Ah que coucou !
Avant de lire ce souvenir, je n'aimais pas les corridas (sans vouloir les "interdire" car, ma foi, quelque part elles ont leur "utilité"), après lecture, mon opinion à ce sujet n'a pas changé ;)... Alphonse Daudet ne m'a pas convaincue, même si son récit a atténué cette idée de "violence animale inutile" que je m'en faisais avant. Je suis consciente que certaines personnes peuvent être choquées par ces propos que je viens de tenir ;) car elles ignorent que, personnellement je préfère qu'on puisse assister à ce style de spectacle afin que la "dite" violence ne dérape pas, parce que "dissimulée", parce qu'"interdite"... de toute façon, il faut bien comprendre qu'il est hélas nécessaire de marquer le bétail, alors, autant que ça se fasse dans les meilleures conditions pour l'animal... et cette façon de faire fatiguant l'animal, il va moins se débattre quand il faudra le marquer => le marquage se fera plus rapidement et sera donc moins douloureux pour l'animal. Malgré tout, je préférerais que soit utilisé un système de bagues à condition que la dite-bague ne soit pas "dangereuse" pour l'animal : trop d'animaux se trouvant avec le lob de l'oreille arrachée car la dite bague s'était prise dans quelque chose qui a obligé l'animal à s'en arracher pour pouvoir se dégager... et ça, ça doit faire horriblement mal en plus des risques d'infection si le propriétaire ne s'en aperçoit pas tout de suite...
Revenons maintenant à cet écrit :
accessible au téléchargement en cliquant ici
Format : pdf
Langue : Français
Alphonse Daudet, élevé dans le Midi où les corridas sont monnaie courante, aime ce style de spectacle et cherche, ici, à nous communiquer cette amour-là. Et pour cela il nous en explique tout le processus en différenciant les corridas citadines des corridas rurales...
Bonne lecture !
Bisous,
@+
Sab
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