30 avril 2014

"C'est gratuit !"

Ah que coucou !

J'ignore si je suis la seule mais quand j'entends un vendeur me répondre : "C'est gratuit !" ou une autre personne dire "mais c'est gratuit !", j'ai une vilaine tendance à vouloir leur mettre ma main à travers la figure... car il faut vraiment être stupide pour croire, qu'à notre époque et dans notre société, quelque chose puisse être gratuit (sans contrepartie monétaire ou autre)...
 
La dernière fois c'était quand il a fallu changer la box ADSL de ma mère... nous sommes allées chez son fournisseur. Comme ma mère n'a pas la possibilité d'utiliser l'option TV (TV trop ancienne et trop loin de toutes possibilités de placer un décodeur TV proche d'une prise téléphonique pour y raccorder la box principale), afin de lui faire payer moins cher son abonnement mensuel, j'ai demandé au vendeur de me dire le prix d'un abonnement sans TV... et lui, au lieu de me communiquer le prix, offusqué et sur un ton hargneux me répondit : "mais c'est gratuit !"... inutile de vous dire que j'avais envie de prendre ma mère par la manche et de l'emmener directement à l'agence de mon fournisseur ADSL qui était à deux pas de là... et qui propose internet et téléphonie illimitée sans accès à la TV ;) !!
 
L'option TV n'est pas gratuite et ne l'a jamais été... et ça, tout le monde le sait bien... l'option TV est incluse dans un forfait... donc nous devrions avoir accès aux forfaits ne comprenant pas cette option... tout comme nous devrions avoir droit de n'avoir qu'en forfait que l'option ADSL ! comme cela se fait dans de nombreux pays où l'on voit que les prix sont plus attractifs qu'en France... oui, car sous le fallacieux prétexte des options gratuites, on nous fait payer plus cher ce dont on a besoin en nous ajoutant des "options" dont nous n'avons que faire et qui ne nous intéressent pas !
 
Mais le "C'est gratuit !" ne concerne pas seulement les F.A.I. mais aussi, hélas, d'autres opérations marketing... combien ne sont pas inscrits pour avoir une carte "avantage" afin de bénéficier d'offres promotionnelles ou de la gratuité d'une chose ? Combien renvoie chaque année en France des coupons-commandes afin de recevoir gratuitement tel ou tel cadeau (souvent un bijou en toc qu'on peut trouver pour moins d'1 Euro) ?
Toutes ces offres promotionnelles, tous ces objets gratuits, vous les payez en achetant d'autres produits (dont le prix est beaucoup plus élevés que dans une autre enseigne)... Ne nous leurrons pas : on ne nous fait AUCUN cadeau... et quand une société en fait un, nous le payons au centuple de sa valeur ;)...
 
Bisous,
@+
Sab

29 avril 2014

Emile Zola [Rougon-Macquart] : La Conquête de Plassans

Ah que coucou !
 
Dans ce nouvel épisode de la famille des Rougon-Macquart nous retournons à Plassans. Rappelez-vous ce village d'où sont originaires et les Rougon, et les Macquart, dans lequel a débuté cette saga ! Là nous y retrouvons un étrange curé qui arrive de Besançon accompagné de sa mère et que Félicité Rougon reçoit mystérieusement dans son salon vert... étrange aussi qu'elle fasse semblant de ne pas le connaître tout en lui conseillant d'aller habiter chez sa fille Marthe et son gendre-neveu François Mouret (fils aîné d'Ursule Macquart, la demi-sœur de Pierre Rougon), justement, ce dernier a mis en location quelques pièces au second étage de sa maison... Vous voulez connaître la suite et quelle destinée va connaître le couple Mouret ? Lisez ce quatrième tome de la célèbre série des Rougon-Macquart !
 
accessible à la lecture/téléchargement en cliquant ici
Format : pdf
(logiciel fourni gratuitement par son concepteur : Adobe)
Langue : Français
 
Bisous,
@+
Sab

28 avril 2014

La Démocratie

Ah que coucou !
 
Vous aussi vous êtes très étonnés quand vous entendez un extrémiste (qu'il soit de droite ou de gauche) affirmer sans rire qu'il est pour la démocratie ??? J'avoue que, entendant une telle affirmation, j'ai du mal à garder et mon sérieux et mon calme... décidemment, moi, ces extrémistes, je ne parviendrai jamais à avoir le même décodeur que le leur... oui, car, malgré que j'ai souvent le réflexe de regarder le dico après, je trouve que le dico et moi avons la même définition des mots... alors quoi ? où vont-ils chercher la leur, eux ???
 
Afin que je ne sois pas obligée, la prochaine fois, de courir une nouvelle fois chercher un dico pour expliquer leur erreur à ces extrémistes qui envahissent mon espace vital - en plus, ils refusent de croire qu'ils puissent faire une erreur dans les termes qu'ils utilisent... la voici ;) - elle pourrait vous servir à vous aussi étant donné que c'est une race en augmentation ;) :
 
La démocratie est d'abord un concept traditionnel du droit politique ; celui-ci classe les formes de gouvernement selon la nature de l'autorité souveraine : dans la monarchie, le souverain est un individu, dans l'aristocratie, c'est un groupe d'individus, dans la démocratie, c'est le peuple dans son ensemble. Pratiquement, ce concept suppose au moins que tous les citoyens soient égaux en tant que membres du pouvoir souverain. La conception de l'homme comme sujet libre a fait de la démocratie une valeur : elle correspond soit à l'exigence de reconnaître la liberté, soit au moyen politique de faire exister la liberté. Toutes ces déterminations ne se recouvrent pas et l'idée démocratique est revendiquée tant par le libéralisme, que par l'anarchisme ou le socialisme.
 
