Ah que coucou !
Si Balzac vivait aujourd'hui et décidait d'écrire une telle nouvelle il parlerait non pas d'un adjoint mais de l'ordinateur... j'vous explique...
De nos jours, quand un fonctionnaire fait une gourde, au lieu de réparer sa gourde et de l'assumer comme doit le faire n'importe quel adulte responsable, il accuse l'ordinateur... vous remarquez, c'est toujours la faute de l'ordinateur. Votre dossier a été perdu : c'est la faute à l'ordinateur. Contrairement à ce qui avait été prévu, vous n'avez pas reçu tel courrier : c'est la faute à l'ordinateur (c'est lui qui imprime le courrier, le met dans l'enveloppe, l'affranchit et le dépose avec les autres courriers pour qu'il parte... oui, on va les croire ;))... bref, à chaque fois, ça ne loupe jamais : c'est la faute à l'ordinateur... mais bon, vous remarquerez, quand c'est de votre côté qu'il y a eu un oubli ou quoi... d'un seul coup, ce n'est plus la faute à l'informatique mais votre faute, à vous ! et rien qu'à vous ! ;)... la faute d'un ordinateur, ça ne doit fonctionner que dans un seul sens ;D...
Et bien l'Adjoint, il fonctionne comme le fonctionnaire qui prétend que c'est la faute de l'ordinateur... déjà à cette époque... sauf qu'en 1831, des ordinateurs, il n'y en avait pas encore ;)... et l'adjoint était donc obligé de "signer" ses gourdes...
Dans la nouvelle suivante, Balzac en a relevé quelques-unes, assez cocasses, surtout la dernière. Je vous laisse les découvrir !
accessible au téléchargement en cliquant ici
Format : pdf
Langue : Français
Bonne rigolade !
Bonne lecture !
Bisous,
@+
Sab
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire