Ah que coucou !
Après s'être "attaqué" au chien le gouvernement interdit maintenant les chats blancs ; et tous les propriétaires doivent se débarrasser de tels chats s'ils ne veulent pas avoir des problèmes avec la justice.
Au départ, révolté, le propriétaire du chat, suite à la pression sociale, s'habitue, accepte et se débarrasse de son chat malgré qu'il l'aime...
Cette nouvelle, de quelques pages, nous fait étrangement remémorer le poème suivant, écrit à une autre époque :
Cette nouvelle est proposée à la vente chez son éditeur : Albin Michel
Source : https://www.albin-michel.fr/matin-brun-9782226257567
Quelques mots sur l'auteur ?
Vous en trouverez sur le site de son éditeur à l'adresse suivante :
Bonne lecture !
Bisous,
@+
Sab
Ah que coucou !
RépondreSupprimerComme certains me l'ont demandé,voici la version allemande du poème de Martin Niemöller :
Als die Nazis die Kommunisten holten, habe ich geschwiegen;
ich war ja kein Kommunist.
Als sie die Sozialdemokraten einsperrten, habe ich geschwiegen;
ich war ja kein Sozialdemokrat.
Als sie die Gewerkschafter holten, habe ich geschwiegen;
ich war ja kein Gewerkschafter.
Als sie mich holten, gab es keinen mehr, der protestieren konnte.
Bisous,
@+
Sab