Depuis le XVIIIe siècle est apparue l'idée fondamentale que la liberté politique de chacun et l'exercice du pouvoir par tous sont une seule et même chose : Rousseau en fait le fondement dans son Contrat social et de sa théorie du souverain. A strictement parler, la liberté (la souveraineté individuelle) est inaliénable ; il en résulte un premier paradoxe de la démocratie : toute délégation de souveraineté est déjà une dégénérescence de la démocratie, et pourtant une démocratie directe paraît impraticable dans les Etats modernes. Le problème fondamental est de concevoir comment le peuple peut exercer le pouvoir politique. Le libéralisme politique, issu de Locke et de Montesquieu, met l'accent sur la reconnaissance de la liberté individuelle et de l'égalité, et assure formellement l'exercice du pouvoir "populaire" par l'élection des dirigeants et le suffrage universel. La démocratie se définit alors par la liberté des élections (chacun est électeur et éligible) qu'on croit souvent assurer par le pluralisme des partis politiques, la garantie du respect des libertés publiques fondamentales (expression, réunion, opinion), la limitation du pouvoir central face aux libertés individuelles (d'où le thème de la séparation des pouvoirs).
Cette conception peut-être l'objet de plusieurs critiques:
 
1 - L'élection ne garantit pas l'exercice du pouvoir par le peuple, si les moyens d'information, de propagande et de pressions économiques sont aux mains de quelques-uns.
2 -  Le suffrage universel peut devenir un élément anti-démocratique lorsque par exemple dans la pratique du plébiscite ou du référendum, il vise à faire approuver un homme et non une politique ou à déterminer le choix du votant par une question imposée.
3 - La liberté et l'égalité sont simplement formelle s'il se trouve que l'appartenance à un milieu social défini détermine pratiquement l'accès à certaines fonctions ou à certaines compétences. La liberté par où se définit la démocratie n'est pas seulement la reconnaissance à chacun de droits égaux, c'est aussi l'exigence que chacun puisse également exercer ces droits ; la démocratie est inséparable de la justice sociale.
 
La structure politique et économique des Etats modernes, quels qu'ils soient, semble imposer l'idée que l'exercice du pouvoir politique réclame une compétence déterminée, qu'il est impossible de trouver en chacun. Les élections ne peuvent donc servir à faire reconnaître par tous cette compétence, puisque par définition tous ne la possèdent pas : semblables aux cérémonies rituelles des sociétés primitives, ne sont-elles pas alors réduites à la fonction de réinstaurer périodiquement le consensus social ? L'idée de la démocratie peut-elle être séparée de l'idée que la politique dans son ensemble est l'affaire de chacun ?
 
Source :
 
 
Bisous,
@+
Sab - l'extrême-gauche et l'extrême-droite = la même chose ! des tueurs et des intolérants qui cherchent surtout à empêcher les autres d'être libres et égaux en droit !

27 avril 2014

Yasunari Kawabata : Un Vase fragile [Récits de la paume de la main]

Ah que coucou !

Alors là, il s'agit d'un jour littérature repos ;) vu que cette nouvelle ne remplit même pas une page ;)... et pourtant, ce texte est riche d'enseignements... vous voulez savoir comment on peut écrire quelques lignes tout en écrivant autant ? et bien, lisez les quelques lignes de cette nouvelle :
 
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Langue : Français
 
Bonne lecture !
 
Bisous,
@+
Sab

26 avril 2014

Bienvenue chez Sab : Les commentaires [Rappel]

Ah que coucou !

Je le rappelle pour ceux qui polluent les blogs des autres usagers de cette plateforme et qui l'ignoreraient encore que je ne suis pas quelqu'un qui va vous supprimer de la liste des spammers :
 
 
en plus, pour être sûre que vous n'allez pas "polluer" d'autres blogs, je ne supprime aucun commentaire qui arrive directement dans la catégorie des spams même si vous faites des compliments sur mon blog dans une langue que vous ne maîtrisez pas parfaitement (alors pourquoi tenter de l'utiliser ? ;))...
et pour certains qui polluent les blogs qui se trouvent chez d'autres hébergeurs de blog et qui tentent de faire la loi ou semer la zizanie ou s'attaquer à mes amis/connaissances sur un des deux blogs sur lesquels j'ai la main, je les y ajoute sans avertissement préalable (pour le moment, il n'y en a eu qu'un seul psychopathe qui continue à déverser sa haine contre l'humanité entière sur d'autres plateformes qu'ici et qui oublie qu'aucune loi n'oblige quelqu'un à publier ses propos violents et haineux sur son blog)...
 
Par contre, si par erreur une personne que je reconnais arrivait sur cette liste de spammer, il va de soit qu'en la connaissant personnellement je l'y supprimerai en lui demandant, au passage, ce qu'elle fait là ;)... ça arrive, parfois quand on fait des erreurs en tapant des codes ;)...
 
Bisous,
@+
Sab

25 avril 2014

Guy de Maupassant : Auprès d'un mort [Boule de Suif]

Ah que coucou !
 
Voici une nouvelle pour laquelle, si elle n'avait pas été signée Guy de Maupassant, j'aurais pu jurer que son auteur était Edgar Allan Poe...
 
Qui est le mort ? le philosophe allemand Arthur Schopenhauer.
Qui nous narre cette aventure ? un Allemand qui, en tant que disciple, a assisté à la veillée funèbre de son maître...
Qu'a-t-elle de spéciale ? et bien voilà, le mort s'est mis à rire !!
 
Vous voulez savoir comment cela peut être possible ? car, oui, il peut arriver qu'un mort se mette, dans certaines conditions très précise, à rire ;)...
Et bien, lisez la suite de cette courte histoire :
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Langue : Français
 
Bonne lecture !
 
Bisous,
@+
Sab
 

24 avril 2014

Auto-consommation

Ah que coucou !
 
Comme je l'ai averti avant-hier dans l'article Autarcie, Auto-centrée (cliquez ici pour y accéder directement), voici maintenant la définition de l'auto-consommation.
 
QU'EST-CE QUE L'AUTO-CONSOMMATION ?
 
Lorsqu'un paysan utilise le lait de sa ferme, pour satisfaire les besoins de sa famille et même ceux des animaux de trait qui participent à la production, il y a auto-consommation.
 
Ainsi l'auto-consommation est la partie de la consommation qui ne fait pas l'objet d'échanges et est utilisée par le producteur ou sa famille.
 
