en mariage à ses parents... mais ses visites répétitives commencent à faire jaser dans l'immeuble et M. Malingear (médecin sans clientèle, vivant de ses rentes (20.000 francs / mois)) décide alors de mettre les points sur les i et Frédéric, s'apercevant que M. Malingear l'apprécie n'hésite plus à lui parler ouvertement de l'amour qu'il ressent pour Emmeline... comme à cette époque-là on ne pouvait pas s'aimer sans devoir se marier, Frédéric demande à ses parents de faire la "demande en mariage"...
Les parents de Frédéric sont d'anciens commerçants, en retraite, et qui vivent de leur rente (17.000 francs / mois) et, avant de faire une demande officielle, ils souhaitent se renseigner sur la famille Malingear.
Emmeline, ayant averti sa mère sous le sceau du secret, Mme Malingear, croyant que les parents de Frédéric sont beaucoup plus riches qu'eux, décident de mettre en scène un train de vie qu'ils ne peuvent pas assurer afin de paraître plus riches qu'ils ne le sont en réalité... elle va même jusqu'à "emprunter" le Chasseur du voisin du 1er pour donner à son mari, une lettre soi-disant écrite par une Duchesse, une cliente richissime ;) qui le gratifie de 4.000 francs alors que M. Malingear "ausculte" soi-disant, le malade Ratinois ;)...

La suite ?
Et bien je vous laisse la découvrir par vous-mêmes !

Bonne lecture !

Bisous,
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Sab