Cette auto-consommation peut concerner les biens de consommation, les biens de production. Ainsi le champ de luzerne consacré à nourrir les chevaux, le crottin de cheval utilisé comme fumier font partie de l'auto-consommation, de même l'utilisation de la charrue à bœuf, énergie animale, est une auto-consommation productive.
La part de la production auto-consommée est un indicateur de l'intégration de l'économie : plus celle-ci est forte, plus l'intermdépendance des secteurs est faible. Plus une économie connaît une croissance économique rapide, plus la part d'auto-consommation tend à diminuer au profit de la part de production consacrée au marché (achat par l'agriculture d'engrais, de produits de l'industrie chimique, des produits de l'industrie mécanique...).
L'auto-consommation élevée de l'agriculture traditionnelle exprime généralement la place importante du secteur précapitaliste, recourant peu à la monnaie, au marché, et vivant relativement séparé des autres secteurs (dualisme).
 
 
LA CONSOMMATION INFRABRANCHE
 
La comptabilité nationale utilise l'expression consommation infrabranche pour désigner la fraction de sa propre production consommée par une branche ou un secteur, ou un agent économique (unité institutionnelle). Ainsi, Renault fait partie du secteur industriel et consomme à des fins productives des produits industriels. Pour construire une voiture, il faut de l'acier, du textile, du caoutchouc, du verre, du plastique, des machines à souder, à fraiser... autrement dit des produits du secteur industriel. Evidemment, tout produit industriel ne sera pas ainsi auto-consommé par ce secteur.
 
Comme vous le constatez quand on vit en autarcie, on fait automatiquement de l'auto-consommation, mais quand on fait de l'auto-consommation cela ne signifie pas forcément qu'on vit en autarcie. Alors, il s'agissait bien d'une petite confusion passagère ?
 
Personnellement je suis pour l'auto-consommation à 210% du moment qu'elle augmente les richesses... si elle ne les augmente pas, il faut mieux "se fournir" ailleurs ;)...
 
Bisous,
@+
Sab

23 avril 2014

Agatha Christie : Trois souris...

Ah que coucou !

Aujourd'hui je vous propose une nouvelle enquête policière - non menée par Miss Marple ou par Hercule Poirot - mais par la police anglaise...
 
Imaginez que vous vous retrouviez dans un manoir anglais... mais au lieu de fantômes, vous vous y trouvez enfermer par la neige... Oui, les congères sont telles qu'il est imprudent de quitter Monkswell Manor... mais y rester, est-ce bien prudent ? Oui, parmi toutes les personnes réunies se trouve un/une meurtrier/meurtrière... qui sera la prochaine victime ? et surtout qui est l'auteur d'une série de meurtres sur l'air de la comptine Les Trois Souris qui ont débuté au 74 de Culver Street, à Londres ?
 
Et bien vous le saurez en lisant le roman suivant :
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Langue : Français
 
Bonne lecture !
 
Bisous,
@+
Sab

22 avril 2014

Autarcie , économie auto-centrée

Ah que coucou !

Au fil de différentes conversations je commence à me demander si nombreux ne sont pas ceux qui confondent "autarcie" avec "auto-consommation"...
 
Afin d'éclaircir un peu tout cela nous réviserons aujourd'hui la définition d'autarcie et nous aborderons, après demain, la définition d'auto-consommation...
 
Pour cela, vite, le dictionnaire d'économie qui n'a pas encore repris sa place dans ma bibliothèque (ce qui m'évitera d'en sortir un autre)...
 
L'AUTARCIE
 
Un petit hameau isolé, bloqué par les neiges, vivant sur sa propre production, une lointaine communauté paysanne enfouie dans le passé, ainsi apparaît souvent l'autarcie.
 
Au sens strict, l'autarcie est la situation d'une unité économique dans laquelle tout ce qui est utilisé est créé de façon interne au groupe, ou au pays qui vit sans échange avec l'extérieur.
 
L'autarcie totale d'un pays est l'exception, mais beaucoup de pays pratiquent à des degrés divers la recherche d'une certaine autarcie. Ainsi la Chine, après sa rupture avec l'URSS, a développé un certain comportement autarcique. L'autarcie moderne est pour un pays le plus souvent l'expression d'une certaine fermeture par rapport au commerce, aux capitaux, mais aussi aux valeurs techniques du reste du monde, ceci afin d'éviter une dépendance économique, technologique, culturelle, voire politique.
On mesure les degrés d'autarcie par le % d'importations par rapport au PNB, le % de capital étranger, la proportion d'œuvres culturelles d'origine externe (films, livres...)...
 
 
UNE ECONOMIE AUTO-CENTREE
 
Une "économie auto-centrée", au sens littéral, signifie que le principe directeur, le noyau de l'activité est dans la société elle-même : elle est dirigée selon ses propres valeurs, orientations et finalités. Une économie auto-centrée n'est pas nécessairement autarcique. Cette notion a été forgée dans le cadre de théories du développement.
Une économie auto-centrée maîtrise l'essentiel de ses choix : les investissements, la politique de l'emploi, la monnaie, les échanges... L'orientation des secteurs stratégiques (informatique, aéronautique, énergie...) doit dépendre des décisions du pays. Evidemment, un pays sans pétrole dépend nécessairement des autres pour son approvisionnement énergétique aujourd'hui, mais cette dépendance ne s'oppose pas au caractère auto-centré si les producteurs de pétrole ne peuvent lui dicter la composition et l'orientation de sa production ou des conditions concernant sa politique extérieure... (problème de seuil). Par contre, l'économie n'est pas  auto-centrée si un seul produit exporté (bananes, pétrole...) fournit l'essentiel des devises qui servent à financer les investissements, sauf s'il y a maîtrise des conditions de prix et de quantité des produits exportés (avance technologique).
 
Source:
 
Cette économie auto-centrée est celle préconisée par ceux qui souhaitent que la France sorte de l'Union Européenne... mais si elle était valable au début du siècle dernier, ce n'est pas le cas de nos jours. En effet, vous voyez là, dans la définition, où se trouve la faiblesse d'un tel choix qui serait, aujourd'hui et cela à cause de la "mondialisation", totalement catastrophique pour l'économie française qui ne pourrait survivre bien longtemps car nous sommes de bien trop gros consommateurs ! Alors, qui serait prêt à consommer moins, à payer plus ;) ??? Je vous le dis tout de suite : ne comptez pas sur moi ;) ! J'aime trop mon PC, j'aime trop ma tablette, j'aime trop mes téléphones même si je râle contre eux quand ils sonnent, j'aime trop mes radiateurs quand il fait froid, etc. ;).
 
Bisous,
@+
Sab

21 avril 2014

Alfred Hitchcock présente... La Capture [Histoires épouvantables]

Ah que coucou !

La bande des "chloroformeurs" a encore frappé ! mais cette fois-ci, ils ne se sont pas contentés de voler, mais ils ont aussi assassiné un couple millionnaire de personnes âgées. La police est à leurs trousses, mais parviendra-t-elle à les arrêter ? parviendra-t-elle à retrouver le chef de la bande qu'elle connaît sous le surnom du Colonel ?
 
Et bien vous le saurez en lisant la nouvelle suivante :
accessible à la lecture / téléchargement en cliquant ici
Format : pdf
(logiciel fourni gratuitement par son concepteur : Adobe)
Langue : Français
 
Bonne lecture !
 
Bisous,
@+
Sab

20 avril 2014

Joyeuses Pâques 2014 !

 
Bonnes Fêtes !
 
Que les enfants puissent découvrir tous les œufs
déposés par les cloches !
 
Amusez-vous bien !

Bisous,
@+
Sab

19 avril 2014

Yasunari Kawabata : La scie et la naissance [Récits de la paume de la main]

Ah que coucou !
 
Aujourd'hui la nouvelle que je vous propose est très courte: 1 page format A4... pourtant dans ce court texte l'auteur nous fait aborder les rêves prémonitoires... Faut-il y croire ou non ?
accessible à la lecture/téléchargement en cliquant ici
 Format : pdf
(logiciel fourni gratuitement par son concepteur : Adobe)
Langue : français
 
Mais rêver, ce n'est pas tout, encore faut-il savoir l'interpréter... d'où la question que pose l'auteur pour conclure cette nouvelle ;)...
 
Bonne lecture !
 
Bisous,
@+
Sab

18 avril 2014

Le Marxisme

Ah que coucou !
 
Nous allons aborder là une philosophie qui a tendance à me faire hurler... alors, afin d'éviter tout risque, je vais plus "recopier" qu'émettre mon opinion personnelle... ce qui vous permettra d'utiliser votre libre-arbitre concernant le sujet d'aujourd'hui...
 
Ce mot, marxisme, a pour origine, comme nous savons tous, de Karl Marx. Qui était-il exactement ? et bien lisons ensemble ce qu'en dit le dictionnaire des auteurs et des thèmes de la philosophie, édité chez Hachette et élaboré par S. Auroux et Y. Weil :
 
 
Karl Marx est né en 1818 à Trèves d'un père avocat de bourgeoisie libérale rhénane, il étudie le droit et adhère au cercle des hégéliens [Friedrich Wilhelm Hegel (1770 - 1831)] de gauche (Bauer, Ruge). Docteur en philosophie en 1841 avec une thèse sur le matérialisme antique : Différence de la philosophie de la nature chez Démocrite et Epicure, il s'intéresse à la critique de la religion de Strauss et Feuerbach, rencontre le socialiste Hess et se consacre au journalisme en collaborant à la Gazette rhénane (articles sur la censure, la religion, la répression du vol du bois et la misère des vignerons mosellans). Rompant avec le libéralisme bourgeois après l'interdiction du journal en 1843, il approfondit le socialisme français, la critique de la théorie idéaliste de l'Etat (Critique de la philosophie du droit de Hegel) et de la religion (A propos de la question juive). Réfugié à Paris en 1845, il découvre les groupes socialistes et rencontre Engels [Friedrich Engels (1820 - 1895), fils d'industriels filateurs d'origine rhénane dirigea à Manchester une succursale de la maison familiale, acquit ainsi une connaissance approfondie du capitalisme, et put souvent subvenir aux besoins de Marx. Dès 1845, avec la Situation de la classe laborieuse en Angleterre, il pense que le développement du capitalisme a pour corollaire l'exploitation du prolétariat. Outre sa collaboration constante avec Marx, il est l''auteur dune œuvre importante qui concerne l'anthropologie, et la philosophie (Anti-Dühring, publié en 1878, Dialectique de la nature et Ludwig Feuerbach et la fin de la philosophie classique allemande, rédigés en 1888 et restés manuscrits). S'informant sans cesse du progrès des liste et dialectique de la nature (l'Etre est constitué par une succession de processus matériels, dont la contradiction et sa négation engendrent chaque type de réalité). Cette dialectique de la nature est la partie la plus faible de ce qu'on a appelé par la suite le "marxisme"; Sartre dans la Critique de la raison dialectique s'efforcera de montrer en quoi une conception dialectique peut s'appliquer à l'histoire, mais non à la nature.]. Les Annales franco-allemandes publient des articles de Marx et une Esquisse de la critique de l'économie politique d'Engels qui incite Marx à l'étude des économistes anglais (Smith, Ricardo, Mill) et français (Boisguillebert, Say, Sigmondi). Il en tire une critique du travail aliéné, de l'économie, du communisme grossier, du Proudhon et de Hegel (Manuscrit de 1844). Au contact de la Ligue des Justes (ouvriers allemands immigrés, inspirés par Prouhon, Bakounine et Weitling), il privilégie le rôle émancipateur du prolétariat. Avec Engels, il travaille à un pamphlet contre les hégéliens de gauche, Bauer et Stirner: La Sainte Famille (1846). Expulsé de France pour sa participation à un journal révolutionnaire, il continue à Bruxelles ses lectures d'économie, d'histoire et de technologie, esquissant avec les Thèses sur Feuerbach, 1845, une conception matérialiste de l'histoire, développée avec Engels et Hess dans la critique de la philosophie allemande (Idiologie allemande). Misère de la philosophie, 1847, ridiculise le Système des contradictions ou philosophie de la misère de Proudhon, qui a refusé d'adhérer au réseau international des communistes, 1848, destiné à la Ligue des Justes devenue Ligue des communistes. Marx essaie de vulgariser ses conceptions économiques: Travail salarié et capital, Discours sur le libre-échange. Expulsé de Bruxelles, il organise en France, après la révolution de février 1848, le retour des ouvriers immigrés en Allemagne. Il devient directeur de la Nouvelle Gazette rhénane, à Cologne. La contre-révolution allemande oblige Marx, partisan du terrorisme révolutionnaire, à se réfugier à Londres d'où il envoie son Adresse au Comité central de la Ligue des communistes préconisant des gouvernements ouvriers révolutionnaires assurant la dictature du prolétariat. La Lutte des classes en France, 1850, analyse la révolution de 1848, le 18 Brumaire de Louis Bonaparte, 1852, le coup d'Etat.
 
Sa défense des communistes en procès à Cologne le faisant passer pour un conspirateur, il ne trouve plus d'éditeur. Commence alors une période d'isolement, aggravée par la misère et la maladie. En 1857 il reprend ses études économiques et projette un ouvrage dont il rédige une Introduction générale de caractère méthodologique, des chapitre sur l'argent et le capital : Fondements de la critique de l'économie politique. Il sort de son isolement en participant activement à l'Association Internationale des travailleurs (Internationale), née à Londres à 1864, dont il rédige une Adresse et des Statuts favorables à la centralisation de la lutte du prolétariat et rejetant les tentations autonomistes. Au sein du Conseil général de l'A.I.T., il lutte contre les divergences socialistes. A partir de 1862, il travail au thème de la plus-value (livre IV du Capital) tout en évoquant ses théories économiques devant l'A.I.T. : Salaire, prix et profit, 1865, Le Capital, Livre I, parait en 1867. Une de ses adresses à l'A.I.T. analyse la Commune : La Guerre civile en France, 1871. La nécessité de constituer des partis ouvriers nationaux le fait se désintéresser de l'Internationale. Le Capitale, Livre I est traduit en russe et voit une seconde édition allemande, 1872, et une traduction française, 1875. En 1875, la Critique du Programme de Gotha passe au crible les statuts du nouveau parti social-démocrate allemand et jusqu'à sa mort en 1883, toujours gravement malade, Marx travaille aux livres II et III du Capital, publiés par Engels en 1885 et 1894.
 
 
Maintenant je suis certaine que nombreux parmi vous comprennent pourquoi je déteste Karl Marx ;). Il avait bons nombres de défauts dont l'intolérance pour les idées d'autrui et l'irrespect envers leurs décisions (il m'a toujours fait penser à ces enfants gâtés qui sont insupportables - même pour leurs parents !!) ! Et dire qu'il existe sur cette planète des gens qui l'aiment... aujourd'hui encore...
 
Bon, passons maintenant à son héritage. Peut-être comprendrons-nous ce fanatisme de certains pour ses idées... on peut toujours rêver ;)...
 
Voici donc maintenant ce qu'en disent des économistes... oui, je vais encore faire du recopiage afin d'éviter les dérapages, parce que là encore, est abordé des points qui me font plus qu'hurler tellement ils sont irrespectueux envers la race humaine !
 
 
Le marxisme est l'ensemble des écrits et des mouvements sociaux prenant appui sur l'œuvre de Marx.
Ce n'est pas un simple ensemble de textes mais aussi une pratique inséparable de l'histoire contemporaine du mouvement ouvrier. Marx a constitué une analyse d'ensemble du système capitaliste en élaborant une méthode, et en recherchant une explication globale du capitalisme sous ses aspects économique, social et politique.
 
 
LE MATERIALISME DIALECTIQUE
 
Matérialisme
"Pour un matérialiste, ce n'est pas la conscience qui détermine la vie, c'est la vie qui détermine la conscience". Marx et Engels considèrent que la réalité ne peut être comprise qu'en partant du réel. Les concepts qui en permettent l'intelligibilité doivent être constamment confrontés au réel et à son devenir historique. Ils estiment se distinguer du "matérialisme vulgaire" en proclamant la nécessité de définir des hypothèses abstraites d'où l'on doit tirer des déductions de plus en plus concrètes, en confrontant ces résultats tirés de la pensée pour voir s'ils sont bien vérifiés dans les faits. Par exemple, de l'analyse de la répartition on tire certaines conclusions sur l'opposition entre salaire et plus-value, sur la lutte des classes... puis on doit ensuite vérifier concrètement la validité de ces analyses en observant les conflits, les grèves, l'évolution des salaires et des profits pour décider de la justesse des hypothèses de départ.
 
Dialectique
Le principe d'opposition pose que dans la réalité les objets ne sont pas définis isolément. C'est dans leur opposition les uns aux autres qu'ils trouvent leur réalisation et leur définition. Cette opposition est contradictoire.
Ainsi les capitalises et les prolétaires n'existent que les uns par rapport aux autres : sans prolétaires pas de plus-value et donc pas de capitaliste. Cependant les deux termes de la contradiction ne sont pas identiques. Il y a un des termes qui est principal, à un moment donné du devenir historique. C'est celui qui est appelé à provoquer la transformation de l'état existant et donner le jour à la synthèse dialectique (dans l'exemple précédent, passage du capitalisme au communisme, c'est le prolétariat qui est l'élément principal du changement, selon Marx).
 
Le principe de totalité : pour Marx, un terme se pose toujours dans une totalité. En effet on ne peut comprendre par exemple l'inflation ou une crise économique sans la situer dans le système capitaliste, c'est-à-dire sans voir l'opposition entre classes...
Chaque élément ne prend donc une signification qu'en relation avec les autres.
 
Le principe d'identité lié au principe d'opposition et de totalité énonce qu'il y a unité entre les termes contradictoires. Ainsi, quand le prolétaire produit de la valeur, il est simple élément du capital qu'il contribue à accroître, il est donc pour un temps son autre dont il produit le développement même. Il est A et non A à la fois.
Dans la logique d'Aristote, les deux termes A et "non A" s'excluent radicalement et définitivement : c'est une logique analytique où le faux ne peut jamais devenir vrai. Ici, les deux termes sans cesser de s'exclure sont dans un rapport tel que A peut devenir "non A" : il s'agit d'une logique dialectique.
 
 
LE MATERIALISME HISTORIQUE
 
Le matérialisme dialectique ne prend son sens que relié à l'approche des sociétés historiquement situées. Le concept de mode de production permet de relier logiquement des systèmes divers selon un certain ordre de succession.
Exprimée de façon polémique contre l'idéalisme de Proudhon, Marx écrit à P. Annekov, le 18 décembre 1846, une lettre qui éclaire de façon schématique son idée centrale du matérialisme historique: "Qu'est-ce que la société quelle que soit sa forme? Le produit de l'action réciproque des hommes. Les hommes sont-ils libres de choisir telle ou telle forme sociale ? Pas du tout. Posez un certain état de développement des facultés productives des hommes et vous aurez telle forme de commerce et de consommation, et vous aurez telle forme de constitution sociale, telle organisation de la famille, des ordres ou des classes, en un mot telle société civile. Posez telle société civile et vous aurez tel état politique qui n'est que l'expression officielle de la société civile" (Marx, Bruxelles, le 18 décembre 1846).
Ainsi les forces productives et les rapports de production conditionnent l'existence sociale, et les formes historiques sont donc déterminées matériellement. Le matérialisme historique n'est rien, précisera Engels (effrayé d'interprétations mécanistes d'idées pseudo-marxistes) si l'on n'étudie pas concrètement les sociétés particulières et la façon dont s'opèrent les transformations. "Le facteur déterminant dans l'histoire est en dernière instance la production... si, ensuite, quelqu'un torture cette phrase pour lui faire dire que le facteur économique est le seul déterminant, il la transforme en une phrase vide, abstraite, absurde" (F. Engels, 21 septembre 1890).
 
La matérialisme historique est une méthode d'interprétation de l'histoire qui retient les principes suivants:
  1. Le facteur déterminant en dernière instance de l'histoire est la façon dont les hommes organisent leur production, les rapports de production.
  2. Le niveau de développement des forces productives détermine l'histoire et les formes sociales précises.
  3. Les formes politiques et idéologiques, la tradition, jouent un rôle considérable, mais non décisif dans l'évolution historique (sur-détermination).
  4. Les agents de l'histoire sont les travailleurs, ce ne sont pas les grands hommes, les individualités historiques. L'histoire n'est gouvernée ni par des héros ni par Dieu.
Le matérialisme historique est dialectique en ce sens que pour Marx chaque mode de production prépare en lui-même son successeur, les fossoyeurs du vieux monde sont présents en ses entrailles, contradiction vivante s'exprimant dans une lutte des classes essentielle dans la dynamique historique.
 
 
LA THEORIE DES CLASSES
 
De nombreux auteurs avant Marx avaient analysé l'évolution historique et même les classes sociales. Ce qui est essentiel dans l'analyse marxiste c'est l'analyse des luttes de classes comme agents du changement social, comme contradictions actives.
Marx précise lui-même son apport à l'étude matérialiste de l'histoire dans une lettre à Wedermeyer le 5 mars 1852:
"Ce que j'ai apporté de nouveau, c'est :
 1. de démontrer que l'existence des classes n'est liée qu'à des phases historiques déterminées du développement de la production.
2. que la lutte des classe mène nécessairement à la dictature du prolétariat;
3. que cette dictature elle-même ne représente qu'une transition vers l'abolition de toutes les classes et vers une société sans classes."
Ainsi Marx explique le rôle actif et organisateur des groupes sociaux dans l'histoire, et invite à l'action car il n'y a pas, selon lui, de transition sans heurts ni actions.
 
 
LA THEORIE ECONOMIQUE
 
Inséparable du matérialisme dialectique et historique, la théorie économique de Marx peut s'apparenter à Riccardo pour la théorie de la valeur mais s'y oppose radicalement par la théorie de l'exploitation. L'influence de cet économiste est centrale, mais nous insisterons surtout sur ce que Marx considère comme l'essentiel de son apport.
 
L'originalité que Marx revendique
Dans sa lettre du 8 janvier 1868, Marx précise ce qui est vraiment nouveau dans le livre I du Capital ;
 
1. Il part du travail en insistant sur son double aspect, valeur d'usage et marchandise. Il montre que la force de travail a une valeur et qu'elle est capable de produire une valeur supérieure à elle-même, elle crée une plus-value.
2. La plus-value créée par le travail est traitée de façon indépendante de ses manifestations concrètes. Rente, profit et intérêt se partagent la plus-value mais son origine est commune : le surtravail du prolétariat.
3. Le salaire est analysé indépendamment de ses formes apparentes, il n'est pas la rémunération d'un service, mais la valeur de la marchandise-force du travail. Le salaire est donc non le paiement effectif de ce qu'apporte le travailleur, mais simplement la valeur de sa force de travail.
 
Une théorie des crises
Il peut alors analyser l'exploitation et les contradictions entre la valeur créée, et qui doit être écoulée, et le pouvoir d'achat des salariés lors des crises de surproduction.
Une idée essentielle dans sa théorie, mais qu'il ne s'attribue pas, est la notion que l'on retrouve chez Smith et Riccardo de marchandise contenant une valeur fonction du temps de travail social moyen nécessaire pour produire. Autrement dit l'idée que "c'est le travail qui, par delà la diversité des marchandises, est commune à toutes."
Les livres II et III du Capital contiennent deux outils d'analyse essentiels chez Marx, la péréquation des taux de profit et les schémas de reproduction au centre de son approche de l'accumulation élargie. Ce sont des outils particulièrement importants dans l'étude de la reproduction du capitalisme (partage de la plus-value entre capitalistes, et possibilité d'une certaine régularité dans la croissance entre branches).
La loi de la baisse tendancielle du taux de profit qui a terme menace le capitalisme sur ses bases permet de relier économie et évolution des modes de production. Loin d'être séparée du social, la loi de la baisse tendancielle du taux de profit dépend à la fois des forces productives, de l'évolution de la productivité du travail et du rapport de forces qui détermine la valeur sociale de la force de travail, clé de la plus-value...
 
La pratique
Sur la tombe de Marx, son ami et collaborateur Engels dira : "En Marx l'homme de science n'était même pas la moitié de l'homme." Marx a été "avant tout un révolutionnaire". Théorie et pratique étaient inséparables chez Marx, il tenait sans cesse à communiquer sa théorie sous forme assimilable par le prolétariat. Il ne suffisait pas de dénoncer l'exploitation, encore fallait-il s'organiser, mener une lutte politique, participer et conseiller les révolutions, comme celle de 1848 ou la Commune de Paris de 1871. Au sein de l'Association internationale des travailleurs fondée en 1864, il agira et interviendra politiquement, en particulier contre l'anarchiste Bakounine. Pour lui, sa théorie ne devenait vivante que si elle devenait une arme. Une formule résume sa conception de l'intellectuel révolutionnaire : "Les armes de la critique ne sauraient remplacer la critique par les armes" (Manuscrits de 1844).
La liaison nécessaire entre théorie et pratique est dans la pensée de Marx et Engels, à la fois un principe théorique et une règle pratique. Principe théorique, elle commande l'organisation des concepts; règle pratique, elle gouverne l'organisation de l'action.
 
Source :
 
Comme vous le voyez, le Leitmotiv des marxistes, c'est la violence mêlée à l'intolérance totale qu'ils peuvent rendre réelle par les transformations dans le vocabulaire courant, par exemple : "classes sociales" (déjà vu sur ce blog qu'on ne fait pas partie que d'une seule et unique classe sociale ;) - c'est comme ça que des communistes se retrouvent prisonniers politiques, eux aussi...). D'ailleurs nombreux sont les points communs avec la doctrine prônée par leurs soi-disant adversaires politiques : l'extrême-droite... Pourquoi donc cette doctrine continue-t-elle à faire des adeptes un peu partout dans le monde ? Si quelqu'un a la réponse, merci de la partager avec nous...
 
Bisous,
@+
Sab - qui décidemment détestera toujours les extrémistes et leurs doctrines !!!

17 avril 2014

Honoré de Balzac : La Maison du Chat-qui-pelote [Comédie humaine]

Ah que coucou !

Nous abordons aujourd'hui la troisième nouvelle du tome 3/24 :
accessible à la lecture / téléchargement en cliquant ici
Format : pdf
(logiciel fourni gratuitement par son concepteur : Adobe)
Langue : Français
 
La Maison du Chat-qui-pelote est un magasin situé à Paris, dans la rue Saint-Denis... Ce magasin appartient à monsieur Guillaume, drapier de son état, qui l'a hérité de son beau-père Mr Chevrel...
Dans l'appartement attenant à ce magasin y vivent les propriétaires (Mr Guillaume, Mme Guillaume, Virginie Guillaume et Augustine Guillaume) ainsi que les 3 commis...
Virginie est amoureuse du Premier Commis (Joseph Lebas), Joseph est amoureux d'Augustine, Augustine est amoureuse de Théodore de Sommervieux (peintre, issu d'une riche famille aristocrate), amour partagé...
Quelques mois plus tard, Virginie épouse Joseph Lebas : ils partent vivre dans la Maison du Chat-qui-pelote dont ils sont maintenant les propriétaires (Mr et Mme Guillaume ayant déménagé dans un hôtel rue du Colombier depuis que Mr Guillaume est devenu membre du comité consultatif pour l'habillement des troupes grâce à son gendre de Sommervieux) ; Augustine épouse le même jour Théodore : ils partent en lune de miel et reviennent vivre à Paris dans un hôtel particulier où se trouve aussi l'atelier de Théodore... Nous pourrions penser que rien ne manque à leur bonheur... mais apparaît la Duchesse de Garigliano...
 
La suite de l'histoire ? vous la connaîtrez en lisant cette nouvelle.
Pour information : la prochaine nouvelle le Bal de Sceaux ne sera pas disponible à partir de ce blog avant minimum 3 semaines... oui, j'aime bien Balzac mais j'aime bien lire aussi d'autres auteurs ;)... 
Bonne lecture !
 
Bisous,
@+
Sab

16 avril 2014

Guy de Maupassant : Coco [Boule de Suif]

Ah que coucou !
 
Coco est un vieux cheval... trop vieux pour effectuer la moindre tâche...
Isidore (surnommé Zidore) est un jeune garçon d'une quinzaine d'années qui doit s'occuper de Coco...
Le lieu ? quelque part sur la côte...
L'action ? Lisez la nouvelle suivante :
 
accessible à la lecture/téléchargement en cliquant ici
Format : pdf
(logiciel fourni gratuitement par son concepteur : Adobe)
Langue : français
 
Bonne lecture !
 
Bisous,
@+
Sab

15 avril 2014

Productivité : Ce que ne vous diront jamais les syndicats français et les extrêmistes !!!



Ah que coucou !

Avant d’aborder ce que les syndicats français ne diront jamais à leurs adhérents qui n’ont, en majorité, qu’une vague idée de la définition, regardons ensemble la définition exacte de ce terme économique… pour cela prenons le dictionnaire économique :

Dans le film Les Temps modernes, les images de Charlot, pantin mécanique, pris de la frénésie productive, symbolisent la productivité dans le cadre du travail à la chaine.
Lorsque l’on parle de productivité sans précision, on envisage généralement la productivité du travail. Mais même la production. Mais même la productivité du travail n’est pas définie par une seule mesure mais par plusieurs indicateurs.

La productivité (physique) du travail est le rapport :

 
Ainsi la productivité en termes physiques d’une entreprise d’automobile sera :
 
On peut ainsi choisir, comme dénominateur, le nombre d’heures total consacrées à la production : le résultat différera du précédent si la durée de travail varie. La mesure du facteur travail est loin d’être simple ; faut-il inclure le seul travail des ouvriers ou aussi le travail des comptables de l’entreprise ?

Souvent la productivité du travail est mesurée en valeur. En effet, que signifie produire 10 voiture par travailleurs quand les voitures sont très différentes ? Produire 10 R5 et 10 R25 n’es pas équivalent.
 
La productivité en valeur du travail est le rapport :
Cette définition présuppose que les prix des produits représentent réellement leur valeur. En particulier si les prix des marchandises doublent, la productivité en volume est identique, mais la productivité en valeur sera multipliée par 2, sans que la production ait réellement changé, ni les cadences, sauf à prendre en compte des prix stables.

La productivité d’un facteur X quelconque en termes physiques est obtenue ainsi :
 
Vocabulaire INSEE
 
Productivité apparente du travail
 
Pour l’INSEE, la productivité apparente du travail mesure l’efficacité productive des travailleurs employés par le rapport :
 
Il s’agit dans ce cas de la valeur ajoutée par tête de personne active employée. Il faut souvent tenir compte de l’évolution de la durée du travail, et l’on calcule parfois un indice de productivité par rapport aux heures ouvrées effectivement.
 
Les marxistes considèrent que l’évolution de cet indicateur est une bonne approximation de l’évolution de la plus-value relative, donc du taux d’exploitation.
L’INSEE insiste sur le mot apparente car rien n’indique exactement l’origine de cette valeur ajoutée ; elle peut progressée du fait de nouvelles machines améliorant en apparence l’efficacité du travail ou encore de fait d’une plus grande intensité de travail (cadences, élimination de gaspillages), d’une meilleure organisation, de l’incorporation aux produits d’innovations valorisant leur prix…

 
Productivité apparente du capital
 
Pour l’INSEE la productivité apparente du capital mesure l’efficacité de l’équipement productif par le rapport :
 
La productivité du capital est un indicateur de l’efficacité des investissements et donc de leur capacité à engendrer du profit. Le nombre de francs de valeur ajoutée par franc investi en capital fixe qu’exprime ce rapport ne signifie pas que le capital est seul responsable de cette productivité, les nouvelles machines ont été actives avec une nouvelle qualification, une nouvelle intensité du travail…

 
Productivité des facteurs
 
 
Vocabulaire marginaliste
 
Productivité marginale du travail
 
La productivité marginale du travail est la production supplémentaire réalisé par le dernier travailleur utilisé (ou de la dernière unité du travail). Si la production était de 1000 voitures avec 100 ouvriers et de 1050 avec 101, la productivité marginale du 101e travailleur serait de 1050 – 1000, soit de 50 voitures.
 
Productivité marginale du capital
 
Les marginalistes attribuent au capital une productivité. La productivité marginale du capital est égale à la valeur ajoutée par la dernière unité du capital utilisée.
 
Source :
 

Maintenant que nous sommes tous d’accord sur cette notion de productivité, qui, comme vous l’avez lue, diffère selon que nous calculons la productivité du travail ou du capital, voyons ce que les syndicalistes français n’avoueront jamais à leurs adhérents, et donc, leur mentent par omission et sont donc totalement inaptes à gérer l’économie nationale ! alors pourquoi tous les gouvernements leur demande leur opinion sur un sujet qu’ils refusent de comprendre ???
 
Le système économique de la France est un système capitaliste (cf la définition du capitalisme en cliquant ici pour y accéder directement) et non socialiste ou communiste ; donc, pour savoir comment sont évaluées les productivités des entreprises sur le sol français (par exemple), il faut alors entendre par productivité la productivité du capital et non la productivité physique ;) qui sert surtout à l’intérieur de l’entreprise même pour, souvent, évaluer les différents services de l’entreprise… oui, tout investisseur va chercher à gagner le plus d’argent (ce qui est logique, sinon il n’investit pas). Maintenant, ce que prônent ces syndicats qui sont majoritairement de l’extrême gauche avec toutes leurs mesures anticapitalistes, est tout simplement une fuite des capitaux hors de la France et une augmentation exponentielle du chômage !!! oui, car eux, ils N’INVESTIRONT JAMAIS dans la force de travail national ou international !!! tout en exigeant que d’autres investissent à leur place afin de créer des emplois et assurer ainsi leur confort personnelils sont trop égoïstes pour se soucier des autres : ceux qui sont au chômage à cause de leurs stupidité et de leurs aberrances hors du temps !! Par exemple, saviez-vous qu’on demande à un futur auto-entrepreneur (qui crée lui-même son emploi) de ne travailler que 35 heures par semaine ??? oui, chaque interlocuteur me demande comment je compte faire, au départ, avec un tel prix de vente, pour subvenir à mes besoins en ne travaillant que 35 heures !!! ABERRANT !! un auto-entrepreneur sait pertinemment qu’il faudra qu’il travaille, au début et cela tant que son activité ne sera pas rentable (cas pour toutes les nouvelles entreprises et ceci le temps de se faire une clientèle fidèle), plus de 72 heures par semaine !!! et encore plus s’il cet entrepreneur commence son activité avec du personnel !!!
 
Evidemment ces 35 heures par semaine et nombreux accords nationaux concernant le travail des employés français réduisent considérablement toute productivité… ce qui fait que de plus en plus nombreux sont les investisseurs étrangers qui estiment que leurs branches françaises ne sont pas assez productives que leurs consœurs étrangères et donc, fatalement, ils cherchent à se débarrasser et à transférer leurs entreprises hors de France… et ensuite, ceux, qui s’accrochent à leur 35 heures hebdomadaires et autres avantages syndicaux et sociaux, vont se plaindre que leur entreprise ferme ou alors ils vont se plaindre que les conditions de travail deviennent de plus en plus stressantes car les rumeurs courent dans leur entreprise qu’elle risque de fermer dans un avenir plus ou moins proche…

 
Alors peuple de France, que veux-tu ? Que tes enfants deviennent pauvres et soient au chômage en permanence parce que ta productivité est dans le rouge à cause de ces pseudo avantages sociaux et tous ces prélèvements fiscaux prélevés par les différents gouvernements ? ou veux-tu que l’avenir de tes enfants soit assuré meilleur que le tien et qu’ils connaissent l’abondance et le bonheur ??
 
Moi, je choisis une productivité dans le positif afin d’assurer l’avenir de la France !
J’aime mon pays ! J’aime la France !

VIVE L’UNION EUROPEENNE AUSSI !
qui garantie la richesse à la France et aux Français !
à condition que la France ne se saborde pas elle-même !!!
ce qu’elle fait actuellement malheureusement L...

Bisous,
@+
Sab